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PHYSIQUE NUCLÉAIRE DU TERRORISME ET DES ACTIVITÉS HUMAINES

PHYSIQUE NUCLÉAIRE DU TERRORISME ET DES ACTIVITÉS HUMAINES

PAR L’EXAMEN DES MOUVEMENTS TERRORISTES QUI SE SONT JUSQU’ICI MANIFESTÉS PARTOUT DANS LE MONDE, et des conflits armés mettant en scène ces mouvements terroristes, il apparaît qu’il existe deux strates visibles de l’entreprise terroriste :

La première strate contient le noyau de l’organisation terroriste en tant que telle, c’est à dire son commandement, sa structure interne et ses équipes dédiées.

La seconde strate, découlant de ces équipes précitées constitue une mouvance terroriste quasiment exogène de la « maison-mère ».

Elle est composé d’officines-électrons du corps terroriste. Ces électrons sont des exécutants, ceux-ci pouvant prospérer par la propagande, le recrutement et le suivi des « combattants pour la cause ».

Ces terroristes « opérationnels », destinés à s’aguerrir ou à servir d’agents logiciels prêt-à-l’emploi, peuvent être intégré à une équipe et/ou se mouvoir sous la forme de « loups solitaires ».

Tandis que la première strate est le noyau de l’atome terroriste, la seconde strate du groupe terroriste constitue son nuage électronique. Il est ainsi composé de couches et de sous-couches électroniques, la différence entre ces deux qualités dépendant de l’éloignement des orbitales atomiques du noyau de l’organisation terroriste.

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Les orbitales atomiques sont dans le cas présent la relation entre des faits et des données concernant tout ce qui a trait à l’atome terroriste. Cette relation permet de déterminer le comportement ondulatoire des électrons (individus ou groupes d’individus), c’est à dire la forme et la direction de leur mouvement, dans la matière terroriste, et donner la probabilité de la présence d’un « terroriste-électron » dans une région donnée dudit atome terroriste.

Dans une observation mécanique du système physique terroriste, on peut représenter l’orbitale atomique de ce dit système -qui décrit le comportement des électrons dans le nuage électronique de l’atome terroriste- par le biais d’une courbe de niveau tridimensionnelle, qui délimiterait la région à l’intérieur de laquelle la probabilité de présence de l’électron est supérieure à un seuil de sécurité minimum préétabli.

Précisons que ces régions de l’atome terroriste ne sont pas nécessairement connexes, c’est à dire qu’elles ne forment pas invariablement un objet uniforme d’un seul tenant.

Ces régions de l’atome terroriste peuvent d’ailleurs présenter des formes complexes mettant en jeu des phénomènes anisotropiques ou isométriques.

En d’autres termes, les zones d’action du terrorisme peuvent changer de direction, d’orientation et même conduire à des transformations de « l’espace terroriste », en conservant susceptiblement les distances externes (par exemple, les délimitations géographiques ou institutionnelles de l’espace ambiant).

L’analyse physique du terrorisme doit donc se faire en considérant ses acteurs comme une fonction à laquelle on assigne alors la propriété topologique de la continuité.

Nous avons une fonction, l’entreprise terroriste, son domaine l’espace-temps. Pour connaître l’organisation terroriste et pour ainsi dire tout système, il faut connaître non pas nécessairement chaque élément, mais le travail, l’activité, le mouvement et les modifications que ces éléments ont la capacité de déployer, l’énergie qu’il peuvent transférer, échanger, c’est-à-dire déterminer, délimiter leur influence dans le domaine qui comprend l’espace-temps puisque l’ensemble des faits, à savoir le domaine factuel.

Cette dernière catégorisation désigne la faculté que l’élément a de par l’énergie accumulée par son propre mouvement de provoquer une agitation, d’autant plus si les actions de l’élément relèvent du désordre. Cette agitation se traduit par une ébullition qui accompagne le travail de l’élément agitateur. L’élément agitateur, partie de l’organisation ou constituant l’organisation même, a pour méthode de propager son « rayonnement » par le biais de ses particules. Ce transfert d’énergie terroriste pouvant donner lieu à des phénomènes bien réels, comme nous le constatons à l’échelle de la planète.

Ces phénomènes sont ceux d’absorption, de décalage vers les grandes longueurs d’ondes, de diffraction, de réfraction, d’interférences, d’échos et d’effets -que nous ne pouvons ne pas connaitre ni étudier- sur les hommes de la force électromagnétique exercée dans un certain milieu par des particules terroristes.

Connaitre les terroristes exige une analyse de leur rayonnement électromagnétique. Le spectre électromagnétique de toute forme d’activité terroriste doit, puisque ce spectre s’étend théoriquement de zéro à l’infini -en fréquence et en longueur d’onde- être scruté et prévu dans une fréquence extrêmement resserrée et une longueur d’onde infinitésimal. Cette observation du terrorisme par le biais d’une bande de extrêmement haute fréquence (tremendously high frequency) permet de connaitre à la fois un phénomène produit du terrorisme à la plus petite unité de temps possible, mais aussi de décrire la fonction sinusoïdale dans le temps de l’onde terroriste grâce à la plus petite unité de longueur possible, et ainsi de le cadrer le plus précisément possible dans l’espace et le temps, dans sa position et sa direction, celles-ci pouvant être, comme nous l’avons vu, changeantes.

Ainsi les services, gouvernements et armées ayant l’ambition d’une connaissance extérieure de toute organisation terroriste ont le devoir de connaître les rayonnements de cette atome dans le temps et dans l’espace et ce de manière continue. Ainsi la connaissance interne de l’atome terroriste exige de connaitre la structure et le fonctionnement de cette atome, mais encore de pouvoir déterminer avec la probabilité la plus précise ou se trouve tout électron de cette atome dans une région donnée de cet atome -aussi éloignée que soit cette région du noyau de l’atome terroriste- et son déplacement dans l’espace, à une fréquence de temps liminal.

La connaissance globale et méticuleuse de l’organisation terroriste consiste à connaître son énergie « physique » déployée et « déployable », et la façon dont cela influe sur les particules (humaines ou non, concrètes ou abstraites) exogènes ou comprises dans l’atome terroriste, et partant sur cette atome même.

L’énergie comprend les activités de transfert, phénomène important car marquant à la fois l’empreinte de l’atome, et permettant la traçabilité des rayons propagés par ses électrons.

Une des catégories de transfert essentielles dans le fonctionnement de l’atome terroriste, quasiment au même titre que la propagation d’ondes de propagande idéologique, constitue le flux financier qui assure l’appui et la marche du corps terroriste.

Votre journal se saisit de la question dans l’article « Terroriste cherche Expert-comptable ».

                                        

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