C’est une scène incroyablement irréaliste que nous avons été invités sur les réseaux sociaux à assister malgré les acteurs. Le sauvetage d’un enfant de 4 ans et demi par un jeune khadhor’ de 22 ans d’origine malienne, à peine arrivé en France.
Au delà du caractère rocambolesque du sauvetage d’un enfant d’à peine 4 ans par un jeune homme khadhor’ de 22 ans d’origine malienne, c’est à l’essence dc ce fait inédit qu’il nous faille plonger pour en dégager des ressources cadres de pérénnisarion de notre système de vie.
Cette belle histoire qui met les projecteurs sur l’un des héros ressemble beaucoup étrangement à notre vécu, de la façon que nous traitons nos champions de toutes disciplines et toutes catégories.
L’exploit du champion Gassama nous rappelle celui de tous les autres avant lui dans le cadre de l’illustration humaine dans une compétition donnée. Aujourd’hui, on peut affirmer sans nous tromper que tout comme Ronaldo, Neymar et Messy, Gassama fut le champion qui a éclipsé les autres vedettes, celui qui concrétise ce qui le définit, étant défini par les audres comme l’objectif à atteindre, le record à abattre.
Mais que représente une attaque sans une véritable défense, un attaquant sans un vrai gardien, les deux dernières finales des coupes d’Europe tant à Lyon (France) qu’à Kiev (Ukraine) le confirment s’il en était besoin. L’héroïsme de Gassama découle de celui de l’inconnu qui découle à son tour de celui de l’enfant de 4 et demi sauvé d’une chute du 5ème étage de l’immeuble parisien. Alignement de planètes, heureux concours de circonstance?
LE TROISIÈME HÉROS OU LA CHAÎNE DE L’EXPLOIT!
A suivre,
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