Pour avoir en main toutes les clés de compréhension de cette article, consulter le Dossier spécial de K1fo « Physique Nucléaire du Terrorisme et des Activités Humaines ».
TERRORISTE CHERCHE EXPERT-COMPTABLE
LA CONNAISSANCE GLOBALE et méticuleuse de l’organisation terroriste consiste à connaître son énergie « physique » déployée et « déployable », et la façon dont cela influe sur les particules (humaines ou non, concrètes ou abstraites) exogènes ou comprises dans l’atome terroriste, et partant sur cette atome même. L’énergie comprend les activités de transfert, phénomène important car marquant à la fois l’empreinte de l’atome, et la traçabilité des rayons propagés par ses électrons.
Une des catégories de transfert essentielles dans le fonctionnement de l’atome terroriste, quasiment au même titre que la propagation d’ondes de propagande idéologique, constitue le flux financier qui assure l’appui et la marche du corps terroriste.
A ce titre est-il indispensable de savoir comment l’atome produit sa richesse et ses potentiels « éléments » de valeur, comment elle la distribue, qui la lui fournit, et surtout comment, où et par qui ses richesses sont elles stockées, « plaçables » et négociées sur un marché.
Si telle est le cas, quels sont ces marchés et de quelle sorte sont-ils ? Qui sont les opérateurs et les différents acteurs de ce marché ?
Ce sont ces différentes questions que traitent les autorités, et qui ressortent au grand jour dans le cadre d’enquêtes sur le financement du terrorisme, et de démantèlement de filières économiques affiliées à des zones de guerre et ou d’action terroriste; comme nous le voyons en Syrie avec les arrangements financiers entre le cimentier Lafarge et Daesh.
Ou encore en Lybie, ou le chaos permet la planification d’un certain ordre où l’asservissement et le commerce d’hommes et de femmes favorisent un transfert de valeurs vers des entités criminelles s’attaquant à la population, donc vers des entités terroristes.
A cet égard a eu lieu à Paris, le 25 et 26 avril 2018, une Conférence de lutte contre le financement de Daech et d’Al Qaïda, intitulé « No Money for Terror ». C’est donc bien l’énergie financière produite, reçue et transférée par l’atome terroriste que l’on veut amoindrir et faire disparaître, pour que la faculté de ses particules s’amoindrissent et que la capacité transversale de cet atome s’en retrouve diminué, et qu’à terme celui-ci se désintègre, sans que l’on aie eu besoin de combattre chacune de ses particules une par une.
Il s’agit comme l’explique le Président de la République Française Monsieur Emmanuel Macron « d’assécher le terrorisme à la racine, celui-ci se nourrissant selon ses propres termes « des trafics d’êtres humains, de drogues ou d’armes. »
« Il y a toujours un sous-jacent économique. » précise le Président Emmanuel Macron. C’est cette composante financière du fonctionnement de l’atome terroriste qu’il faut, en sus de toutes ses activités et de leurs répercussions -en somme son rayonnement- considérer si l’on veut impacter sur la structure et l’existence même de cette atome, dans l’objectif d’en contenir et à terme neutraliser les effets recherchés.
Facebook
Twitter
Pinterest
Google+
RSS