LE CHIEN FAIT HOMME
Le présent article concerne Curtis, le chien du compagnon de Mme Pilarski, malheureuse victime d’un décès par morsure de chien.
Le chien de Mme Pilarski ou de son compagnon est aujourd’hui accusé d’être le responsable de la mort de Mme Pilarski.
La justice des hommes s’appliquera sur Curtis, son compagnon canin, dont la défense honore ceux qui font des droits d’un être vivant, quel qu’il soit, une valeur suprême sur laquelle il ne faut JAMAIS transiger.
Notre article introduira à la nouvelle considération de l’animal, qui devrait être considéré comme un être social à part, membre de la communauté humaine et environnementale.
Votre serviteur n’aurait premièrement imaginé en lisant les déclarations de l’avocat de Curtis dans l’affaire de la mort cruelle de Mme Pilarski, que le dit Curtis envers qui la défense faisait cas de tant de prévenance, ait pu ne pas un être humain, en délicatesse avec la justice.
Dans la présente affaire, il ne faudra être surpris, mais même disposé franchement à ce que justice se fasse, y compris pour un chien qui, coupable, ou innocent, n’a malheureusement pas vraiment encore son mot à dire, ce dans un contexte ou nous, humains, seules dépositaires autoproclamés de la justice sur Terre, sur l’homme, les animaux et toute vie animée ou inanimée pour peu que notre volonté ne rencontre d’opposition plus forte qu’elle, devrions avoir les capacités de comprendre tous nos justiciables ou sujets de la décision judiciaire humaine, ce, que les dits justiciables ou sujets de notre décision judiciaire soit terrestres ou extraterrestres, dont humains, animaux, représentants de toute vie animée ou inanimée.
Certain pourrait sourire de nous voire évoquer une possible justice sur les questions extraterrestres, pourtant l’intérêt croissant futur de l’homme pour la colonisation de l’espace appellera nécessairement une législation spatiale.
Aussi sommes-nous par la présente affaire Curtis appeler au sérieux que requerra bientôt une potentielle législation zoo-adéquate.
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L’HOMME FAIT CHIEN
« Curtis est innocent car il n’aurait touché à Elisa » selon Christophe Ellul, son avocat.
Maître Ellul précise qu’aucune trace d’ADN, aucun indice n’a été prélevé sur Elisa Pirlaski, qui puisse mettre son client Curtis en accusation.
Serait-ce là une suggestion du caractère parfait d’un crime qui ne dirait pas son nom ?
Respectons la présomption d’innocence et gageons que le déroulé des évènements ayant conduit à la disparition d’Elisa Pirlaski saura être déterminé, pour la vérité et la justice.
Nous dirions qu’il s’agit du droit judiciaire le plus élémentaire de chacun de se défendre devant la justice, et d’y avoir droit.
L’ADN de Curtis n’a jamais été retrouvé dans les plaies d’Elisa selon, Alexandre Novian, avocat de Curtis.
Néanmoins il demeure qu’elle a été mordu, et que ses morsures sont liés à son décès.
Il faudrait s’intérroger sur les raisons exactes qui ont pu favoriser de telles morsures.
Ensuite il faudrait déterminer à l’aide de la police/gendarmerie scientifique si les morsures de chien constatés sur Mme Elisa Pirlaski se sont sur une séquence de temps, ou sur au moins d’une séquence de temps, les dites séquences étant espacées de telle sorte qu’il faudrait se demander quels chiens étaient impliqués, et si le même chien est impliqué dans toutes ses séquences de temps ou les morsures sur la victime ont eu lieu quels étaient l’état général de Mme Pirlaski (au niveau physique, des facultés c’est à dire des capacités de réflexion, mouvement et d’action, au niveau de la liberté de mouvement et d’action) pour savoir quel était le cadre strict des morsures de chien, ce qui a pu les favoriser, et en somme le cadre général de la mort d’Elisa Pirlsaki.
De même, il faudra également déterminé si à la liberté, aux capacités ou à l’intégrité physique de Mme Pirlaski il a été attenté, non sans déterminer si la dite atteinte de la liberté, des capacités et de l’intégrité physique de Mme Pirlaski était motivé afin que son attaque par au moins un chien puisse apparaître comme lui ayant été fatale.
Enfin, il serait nécessaire de connaître la nature exacte des plaies constatées sur Mme Elisa Pirlaski, pour savoir si elles sont dues à au moins un chien, et uniquementà au moins un chien.
De même, il faudrait savoir si les « contacts » qui ont eu lieu entre les crocs et griffes de chiens et le corps de Mme Pirlaski étaient de nature « agressive », c’est à dire motivés par la volonté du chien de mordre pour blesser, où s’il sont possiblement des effusions « sauvages », « maladroites », en un mot « animales mais sincères » d’autre sentiments, ou guidés par d’autres instincts, dont ceux de choc, d’incompréhension, de curiosité voire de compassion et d’aide.
Quoique le ou les chiens aient fait, la mission de la justice et des forces de l’ordre est de confirmer qu’il ou ils ne sont ni les innocents accusés à tort soient d’avoir commis un crime, ou de l’avoir commis seul(s), ou d’en être les premiers et uniques responsables.
Dans le cas où le ou les chiens n’aurait ni commis le crime contre Mme Pirlaski, ou qu’ils ne l’auraient commis seul, ou qu’ils n’en soient les premiers et uniques responsables, par les moyens qui leur sont à cet effet dévoués (leur gueule, leurs pattes et toute partie de leur corps pouvant servir à attenter à l’intégrité d’autrui), alors l’enquête et l’instruction de ce fait divers devra s’attacher à comprendre ce qui, malgré l’implication variable ou non avérée des chiens dans le décès brutal de Mme Pirlaski, à pu conduire à ce qui ne fait pas de doute : la mort douloureuse d’une femme dont le décès est le fruit, ou de circonstances malheureuses indépendante de toute volonté humaine criminelle.
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POUR LA VÉRITÉ ET LA JUSTICE
Nous présentons bine entendu nos condoléances les plus vives à la famille et aux proches de Madame ELISA PILARSKI, dont bien sûr à son compagnon. L’affaire est toute autre : Madame Pilarski se promenait dans un parc avec un chien, Curtis, qui était le sien ou celui de son compagnon. Elle meurt peu après. Cause du décès : morsure par chien.
Considérant que Mme Pilarski cotoyait le parc à ce moment avec un groupe de chasse accompagné d’une meute de chiens, la question se pose ?
Quel chien a donc mordu, quels chiens ont donc pu mordre ELISA PILARSKI ?
Pour la réponse à cette question, et la défense du droit absolu fondamental du chien Curtis, accusé d’être l’auteur ou l’unique auteur du décès de Mme Elisa Pilarski, à la justice et la vérité, et même la défense de l’honneur et le soutien de la société si jamais il était innocent, la justice œuvre, et K1FO s’engage.
Précisons d’ailleurs que si des morsures du chien Curtis sont trouvées sur le corps de Curtis sans qu’il soit dit coupable du crime, cela ne pourra qu’être prouvé par le fait que Mme Elisa Pirlaski ait succombé à une attaque préalable de la part des chiens de chasse, que le corps de Mme Elisa Pilarski ait ensuite été dissimulé, ce qui alors, aurait conduit le chien Curtis à mettre toute son énergie canine (dont avec les crocs) dans l’extraction difficile de Mme Elisa Pilarski de l’endroit ou elle aurait été enfouie, cela en considération de la nature robuste et alerte du chien Curtis, comme du trouble pour ne pas dire du traumatisme qui aurait pu être engendré chez Curtis par de tels évènements choquants.
Si nous rajoutons à cela le fait qu’au moins un chien de chasse a pu s’attaquer à Elisa Pilarski en présence du chien Curtis, que celui-ci face à cette attaque, qui a potentiellement pu être l’œuvre de toute une meute de chien dressés pour la chasse et lâchés à cet effet, avec les risques que cela suppose, si nous rajoutons à cela que le chien Curtis a pu être au centre d’une rixe entre chiens ou il aurait tenté de protéger Elisa Pilarski, et de la délivrer des assauts des chiens de chasse, serait-il saugrenue d’imaginer que Curtis aie pu protéger le corps de Mme Elisa Pilarski, ou vouloir l’extraire de l’emprise des chiens de meute assaillants, non sans user des moyens qui lui sont à l’égard fournies par la nature et ses dispositions propres, à savoir en saisissant au moins un membre, une partie du corps d’Elisa Pilarski, avec ses pattes et ou sa gueule afin de l’extraire de la menace et ou de l’assaut putativement perpétré sur Mme Elisa Pilarski par les chiens de chasse, dont la présence certaine sur les lieux ou les environs proches du décès de Mme Elisa Pilarski au moment dudit décès est attestée, et dont les agissements dans le cadre spatio-temporel du décès tragique de Mme Pilarski ne devrait manquer d’être disséqués, notamment avec la coopération bienvenue des chasseurs ?
Dans le cas ou le chien Curtis serait le responsable, voire l’unique responsable de la mort de Mme Elisa Pilarski, la connaissance de nos procédures pousserait à considérer une potentielle mise à la fourrière, voire une euthanasie du chien Curtis.
ATHY BRIANDT
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