L’organisation du but
Imaginons un moyen d’échange, de rétribution des bons services.
Il pourrait faire l’objet d’envie, et donc de captation, de vol, de trafics et commerce en tous genre.
Il faudra donc que la société organisatrice, dont tous les membres sont acteurs et organis -c’est à dire organes organisateurs de l’organisation de la dite société- puissent déterminer le comportement d’un individu, son comportement habituel, son comportement véritable et son comportement contraint, c’est-à-dire là ou peuvent les évènements l’individu amener, ainsi que la manipulation de sa personne par autrui.
Surtout, il convient de connaître la relation que l’individu entretient avec la monnaie d’échange .
Ce afin de minimiser en la société les détournements de la fonction publique de la monnaie par une intrusion de comportement lui conférant une valeur individualiste et conflictogène, pour ne pas dire criminogène et belliqueux, meurtrière, destructrice.
La monnaie a toujours été représentée, figurée et donc installée, créée, façonnée à partir d’un élément physique, naturel puis artificialisé.
La monnaie était donc un corps, meuble en tant que non-immeuble -ne parle t-on de valeurs mobilières pour évoquer les actions et obligations, de tout ce qui a trait à la détention du capital et de la dette ?- transportable avec soi, portable sur soi de telle sorte qu’il occupait un espace et que que sa nature était primairement spatial.
La possession de la monnaie, sa quantité possédée a une dimension temporelle.
Il est en effet le temps de la conception de la monnaie précédent un temps ou la nécessité du recours a un moyen stable, général d’échange s’est fait jour, afin que les modalité&s de l’échange entre agents soient harmonisés.
IL EST pour l’agent individuel le temps de l’acquisition de la monnaie, ou du moins le temps ou il a pu pour une première fois échangé quelque biens non monnaie contre de la monnaie.
Je dis de la monnaie comme je pourrais dire du sable, comme de l’eau, car la monnaie est une quantité continue, qui n’est divisible qu’en sa représentation figurale que l’on matérialise par des « parties » de monnaie, que l’on nommera ici pièces ou billets ou dés ou tout autre objet fiduciarisé.
La monnaie, dès lors qu’elle est créée est un flot infini qui se réalise dans nos mains par la matérialisation de biens que l’on identifie à de la monnaie partialisée; c’est ce que nous nommons fiduciaire.
La monnaie , ou dirons l’uniforme moyen d’échange marchand général (UMEMG) EST UNE UNITÉ DE VIE COMMUNE qui doit unifier les agents du territoires entre eux.
Pour ce faire, il faut qu’il soit un territoire uni, uniforme, une zone d’uniforme moyen d’échange marchand général.
Ne nous méprenons pas : l’Uniforme moyen d’échange marchand général n’est pas une monnaie, ou une devise.
La monnaie, elle, est un uniforme moyen d’échange marchand général.
La monnaie est d’ailleurs, indépendamment des devises, c’est à dire des unités d’uniformes moyens d’échanges marchands généraux, utilisés dans les différentes zones de devises l’Uniforme moyen d’échange marchand général qui prédomine, pour ne pas dire qui est seul UMEMG à bord du vaisseau Terre, sans alternative ni concurrence, puisqu’il n’est sur Terre aucun humain qui ne puisse ultimement commercer au moyen de l’UMEMG Monnaie, sauf s’il ne commerce, ou bénéficie d’un cadre de commerce humain extérieur à l’influence, l’intrusion, et donc aux dissolvants techniques de la Monnaie comme suprême Uniforme Moyen d’Échange Marchand Général, puisque l’UMEMG Monnaie est concentrateur, pour ne pas dire concentrationnaire, hégémonique comme il n’est plus permis par aucune autorité de concurrence à portée chrématistique.
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