UN PAYS – UN PEUPLE – UNE NATION
NON AUX ELECTIONS PRÉSIDENTIELLES D’OCTOBRE 2015
LE PIP CANDIDAT À LA RÉCONCILIATION ET À L’UNITÉ NATIONALE
Nous sommes fermement d’accord en la détermination de la chaîne des erreurs et leurs responsables en Côte d’Ivoire(CI) ces quinze dernières années. Mais nous sommes plus que jamais préoccupés, et fermement convaincus qu’à présent la réconciliation nationale garantissant aux futures candidats les mêmes droits et devoirs s’avère un passage obligé à la tenue d’élections présidentielles et législatives justes inopinables, transparentes, libres et ouvertes. C’est seulement à travers cette réconciliation que l’Etat trouvera les conditions unanimes à l’apaisement consensuel de tous les citoyens et citoyennes ivoiriens(es).
A cet effet, le PIP milite énergiquement dans l’esprit d’un renvoi sine die des élections présidentielles 2015 en CI. La conscience nationale démocratique exige à tous, de prendre part intégralement à la consolidation d’une paix condivisée durable; d’en déterminer les nouvelles voies appropriées légales constitutionnelles de la responsabilité publique et privée, précisant sans équivoque, leur limite tout comme leur élasticité de sorte à prévenir la société contre tous les risques et atteintes politico-sociaux dont une des formes la plus éclatante, moyenâgeuse est le “rattrapage ethnique” (ndr).
Un véritable dérapage de style clanique et cyclique développé par le pouvoir Ouattara, en place depuis son installation, et constituant un cas historique éloquemment triste. Là où le RDR d’Alassane Dramane Ouattara et les FN de Soro Guillaume ont péché et sont tous les deux prisonniers de leur malhabilité, le PIP a semé l’optimisme de la compensation territoriale afin de créer de la valeur. Parce que la Côte d’Ivoire est un apporteur de Valeur, vecteur de sa croissance partagée historiquement reconnue. Et cette Valeur, selon le PIP, doit aussi indispensablement contribuer à travers un plan d’intégration économique sous-régionale ou une politique économique de solidarité au développement des pays frères le Burkina Faso (pays des hommes intègres), le Mali, la Guinée, le Libéria, le Ghana…
Dans sa perspective de démocatisation de la démocratie, le PIP a toujours œuvré inlassablement pour la paix en Cote d’Ivoire et n’a cesse de ressasser que seules les bases de la Liberté Civile peuvent libérer notre nation de sa propre léthargie. Le PIP a un plan de Paix “l’INDISPENSABLE PLAN DE PAIX ET DE DEVELOPPEMENT” déjà connu par diverses instances des organisations nationales et internationales et qu’il avait fait parvenir aux respectives têtes pensantes des deux camps belligérants en Côte d’Ivoire avant sa publication à travers les pages du quotidien Fraternité matin en date du 26 Octobre 2004.
Si, jadis les intérêts en jeu ont prévalu sur la méthode critique et réflexive de la raison humaine, hic et nunc, le devoir qui s’impose à tous est d’avoir conscience que nos diversités d’opinions sont un moteur de richesses et ne peuvent en aucun cas servir de prétexte aux générations futures pour justifier une quelconque guerre fratricide ou civile. Aussi nos rapports Afro-Africains et Afro-‘Asiameriles’ < Asie-Amérique, les Iles (néologisme oblige) > doivent-ils retourner au beau fixe au nom de notre histoire commune et de la longue tradition d’Amour, d’Amitié, de Fraternité qui lie nos peuples à un destin commun.
Bien que l’agglomération d’Abidjan vit un petit réveil de grands travaux et d’un relatif dynamisme apparent, le PIP désapprouve tout de même le model de développement social de l’actuel gouvernement pour la simple raison qu’il n’est pas fondé sur les principes d’un model social participatif, et en conséquence, développe une croissance économique non-inclusive. Cette forte inadéquation politico-sociale économique fruit d’un développement économique par copyright mise à jour par les colonisateurs dans la période plus ancienne antérieure à l’indépendance (1950-1960) puis récupérée comme model opératif existentialiste par le néo-capitalisme libérale financier pur et dur, est une des principales causes majeures de la création de nouveaux pauvres (les personnes aisées de la classe moyenne qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts) aussi bien que des inégalités sociales épouvantables urbi et orbi, et de la misère (Moody’s a relevé le revenue brut par habitant en CI, 1819 $ PPA 2014. Une vraie anomalie en comparaison avec la richesse globale du pays).
Le PIP est persuadé que ce type d’économie mis en place est inexorablement condamnée à un échec programmé. Et dit en plus :
Ni la note des Agences d’annotation (Moody’s, Fitch, standard and poor…) le rassure
Ni les prévisions de croissance du FMI ,une institution qui vante une expertise pluriannuelle dans son secteur tout comme Moody’s n’a pu servir de pièces à conviction capables d’émousser sa vive préoccupation. Une fois n’est pas coutume dit l’adage. Cela vaut la peine de le rappeler aux uns et aux autres encore perplexes qui ne veulent pas s’en convaincre : aux Usa, la Lheman Brothers, la Fae & Mea … jouissaient d’une solide réputation. Leurs obligations étaient classées A .
Par précision, quelques jours avant l’effondrement de la Lehman Brothers elle était classée comme suit Fitch A+ , Moody’s A2″, Standard & Poor’s « A ». En Europe occidentale, ce sont les grandes banques, une des causes principales de la crise économique actuelle. Alors que celles-ci avaient utilisé les afflux de liquidité de fonds souverains en leur possession pour leur recapitalisation à de fins spéculatives folles, les mêmes organismes ou institutions d’annotation les déclaraient quasiment tous aptes au stress test(test de solidité d’une banque) provoquant à la fois une contagion dévastatrice sur les marchés financiers, une crise de l’économie réelle à l’échelle planétaire.
Le mea-culpa du FMI au sujet de tant d’incongruences dans ses prévisions de croissance (erronées) en zone Euro, sa responsabilité dans la récente crise bancaire grecque, ses PAS (PLAN D’AJUSTEMENT STRUCTUREL) inappropriés dans les pays en voie de développement (pvd), sont une série d’éléments qui réclament prudence et invitent à ne pas claironner par exemple l’attribution d’une mention B1par Moody’s pour les émissions souveraines de la monnaie locale (500 millions de dollars).
La prédilection du Chef d’État Ouattara pour les infrastructures de prestige à seule fin de propagandes électorales, au moment où la crise économique dans les pays industrialisés dits développés pousse ces derniers à la recherche d’un paradigme nouveau de politique sociale, économique et environnementale moderne, laisse deviner sa considération de la conceptualisation de services publics, sociaux < l’activation des petits arrangements > et de l’environnement < la cimentification abusive>.
En clair, avec une constance du service minimum indivisible sapé au profit du service général, le pouvoir Ouattara, en place en CI, vise une politique sociale mal inspirée du < One size fits All > du marketing. Cette orientation vaille que vaille à une économie expansivement liée aux investissements en infrastructures (irrationnelles) sans tenir compte des paramètres d’efficience <les variables desquelles dépendent la réalisation des projets ont été négligées – les facteurs humains (les Réssources Humaines), le temps (le just in time) les coûts ( central d’achats, standardisation des coûts…et d’autres le contrôle [marge budgétaire-], le benchmarking…) > démontre l’inefficacité du gouvernement aussi bien que l’inclination de celui-ci à un exhibitionnisme à progression géométrique.
Les circonstances de l’annonce de la réalisation de la première ligne de métro à Abidjan à EXPO 2015, en ITALIE renforcent la preuve indéniable de cet exhibitionnisme. Par esprit calculateur, le choix d’Expo par sa dimension, de l’Italie par sa taille en terme économique était plus convenable à la sensibilité du Chef de l’État des grandes tribunes historiques stalino-mussoliniennes.
Malgré une hilarité passagère remarquable après cette annonce, vite un malaise s’est emparé de la grande majorité de la population jugeant que leurs priorités sont autres et se trouvent ailleurs. Par exemple, la population rurale, sphère incluant les cadres plus les employés(es) de la Fonction Publique et/ou du secteur privé ayant embrassé les travaux champêtres par soucis économiques (pallier à leurs salaires insuffisants à la fin de chaque mois); autrement dit la paysannerie et la nouvelle bourgeoisie agricole locale ne cachent pas leur mécontentement face aux difficultés logistiques et à l’inflation persistante auxquelles elles sont quotidiennement confrontées.
Si les réformes dans le secteur du cacao et d’autres produits agricoles d’exportations avaient été faites au profit des planteurs comme le soutient le gouvernement ivoirien (et non au profit de mains riches invisibles “spéculateurs, gros exportateurs, propriétaires d’usines ou de camions tout terrain…” ). Le bon sens oblige que ce gouvernement rénove avec diligence toutes les routes des principales régions productrices de produits agricoles d’exportations assurant l’excellence ivoirienne. Sans parler d’autres opérateurs économiques territoriaux qui se plaignent de la pression fiscale et accusent aussi le pouvoir d’avoir négligé pendant longtemps les transports extra-urbains pénalisant surtout la mosaïque des petites et moyennes entreprises des entrepreneurs locaux.
A cet égard, le PIP demande que par approbation gouvernementale, les stratégies de focalisation par les services, et de focalisation des prix de Transports urbains soient conjointement appliquées dans le cadre d’une opération de relance de Transports en commun. Aussi le PIP propose t – il un restyling des véhicules de transports en commun aussi bien que des véhicules privés à utilité publique (vieillis ou inadaptés) après une analyse approfondie d’une stratégie buy or make. Le PIP ajoute que toutes ces actions devront être combinées avec la multiplication et le développement du transport urbain sur rails (trains à étage interurbains, trams plus longs à grande capacité portante) et du Transport par voie d’eau…
Voici en réalité ce qui peut favoriser, selon le PIP, une mobilité soutenue à Abidjan et mettre judicieusement au second plan le transport urbain métropolitain permettant ainsi de réaliser des économies sûres dans une situation de crise globale. Nulle part, dans les pays où l’utilisation du métro est une tradition, il a été certifié que le métro est la solution primordiale aux embouteillages ou bouchons de la circulation dans les grandes agglomérations urbaines. Il va sans dire, la construction des voies et couloirs préférentiels de circulation pour le transport en commun sont une prérogatives puisqu’elle peut constituer un remède actif à décongestionner le trafic urbain.
Au moment où l’État peut prendre des décisions plus courageuses de justice redistributive en effectuant des Transferts, la réduction des taxes… pour redonner aux citoyens, citoyennes et aux PME du souffle pour repartir, le pouvoir politique a préféré le choix rationnel mais manipulable de la minorance (majoritaire) des biens publics purs.
Poursuivant, le PIP souhaiterait que le gouvernement puisse pourvoir d’abord à la satisfaction en besoins d’ eau potable – courante aux dames et messieurs, locataires permanents, résidents séjournants ou propriétaires qui habitent les quartiers d’Abidjan ou dans les autres villes du pays qui n’ont pas accès à l’eau dans le pire des cas, dans le meilleur des cas, ont une alimentation en eau très limitée ou bien sont à la merci des caprices de caporalats réquisitionnaires de la seule source d’eau du quartier. Dans le même ordre d’idée, le PIP préférerait que soit trouvé, une solution au délestage fréquent perpétré au grand dam de ceux qui payent régulièrement leurs factures d’électricité .
D’une part, le PIP s’indigne de la volonté de ceux qui sont au pouvoir de n’assurer point d’assistance médicale de base à la population ni aux urgences. La couverture maladie universelle actuelle est insuffisante. Le PIP a une autre recette plus fonctionnelle et promet de rénover impérativement celle en vigueur mis en place par le gouvernement.
Tout concours à dire, selon la vision du pouvoir Ouattara, que pour devenir un pays émergent il faut nécessairement tenir la population en-dessous du seuil de pauvreté (plus de 52% de la population), disposer d’une population désoccupée qui se soigne mal à peine, formée dans une université décimée par la tête…
D’autre part, le PIP voudrait attirer l’attention sur le fait que les mauvaises infrastructures n’amélioreront pas la vie des citoyens et citoyennes ivoiriens. Elles laisseront une dette publique pharaonique à payer aux enfants ivoiriens et aux enfants de leurs enfants. Elles servent uniquement à jeter illicitement l’argent des contribuables ivoiriens par la fenêtre directement dans les poches d’opportunistes affairistes, d’apporteurs d’affaires ou de proches amis(es) sans scrupule, financiers anti-territoriaux farcis de tous types d’exemptions tarifaires ou d’impôts chez nous mais évaseurs bénéficiant de l’anonymat dans leurs pays d’origine et en quête permanent d’optimisation fiscale leur permettant d’échapper de façon légale à l’impôt (ils font l’objet de nombreuses listes dont les plus accablantes les listes Lagarde[FMI], H. Falciani[ex banquier HSBC] – traqués grâce aussi à la Voluntary Disclosure…)
Ces pratiques de pillages savamment orchestrées à travers les évasions fiscales privent la Côte d’Ivoire et les pays africains en général de réaliser des politiques “révolutionnaires”, progressistes dans le sens de développement social, tenant clouer leurs économies au starting block dans la course au développement.
De la Reaganomics (+ marché, – état, dérégulation ) au Draghisme ( planche à billets-Qe) en passant par l’Abenomics (monnaie, fisc,croissance) puis l’Afrique des figures géométriques (l’Afrique un pré carré économique, un rectangle stratégique) le statut des pays Africains a évolué du point de vue terminologique comme suit Quart-monde, Tiers-monde, pays sous-développé, pays en voie de développement, pays émergents mais pas en terme économique. Celle-ci reste précaire , moins compétitive avec une population jeune désormais en fuite massive à la recherche de l’eldorado en Europe.
La Côte d’Ivoire n’en a nul besoin. Ce pouvoir politique a caressé le désir de faire, renaître avec fracas le culte de la force, du féodalisme et de la restriction des libertés individuelles cumulés avec une économie mixte, l’une financière boursière opaque (les bourses, les marchés financiers ne sont toujours pas rationnels), l’autre de type néo-keynésien dirigiste qui représentent autant de facteurs de vulnérabilité de la souveraineté de notre économie destinant celle-ci à une forte exposition sur les marchés financiers et à une dépendance prolongée des prêteurs de fonds.
Le PIP a un plan effectif de paix et l’avait proposé pour éviter la guerre au peuple ivoirien. Il a fait de la paix un modus vivendi parce qu’il est intimement lié à l’acception selon laquelle la démocratie ne se réalise pas sous la poussée de la transformation des routes ou de la construction des ponts, ni même par la transformation industrielle. Mais par la poussée à la base des hommes et des femmes libres, des organisations ou collectivités sociales ayant une conscience très élevée des intérêts nationaux, une conscience du respect des droits et une culture de la certitude de la peine, aussi bien par le niveau élevé de confiance des citoyens en la < Machine Étatique >.
Le PIP convie chacun, politicien ou non à se rendre à l’évidence que l’homme politique même bon, est fatalement lié à son temps ,et donc , doit cesser de chercher inutilement dans sa personnalité un monde nettement différent du sien.
Enfin, le PIP un est parti libre moderne. Il se distingue des partis traditionnels pyramidaux au sommet effilé, ses décisions politiques sont l’émanation concertée de chaque membre actif ou sympathisant inscrit (une personne égale à une voix 1:1). Il a catégoriquement objecté dès sa création d’être passé pour l’interprétation de l’hégémonie des partis traditionnels à l’opposition ou au pouvoir allergiques à la mutation politique réfutant de se faire une mue idéologique, ayant perdu la boussole du changement générationnel sont restés chantres de la pensée selon laquelle un parti d’opposition doit se démembrer, jouer un rôle de subalterne en échange d’un pauvre poste ministériel ou de prébendes.
Le PIP est prêt pour assumer le pouvoir et guider l’alternance gouvernementale sans relation adultérine d’une compromission de dénaturation avec l’opposition ni le pouvoir. Mais une alternance démocratique universelle décidée sur la base de procédures réglementaires universelles incluant le référendum comme droit constitutionnel effectif.
Le PIP valorise la qualité de l’individu, et mise sur l’émancipation des hommes et des femmes pour soutenir la richesse sociale en CI. Il vise la protection des plus faibles (les femmes gravides, en maternité, les enfants, les personnes âgées, les personnes diversement habiles…), défend la parité des sexes et l’égalité des salaires à compétences égales.
Afin de réaliser cet objectif, le PIP avait préconisé: la gradualità et le consensus comme deux axes autour desquels il avait souhaité rassembler toutes les forces démocratiques ivoiriennes et la société civile pour signer un pacte social ayant pour clé de voûte le pluralisme politique démocratique (conférant 2 mandats seulement non renouvelables au Président de la république élu, octroyant alternativement à chaque législature aux femmes soit la Primature soit l’Assemblée Nationale), la justice sociale et l’équité garantissant une société civile multiforme, multiculturelle, articulée et non rangée en tranchées, redistributrice de la richesse nationale, consommatrice intelligente pour laquelle le monde du net, des organisations non gouvernementales, des associations libres du monde entier, des femmes et des hommes épris de justice luttent inlassablement pour l’avènement.
Enfin, le PIP se serait congratuler de la mise en sécurisation des bureaux de vote en CI. Sauf que Youssouf Bakayoko, le Président de la CIE (Commission Électorale Indépendante) reste le même, à son poste et aurait déclaré qu’il appliquerait les mêmes conditions de sécurisation qui ont assuré la victoire en temps de rébellion et installé le pouvoir actuel en Côte d’Ivoire.
Le PIP reste perplexe quant à l’impartialité que Monsieur Youssouf Bakayoko peut démontrer cette fois en temps de répit. Aussi le PIP lance t-il un appel aux autorités compétentes de laisser que soit échu à l’opposition le droit de choisir le Président de la CEI et d’organiser les élections d’octobre 2015 comme ça en était le cas quand le RDR d’Alassane Dramane Ouattara et les Forces Nouvelles de Soro Guillaume respectivement Chef de l’État et de l’Assemblée Nationale de l’actuel gouvernement étaient dans l’opposition. Ainsi faisant, le monde entier verra satisfait des 80% de la majorité des voix que le RDR mettant les mains en avant, clame haut et fort déjà de rafler dès le premier tour.
Au cas où les autorités compétentes viendraient à manquer à cette obligation alors la Côte d’Ivoire toute entière et l’opinion internationale se trouveraient face à une morale de légalité complaisante.
Fait le 05/09/2015
Pour le Parti Ivoirien du Peuple,
Le Président,
Gnadou Dano Zady
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