Alors que le militarisme interventionniste des États-Unis d’Amérique n’a plus cours depuis l’accession à la Maison-Blanche du Président Donald J. TRUMP, ce qui au moins peut être mis à son crédit, il demeure néanmoins une tension entre Washington et les États organiquement indépendants de la « communauté internationale », à savoir le Venezuela, l’Iran, la Corée du Nord, sans doute la Russie et la Chine, bien sûr la Syrie et bientôt les États-Unis si TRUMP rempile pour un second mandat …
Comme dans le cas de la négociation sur le nucléaire iranien, les autres États à la communauté » internationale liés ou rattachés ont du suivre, pour ne pas dire subir les atermoiements des USA qui sous Barack OBAMA ont entendu attendrir les mollahs par un assouplissement suivant opportunément des années d’embargo total de la République Islamique.
Si Trump remet directement en cause la politique exécutée par ses prédécesseurs, ce n’est pas tant en la stratégie qu’en la méthode.
DONALD TRUMP veut mettre carte sur table, voulant directement s’assurer la « loyauté » relative des décideurs iraniens en ce qui concerne les vues de l’Ayatollah et son régime sur la zone géographique du Moyen-Orient, et non pas calmer les relations pour encourager le libre-échange. Car pour TRUMP, le commerce sert la politique, et non le contraire. La difficulté en dehors les murs américains doit servir à la facilité en dedans.
Et la France dans tout cela ? Ayant parfois frisé la crise diplomatique avec les États-Unis pour avoir directement traité avec l’Iran via ses entreprises, elle doit s’adapter aux changements de majorité politique Outre-Atlantique comme défendre ses intérêts en prévoyant l’avenir lointain. Suivra t’elle donc le fil d’Ariane dans l’obscurité, au risque à la fois de se heurter à son guide organiquement inconstant, du fait des élections à courte échéance- comme à celui qu’elle entend cerner, l’Iran, CNR compris ?
Ou affirmera t-elle sa condition en respectant son allié américain tout en se posant, vis-à-vis de la Chine, comme de l’Iran, ou de la Corée du Nord, comme le Dernier Recours ? La FRANCE COMME DERNIER RECOURS, cela ne peut-être réellement affirmé que lorsque celle-ci en endossera la responsabilité d’initiative « politique » en dehors de la politique limitée qui parfois s’impose à nos pairs, lorsque celle-ci en endossera la responsabilité d’innovation économique en dehors de l’économie malheureusement limitée qui souvent s’oppose, notamment par le droit comme cela se manifeste à LANGOUËT, à nos maires, à notre prévoyance, donc à notre intérêt, sécurité, souveraineté et durabilité territoriales intérieures même, ce pour quoi nos pères se sont battus et ont bâtis une infrastructure iréno-commerciale dont l’absence perçue de perspectives en font ressortir les contradictions, les failles, les contraintes véritables à un ordre de prospérité exponentielle.
Tout se tient donc. Comme au tennis. C’est d’où l’on envoie la balle qu’il faut attendre qu’elle nous soit renvoyé. Or que voulons-nous véritablement, dans tous les camps et dans tous les cas ?
Qu’il ne nous soit renvoyer la balle ? La garder en sa paume tout au long de la rencontre, rencontre qui n’est et ne devrait être qu’une formalité ? Pensons-nous donc que le véritable intérêt est par une restriction de notre esprit d’entreprise causé par les (dé)limitations politiques que nous nous imposons, non forcément envers autrui mais envers nous-mêmes ? Ne pensons nous également que penser l’économie, qui n’est prospère et gagnante que BUSINESS INCLUSIVE en pensant autrui n’est pas ostracisé le marché dont le gain vient de sa capacité, et surtout de sa volonté de faire ce qu’elle est, c’est-à-dire démarcher tout le monde, d’accompagner et promouvoir l’ESSOR DILUVIEN ?
Faire jouer la balle, c’est créer de l’activité, le fondement de toute véritable richesse. Comme souligné dans le présent article, le droit soutient l’ordre, aussi est-il pinçant de s’émouvoir que ledit droit international apporte soutien et légitimité à un certain ordre du capital qui lui donne sa raison d’être.
L’homme trouvant plus acceptable de s’en référer à un pouvoir politique, inacceptable il peut lui apparaître d’être déféré face à un pouvoir financier dont la chrématistique peut lui paraître antagoniste à son propre intérêt et à sa dignité pécunière.
Partant avons-nous pris soin d’adosser le pouvoir financier à un pouvoir politique qui serait son protecteur et tuteur, lui permettant l’enrichissement et la prise d’intérêts par ses voies d’usage et nouvelles techniques ? Le tuteur s’assure un environnement économique stable, une protection vis-à-vis de pouvoirs tiers obtenus par la contribution tout azimuts de ses sujets de droit financier … et plus important, un motif de contentement de ses sujets de droit humain.
Le contentement en effet joue un rôle prépondérant dans la balance entre pouvoir et peuple. Il faut que le peuple éprouve du contentement concernant le pouvoir. Il faut également que le pouvoir éprouve du contentement concernant le peuple.
Que se passe t-il lorsque le peuple n’éprouve de contentement concernant le pouvoir ? Que se passe t-il lorsque le pouvoir n’éprouve de contentement concernant le peuple ? Quel est la raison du mécontentement politique ? La raison du mécontentement du peuple envers le pouvoir et du pouvoir envers le peuple est double : le respect et l’intérêt.
Manquer respect à autrui et à ses valeurs, menacer ou attenter aux intérêts d’autrui; voici les raisons doubles de la base de tout mécontentement.
Mais encore, il faut qu’autrui ait connaissance du manquement de respect et de l’atteinte à ses intérêts pour qu’il en tire mécontentement.
Néanmoins tout sentiment ciblé (par opposition au sentiment diffus) doit avoir un point de convergence extérieur au développeur du sentiment, sans quoi le sentiment ciblé ne serait qu’un sentiment diffus qui n’aura pas de sens puisque son développeur ne connaîtra pas la raison de son existence. Mais comment peut-on diffuser ce qui n’a pas de source ? Sans source, dons sans émetteur, le mécontentement ne peut avoir de récepteur, mais ne brouille que les signaux produits et captés de son terminal. Pourquoi êtes-vous mécontent ? _ Je ne le sais pas, et vous, le savez-vous ? _ Non, comment pourrais-je en avoir l’idée ? Je ne fais que vous voir mais je ne vous comprends pas. _ C’est bien cela, je ressens quelque chose qui m’irrite, mais je ne saurai l’expliquer … je n’en connais même pas la cause ! Je ne peux accuser personne, ni même blâmer quoi que soit. L’enfer … _ Si je peux me permettre … si vous vivez un enfer mais que vous ne le voyiez nulle part, c’est qu’il est dans votre tête. _ Ah … je suis donc mon dernier recours ! _ C’est vous qui voyez monsieur …
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