GNADOU DANO ZADY est un homme d’affaires, entrepreneur de médias, Président du Parti Ivoirien du Peuple (PIP) et fondateur du Mouvement Khadhor’.
Fils de GNALY Amackha GNADOU Kogba et de DJEGOU Hanon Yokbè Léhi, GNADOU DANO ZADY se révèle un étudiant brillant, passionné par la Science. Il fonde à cet effet avec des camarades de classe le Club Scientifique et l’Academie des Sciences.
Surnommé « Wenceslass de Zhiey » et « JR » par sa génération et ses aînés, GNADOU Dano Zady et beaucoup de jeunes de ses connaissances entreprennent de mettre sur pied une collecte collective gérée par tous qui permet de réunir une bourse. Celle-ci permet à la jeunesse d’organiser des sorties culturelles, les festivités des élèves, l’achat de matériel et de fournitures à travers l’association Amackha Club de Djidji fondé le vendredi 26 août 1977 à l’Epp de Godiéko.
Son père, GNADOU Amackha, dit le « Vieux GNADOU », décède alors que Dano Zady est âgé de quatorze ans. Ses frères et sœurs et lui se doivent d’apporter leur concours à leur mère, pour le travail au champ, mais aussi s’entraider encore plus.
Se destinant à devenir pilote d’avion, JR étudie les mathématiques et obtient un master de mathématiques. Il passe et réussit le concours d’aviation, mais le fait qu’il soit jeune père notamment l’empêche de partir pour le centre de formation aéronautique en U.R.S.S.
À son arrivée en France avec sa femme KOBRY Lessouhon, GNADOU Dano Zady doit, malgré ses qualifications, effectuer dans un premier temps des boulots alimentaires de gardiennage etc avant de faire valoir ses connaissances scientifiques et techniques qui l’amènent à intégrer la BRINKS où il devient Chef de la Sécurité.
En 2001, conscient que la crise politique ivoirienne ne pourra se régler par et pour les intérêts des uns et des autres, et que celle-ci ne va aller qu’en s’empirant, comme le futur le lui prouvera malheureusement, GNADOU crée le Parti Ivoirien de l’indispensable (P.I.I) pour sortir de l’impasse vers laquelle « la Suisse de l’Afrique » se précipitera par la suite.
Gnadou Dano Zady établit également cette année le fait qu’un être humain ne devrait jamais être désigné à partir d’une couleur, car cela chosifie et le déshumanise. Il met en évidence qu’il est inacceptable par exemple de parler d’Amérindiens comme des « Peaux-Rouges », d’appeler un Asiatique « Jaune » ou un Africain « Noir ». Il fonde alors le Mouvement Khadhor’, qui a pour fondement de faire respecter la dignité de tous les peuples, le respect de chaque être humain et l’Alliance des Nations vers un avenir proche de la prospérité commune.
En effet, les États, les entreprises et les cultures ne sont plus séparés mais impliqués dans un même environnement. Celui-ci ira soit vers la guerre de tous contre tous, avec à la clé destruction et répercussion fatale sur les fautifs (comme cela le fut après la Seconde Guerre mondiale sur le IIIe Reich et comme cela le sera sur notre ère si nous n’infléchissons pas la tendance environnementale). Ou alors cette Alliance s’implique entièrement non vers une paix sans moyen de l’assurer, mais vers un développement pionnier commun, ou l’on fait s’exprimer les projets et plans positifs.
En 2004, GNADOU Dano Zady, non sans avoir préparé sa famille au combat politique, se décide à mener son projet politique en Côte d’Ivoire.
Son Épouse élève leurs enfants en France, à Maisons-Lafitte. Profitant de l’absence de GNADOU Dano Zady, ses adversaires politiques et leurs affidés se muent en prédateurs, persécutant sa famille. Le 7 août 2006, célébration du jour de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, sa famille est expulsée avec grande violence et force humiliation de son domicile.
Revenu en urgence de Côte d’Ivoire, GNADOU Dano Zady sera durant les années qui suivront l’objet d’un acharnement et d’une véritable persécution, qui n’entameront pas sa détermination ni la vigueur de son engagement social et politique.
Les péripéties, les persécutions, et le déchaînement de la haine ne manqueront pas. Le 8 octobre 2008, alors que ses enfants rentrent de l’école, ils doivent faire face à l’épreuve la plus désolante: des policiers par dizaines procèdent à la rafle de toute la famille GNADOU, dépossédée, spoliée, corps et biens et jetés à la rue.
La famille GNADOU est déportée dans un centre de détention et d’asile à Achères Grand Cormier, où elle sera enfermée et persécutée pendant plusieurs années. Au milieu des personnes laissées à la marge ou mis à l’écart, GNADOU Dano Zady résiste aux tentatives de subversion insidieuse et annihilation, et porte plus haut encore sa lutte pour le respect de la condition de l’homme, et l’alliance des peuples.
Ainsi, face aux injustices et privations subies par ses co-résidents, ou plutôt ses co-détenus si l’on s’en tient à la considération factuelle de leurs conditions de (sur)vie, GNADOU Dano Zady décide de se battre pour leur dignité et le bien-être des habitants du Centre du Grand Cormier. Il fonde le journal « La Feuille du Grand Cormier« , qui rétablit la fierté des résidents, la vérité sur leurs conditions de vie tout en poursuivant son oeuvre d’harmonisation de leur cadre de vie. L’isolement, l’infantilisation et le danger cèdent au fur et à mesure la place à la concorde, l’initiative et la sécurité.
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Cet article est en cours de rédaction et est à la disposition de tous ceux qui peuvent, de par leurs témoignages dans les commentaires, apporter leurs contributions pour une biographie complète de M. GNADOU DANO ZADY. YOUKWI de K1FO les remercie d’avance.
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