COMMENT LA SURPOPULATION CHINOISE SAUVE LE MONDE
1. OGS ET OPS : INSTRUMENTS ANTI-COVID
Novembre 2019- Février 2021.
En moins de deux ans, la pandémie de la Sras-Covid, à la date du 30 janvier 2021 (17:48) a causé à travers le monde la mort de 2 209 912 personnes, pour un total de 102 204 419 cas confirmés.
Dans la lutte sanitaire pour enrayer le virus, la meilleure arme est la prévention sanitaire. Au titre des outils de prévention sanitaires figurent les masques chirurgicaux, comme les combinaisons de protection et les kits de dépistage.
Ainsi, la fourniture en OPS* (outils de préventions sanitaires*) est-elle vitale pour enrayer la crise et sauver le maximum de vies.
Alors que la course aux vaccins fait rage, que leur distribution fait l’objet de tractations, que leur validation est parfois contesté, nous pouvons affirmer qu’avant même la guérison permise par l’OGS* (outil de guérison sanitaire*) que constitue le vaccin, les OPS ont eux, d’or et déjà fait leurs entrées dans nos vies, comme dans les processus de décision gouvernementaux.
Aussi, toutes les demandes, toutes les commandes, tous les espoirs se tournent-ils naturellement vers qui produit et distribue les OPS (masques, combinaisons, kits de dépistages).
Or, c’est la Chine, pays ayant premièrement été touché par le coronavirus, qui est le premier producteur d’OPS, et automatiquement le premier distributeur des outils de prévention sanitaire contre le coronavirus.
2. CHINE : 1er PRODEXEUR* d’OPS
Voici les chiffres (source : Ministère du Commerce de la République populaire de Chine) :
La Chine, c’est la prodexion* (production-exportation* ou prodex*) de 34 masques OPS par personne dans le monde,
La Chine, c’est la prodexion de 224,1 milliards de masques OPS,
La Chine, c’est la prodexion de 2,31 milliards de combinaisons OPS,
La Chine, c’est la prodexion de 1, 08 milliards de kits de dépistage.
En termes d’OGS (outils de guérison sanitaire) contre le virus, la Chine n’est pas en reste, avec la distribution par centaines de milliers de seringues pour les vaccins, et un nombre aussi conséquent de ventilateurs de réanimation.
3. RAISONS DE LA SURPRODEXION* CHINOISES d’OPS
La question qui se pose est celle-ci : comment la Chine a-t-elle pu devenir le premier fournisseur mondial d’OPS anti-Covid ?
La réponse superficielle est simple : car la Chine est l’usine du monde ; alors que toute la production industrielle mondiale est à l’arrêt ou en souffrance, les ateliers chinois, après la victoire sanitaire de Beijing contre le virus, ont pu tourner à plein régime, et ne se sont jamais arrêter.
La réponse analytique explique la réponse superficielle : Si la Chine a pu être une usine du monde, il faut en donner le crédit à son excédent démographique, qui aujourd’hui sauve le monde, et continue d’assurer sa survie.
Forte d’une surpopulation de près de 1,45 milliards d’habitants, la Chine est la première puissance démographique, ce qui facilite sa productivité industrielle.
Or la productivité industrielle chinoise, rendue possible par sa surpopulation, s’est avéré un bouclier contre ce fléau qui s’abat sur le monde.
La surproductivité natale, ou surproductivité démographique de la Chine, mais encore le soin et l’investissement envers sa surpopulation, qui a pu être labellisée comme (trop) forte, est le moteur de l’industrie salvatrice chinoise.
LE MOTEUR DÉMOGRAPHIQUE DE LA CHINE SAUVE LE MONDE, PAR SON UNION, SA DISCIPLINE ET SON TRAVAIL.
4. APPROCHE COMPARATIVE DE LA QUESTION DÉMOGRAPHIQUE
4.1 Approche comparative de la question démographique : Anti-surpopulation*
Il apparaît donc que la forte natalité, couplée à une industrie efficace, est la clé de voûte de la survie du genre humain.
Pourtant, alors que nous sommes les premiers à reconnaître et asseoir notre analyse ancienne selon laquelle la surpopulation de la Chine devrait être considérée à sa juste valeur et comme atout, et non point conduire à sa stigmatisation, les consciences ne sont pas encore préparées à une telle éventualité.
La surpopulation est perçue comme une bêtise, une irresponsabilité à la limite de la sauvagerie, de l’animalité, jusqu’alors associée à la pauvreté, à la misère, au manque d’éducation, ou à l’absence de stabilité politique.
Aujourd’hui, les économies occidentales sont confrontées à une récession qui pourrait à terme conduire à une inflation monétaire si l’émission monétaire comme la politique d’emprunts massifs provoquent une dévaluation des devises occidentales principales (euro et dollar).
Aujourd’hui, les réductions d’effectifs, les banqueroutes d’entreprises et autres liquidations d’actifs, couplées aux rationalisations, pourraient à terme créer une crise de l’emploi, voire un chômage de masse, en plus d’une précardisation* (précarité économique, sociale et émotionnelle liée à la placardisation ou au confinement) ainsi qu’une clochardisation domestique* (le terme est peu amène et volontairement utilisé pour interpeller, sans jugements de valeur envers les sans domicile fixe qui, eux, méritent une autre appellation).
Aujourd’hui, la sécurité de l’éducation n’est pas garantie, le parcours supérieur n’est plus ni balisé, ni même assuré de sa pérennité,
Aujourd’hui, les remises en cause des modèles de gouvernements sont légion, les démocraties sont menacées en leur cœur même, tandis que les responsabilités à l’égard de la gestion de la crise sont débattues ; ainsi assistons-nous à des démissions et départs surprises de ministres, voire de chefs de gouvernements, comme en France avec la Ministre de la Santé Agnès BUZYN et le Premier Ministre Édouard PHILIPPE, aux Pays-Bas avec le Premier Ministre Mark RUTTE, en Italie avec le Premier Ministre GIUSEPPE CONTE.
Tout ceci est l’apanage des pays riches ayant parié sur la sous-population.
4.2 Approche comparative de la question démographique : Pro-surpopulation*
En Chine, dont la surpopulation a été considérée comme une aberration nationale et un tort pour le monde, alors même que la pandémie est apparue sur son territoire et y a fait 4 636 victimes pour 89 430 cas confirmés à la date du 30 janvier 2021 (17h45), l’économie connaît un rebond record (+2,0 % de croissance économique pour l’année 2020 après une récession de 7 % au premier trimestre de 2020, augmentation de la production industrielle de 7,3% en décembre 2020, 1,9 % de croissance du commerce extérieur chinois en 2020, pire année de la crise en dehors de celle à venir).
En Chine, la monnaie est stabilisée car la puissance commerciale de ses entreprises ne la pousse pas à supporter outre-mesure son économie par émission de monnaie, de telle sorte que le lancement d’un yuan numérique est envisagé.
Aujourd’hui en Chine, l’indice PMI manufacturier (mesure de l’activité industrielle) est passé à 51,1 en juillet 2020. L’indice PMI manufacturier permet d’établir le taux de progression ou recul de l’activité industrielle, qui est déterminé comme nul à 50,0.
Certes, le Bureau K1FO Chine peut certifier que les embauches dans l’Empire du Milieu ont ralenties, et que les chiffres du chômage augmentent en Chine ; mais cela n’est pas du seul fait de sa surpopulation qui sauve plus qu’elle ne freine la Chine et le monde; c’est la récession économique en Europe et en Amérique du Nord qui conduit à une baisse des commandes, ce qui ferme des débouchés commerciales à la puissance chinoise.
Aujourd’hui en Chine, le rebond économique, comme les MSS* (mesures de sécurité sanitaires*) ont permis de faire émerger une nouvelle société de consommation chinoise, qui fait éclore un nouvel indice économique phare de la prospérité chinoise : le marché intérieur chinois.
Ainsi, les entreprises chinoises tournées vers la consommation intérieure chinoise voient leur bénéfices grimper en flèche, et des fortunes s’ériger en temps de crise ; pour exemple le groupe Tencent (WeChat) dont la fortune du fondateur atteint aujourd’hui les 57 milliards de dollar, notamment boostée par les achats en Chine de jeux vidéos et autres services audiovisuels de divertissement ou communication.
Certes l’industrie chinoise, portée par la surpopulation de la Chine sauve le monde, mais comment sauver le monde sans d’abord assurer sa survie ; c’est ainsi que la surpopulation chinoise permet en temps de crise sanitaire la surconsommation dans le marché intérieur chinois.
C’est donc l’économie chinoise, portée elle aussi par la surpopulation chinoise, qui soutient l’industrie chinoise, sauveuse de l’Humanité.
5. L’ÉQUATION SINO-MONDIALE
De par la conscience de sa (sur)population, longtemps vouée aux gémonies, mais à présent essentielle à la guerre contre la Covid-19, la Chine a pu en quelque décennies organiser une société à échelle de continent, ou l’efficacité pragmatique diffusée de l’État à la population amenuise les atermoiements liés à l’adaptation nécessaire à la crise.
Si la Chine est, et sauve, c’est parce qu’elle est nombreuse et qu’elle travaille, unie avec discipline.
Cela ne fut sans doute pas toujours le cas. L’Économie chinoise est rescapée des pires périodes de son Histoire, et la politique de l’enfant unique n’a pas fini de laisser des traces, malgré les effets qu‘elle a pu avoir sur la maîtrise importée de sa démographie.
Dès lors que la Chine a pu se faire confiance, et donc en sa surpopulation, loin des clichés et des discriminations, elle a pu non pas exporter son modèle démographique, là n’est pas encore la question, mais exporter les bienfaits de sa surpopulation, dont en premier lieu la surproduction de son industrie.
L’équation sino-mondiale est simple :
Surpopulation = Superpopulation* = Surproduction = Superproduction* = Surconsommation = Superconsommation* = Surcroissance = Supercroissance*.
La population est en effet un force de production majeure, à considérer au même titre que les moyens de production comme les capitaux.
Superproduction = Survie. En temps de guerre, il n’est rien qui ne sauve si ce n’est la superproduction, garantie de la survie nationale, et en un contexte de morbidité mondiale, garantie de la survie de l’Humanité.
Si le contexte, les conditions ou les stratégies adoptées ne permettent pas de se reposer sur sa puissance démographique, la crise actuelle prouve, puisque c’est la Chine « trop peuplée » qui de par son nombre d’habitants opérationnels tient le sort du monde, qu’il faut au moins se réserver une puissance démographique industrieuse, fut-t-elle tierce.
6. L’ANTI-DÉMOGRAPHISME*
Posons-nous la question suivante : dans le cas d’une crise comparable, sans la Chine, que se serait-il passé ?
Combien de morts aurions-nous déploré sans les 34 masques OPS par personne dans le monde ?
Combien de morts aurions-nous déploré sans les 224,1 milliards de masques OPS ?Combien de morts aurions-nous déploré sans les 2,31 milliards de combinaisons OPS ?Combien de morts aurions-nous déploré sans les 1, 08 milliards de kits de dépistage ?Combien de morts aurions-nous déploré sans les millions d’OGS distribués à travers le monde (centaines de milliers de seringues pour les vaccins, et de ventilateurs de réanimation) ?
Mais combien de crises, combien de bouleversements aurions-nous connus sans la Superpopulation chinoise ?
Pour finir, nous devons revenir à la source de la pensée anti-démographiste*.
L’anti-démographisme prônait la sous-population, partout et pour tous, sans distinction.
La réduction de la surpopulation mondiale, par la réduction de populations ciblées réputées surpeuplées par rapport à des normes anti-démographistes, était, et est sans doute encore une pensée considérée comme appliquée.
Nous avons prouvé les bienfaits dont une telle politique anti-démographiste aurait privé le monde si elle avait conduit à une réduction de la surpopulation chinoise ; la force productive industrielle chinoise aurait été impossible.
En effet, pas d’atelier mondial sans démographie de dimension globale.
Si nous refusons l’application uniforme de la politique anti-démographiste sans distinction géographique et sociale, et sans pensée pour l’avenir, nous ne pouvons également présenter le modèle de la surpopulation comme modèle unique, à retranscrire aveuglément sur tout territoire.
Toutefois, puisque la pandémie de la Covid et sa gestion ont appelé une solidarité internationale, une concernation* de tous par tous, notamment par le commerce, la coopération et l’échange, nous posons qu’il faut nécessairement si globalité de gouvernement il faut adopter proscrire toute action de régression de la surpopulation.
Cela serait pire qu’un meurtre ; un meurtre doublé d‘un suicide.
Ce serait pire qu’un crime contre l’Humanité, un Déni de l’Humanité.
Et le suicide ne serait dissociable du meurtre, puisque comme l’analyse de la Chine fournisseuse du monde le prouve, tuer (réduire dirons-nous) la population ou qu’elle soit serait comme jeter à l’eau en tant de crise sanitaire 34 masques OPS par personne dans le monde, 224.1 milliards de masques OPS, 2.31 milliards de combinaisons OPS, 1.08 milliards de kits de dépistage, et des millions d’OGS distribués à travers le monde (dont des centaines de milliers de seringue pour les vaccins, et autant de ventilateurs de réanimation).
Qui ferait cela ? Ceux qui fustigent la surpopulation de l’Asie l’auraient fait, et le font lorsqu’ ils freinent la surpopulation, forcément bénéfique qui s’établit en Afrique et en Asie.
7. LE DÉMOGRAPHISME*
Le nombre est le potentiel, ici le potentiel de production, de distribution et d’aide.
La force démographique est la clé de voûte de tout système mondial.
La Chine l’a prouvé, comme le feraient sans doute l’Asie et l‘Afrique, le grand nombre peut garantir la survie du plus petit nombre.
Le nombre est la vie.
Si la richesse démographique n’était pas la vie, et ne méritait pas tous nos efforts, tous nos encouragements pour le soutenir et le protéger, pourquoi donc en Europe et en Amérique du Nord lançons-nous des campagnes de vaccinations, établissons nous des gestes barrières ?
Pourquoi ne laissons-nous pas le virus du Sras-Covid tuer le maximum de personnes là où il sévit le plus, alors que la réduction vitale serait la réduction du nombre prônée par les meilleurs esprits du monde ?
Pourtant, le courant anti-démographiste ne demande qu’aujourd’hui, ici et maintenant, d’être appliqué en Europe et en Amérique du Nord.
Nous n’y souscrivons pas.
Car le nombre est la vie.
Et sur le nombre tout repose, pour que la vie s’impose.
La surpopulation est un atout. Elle doit en tant de paix être préservée pour ne pas en tant de guerre une faiblesse, mais une force de support à l’échelle du monde. Tout doit conduire à la présence vigoureuse de la surpopulation, pour rempart vital à l’anéantissement total.
Pour ce faire, puisque nous avons vu que l’importation de modèle démographique n’est pas souhaitable, mais que lui est préférable un développement interne de santé démographique, il faut laisser chacun cultiver son jardin, nourrir et protéger sa famille, afin le cas échéant d’en faire profiter, comme la Chine aujourd’hui, l’humanité toute entière.
La surpopulation, intrinsèquement est un plus, qui va donner par contribution la solution à toute crise, mais encore permettre à celle-ci repartir sur des bases solides, hors du cercle de la morbidité.
La croissance démographique est d’ailleurs un indice de santé, de vitalité et de vigueur de la population, qu’il régule en tant qu’il établit le renouvellement des générations.
Ainsi une région à faible croissance démographique serait-t-elle menacée, tandis qu’une région démographiquement décroissante serait en péril.
Car la croissance démographique est la vigueur de la population, et aller contre, c’est est aller contre la vigueur de la population . Quelle population irait contre sa propre vigueur ? L’accepter, ce serait comme se confiner, en confinant sa démographie.
Or le confinement spatial comme démographique, les réactions aux mesures de préventions sanitaires contre la propagation du Covid-19 et certains de leurs effets le montrent bien, sont néfastes pour la santé autant physique, mental que émotionnel, et conduit à terme à une aggravation généralisée de la santé de l’ensemble, à une mise en danger de son existence.
La décroissance comme la réduction démographique sont, quelque soit la méthode utilisée, une atteinte à la vigueur et au bien-être humain.
8. CONSIDÉRATIONS SUR L’ANTI-DÉMOGRAPHISME
Réduire la surpopulation et ses facultés, confiner sa santé, et casser sa vitalité comme ses capacités d’épanouissement, de production, et comme la Chine le démontre, de conception comme de projection, c’est la faire rentrer dans le cercle de la morbidité qui, puisque le monde est interconnecté, influe nécessairement de manière néfaste sur le monde, créant de multiples facteur de comorbidité.
Réduire la surpopulation ferait de l’humanité la proie du trou noir morbidaire*, c’est à dire si malsain qu’il condamne à mourir.
Nous sommes comme une planète près d’être aspiré par un trou noir gravitationnel, or la surpopulation crée l’énergie nécessaire qui résiste à la force de gravité d’un trou noir ; sans le surplus d’énergie de la surpopulation, nous serions happés par lui.
Nous le voyons à l’aune de la pandémie, les populations qui se sont posées contre la surpopulation ou ont refusé d’y associer leur politique, ces populations développent sur un plan d’avantages de facteurs à risque, et sont devenues des populations dites à risques.
Réduisons les risques, évitons les crises.
Sortons de ce cercle de la morbidité, la solution est là.
9. CONSIDÉRATION SUR LE DÉMOGRAPHISME
La solution est la surpopulation.
Avec la Chine déjà, nous ne pouvons que nous associer à la population à la plus forte surpopulation nationale pour bénéficier de la richesse mondiale que procure la surpopulation de ses éléments y étant prédisposés (la disposition à la surpopulation étant, la Chine en est témoin, un atout comme une très lourde responsabilité qui induit l’autonomie de décision).
Continuons dans cette voie, des deux côtés de la table.
En effet, dans sa politique de superpopulation, la Chine malgré sa puissance, n’a jamais mené une politique de guerre extérieure qui mettrait sa population intérieure en danger. Selon la maxime « Ne fais pas à l’autre ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse ». Pour la Chine la vie est donc importante, la Chine a le respect de la vie. il serait donc injuste de mettre en danger sa population et son État de droit.
Partant, la sécurité des approvisionnements, comme la réduction de toute crispation économique ne saurait être permises que par l’encouragement de la surpopulation.
La surpopulation chinoise est en effet aujourd’hui celle qui soigne, nourrit et restaure le monde; la restauration du monde par la Chine se faisant autant sur le plan alimentaire qu’organisationnel.
10. POUR DEMAIN L’ACTE POSÉ
La Chine a créé au fil du temps le bouclier le plus puissant pour le genre humain : la Surpopulation Anti-Coronavirus.
Gardons cela à l’esprit, lorsque nous condamnerons la surpopulation à se réduire et disparaître :
Aux pires heures de la pandémie de la Covid, c’est par la surpopulation que nous tenons.
Les années sombres à venir ne s’éclairciront que par élévation au modèle de vertu du particularisme démographique, dont son modèle le plus généreux; celui de la SURPOPULATION.
Sans surpopulation, nul partage possible.
Or le partage est ce qui nous sortira TOUS du trou noir démographique que nous tend la crise sanitaire.
Pour survivre à la guerre qui n’est que force de suppression de la population ; promouvons la paix par la force de création de la surpopulation.
Pour Demain l’Acte Posé.
* concepts crées par le besoin de l’article, par K1FO, pour sa compréhension :
OPS, OGS, Prodexeur, Prodexion ou prodex, Suprodexion ou surprodex, Anti-surpopulation, Précardisation, Clochardisation domestique, Pro-surpopulation, MSS-Mesures de sécurité sanitaire, Superpopulation, Superproduction, Superconsommation, Supercroissance, Anti-démographisme, Anti-démographiste, Concernation, Démographisme, Morbidaire
GNADOU ATHYTHEAUD, Département de Recherche HGOAH | K1FO
Comment la Surpopulation chinoise sauve le Monde (2021)
Pour vous, la version complète de Comment la Surpopulation chinoise sauve le Monde, sur K1FO.INFO.
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