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L’ECO DU SILENCE

L’ECO DU SILENCE

SI CHAQUE MOMENT EST À REGRETTER; AUCUN REGRET N’EST MOMENTANÉE.

EN VISITE OFFICIELLE EN CÔTE D’IVOIRE , LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MONSIEUR EMMANUEL MACRON, en compagnie de son homologue à la tête de l’État Ivoirien Monsieur OUATTARA ALASSANE, annonce la fin du Franc CFA.

Le Franc CFA ? Qu’est-ce que cela ?

Précisons. Il existe en réalité deux Francs CFA, chacun correspondant à deux zones de ce que l’on peut nommer l’Afrique francophone.

Les deux Francs CFA sont donc le Franc CFA de « l’Afrique de l’Ouest » (entendu ici Afrique de l’Ouest francophone ou plutôt d’ancienne parenté française) et le Franc CFA de « l’Afrique Centrale » (entendu ici de l’Afrique centrale à dominante francophone ou d’ancienne parenté française, puisque nous voyons que la République Démocratique du Congo, dit RDCongo, Congo Zaïre ou Congo Kinshasa, État d’Afrique centrale francophone, d’ancienne allégeance belge et non française n’utilise pas le franc CFA mais … le franc congolais, alors que la République du Congo, anciennement française use elle le franc CFA de l’Afrique Centrale.)

Deux Francs CFA donc; dont le Franc CFA de l’Afrique française de l’Ouest anciennement françaisement colonisée (se peut-il exister un État de l’Afrique non ancienne colonisée par la France qui puisse être francophone, comme cela est le cas en Afrique dite centrale avec la République Démocratique du Congo qui fut territoire à titre revendiquée par le souverain d’un État partiellement francophone, partiellement néerlandophone, se peut-il encore qu’il soit un État non francophone, et ou non ancienne colonie de la France qui utilise ou ait utilisé le Franc CFA comme devise ?

En un mot, quel atout concurrentiel prévaut dans le choix des États en faveur d’une devise par rapport à une autre ?

Ici, avec l’analyse géopolitique, historique, linguistique et financière des deux Congos institués, il apparaît que le choix des devises dépend en la zone africaine de la tendresse que peuvent exprimer les populations pour l’ancienne mère patrie.

Ainsi les Congolais populaires de l’ancienne République populaire du Congo (actuel « Congo-Brazzaville) choisissent le franc CFA de l’Afrique Centrale tandis que les démocratiques congolais de la République Démocratique du Congo portent davantage leur préférence dans le franc, mais attention ne vous y méprenez pas, le franc congolais, qui ainsi les différencient franchement de leurs voisins de l’Ouest qui, trop populaires sans doute, ne rechignent à s’acoquiner avec les autres pays de l’Afrique Centrale non seulement francophones, mais surtout, et la précision est d’or, d’ancienne affiliation française, ancienne affiliation française dont ne peut le Congo-Zaire/Kinshasa/RDCongo se targuer, auquel cas il aurait sûrement également fait partie de la partie centrale de l’Afrique francophone indexée au Franc CFA en sa double qualité putative de structure territoriale gouvernementale à la fois de langue mais aussi de sang français.

Nous avons donc il est plus que de raison de rappeler deux Franc CFA;

  • le Franc CFA de l’Afrique de l’Ouest francophone et anciennement colonisée par la France.
  • le Franc CFA de l’Afrique Centrale francophone et anciennement colonisée par la France, cela excluant comme nous l’avons vu des États francophones qui n’auraient pas eu le privilège d’être sous tutelle française, ce qui est le cas de la République Démocratique du Congo, sous ancienne tutelle belge par l’entremise nous l’avons implicitement rapporté de son monarque le Roi Léopold II , qui en cela doit donc se contenter d’un franc qui n’est pas CFA, mais congolais.

Mais qu’est-ce que le CFA ?

Qu’est ce que c’est que d’être CFA ?

C’est à la cruciale présente interrogation que nous devons tous répondre.

Pour ce faire, une autodidactie s’impose mes chers amis.

Procédons.

Pour déterminer ce que c’est que le FRANC CFA, il nous faut savoir ce que c’est que le franc et ce que c’est que le CFA.

Qu’est ce que le franc ?

Le Franc est assuremment le peuple germanique qui prit aise en Francie occidentale, médiane et orientale, et qui originellement tenait donc plus de l’alaman que du français tout en étant l’origine structurelle et structurante première.

Franc, dont la simple analyse étymologique seule ne suffira pas à en connaître le sens et la profondeur. Nous nous attellerons donc à sa profonde et réelle dans notre hénalogie de ce que c’est que le Franc.

En ce qui concerne le franc CFA, il dérive du franc français, monnaie historique utilisée par le Gouvernement de France en tous ses avatars (Royaumes, Empires, Républiques).

Le Franc CFA avant nous dit est subdivisé en deux francs communautaires de l’Afrique francophone : le franc CFA Afrique de l’Ouest; et le franc CFA Afrique Centrale.

Le Franc CFA est une monnaie, ainsi monnaie est-elle la devise d’au moins un État dit souverain (intéressant il serait de savoir ce que c’est qu’un État non souverain, et si à cet égard ledit État non souverain aurait la prétention de s’en publiquement enorgueillir, et encore, puisque d’un État non souverain il s’agit, si l’autorité ou les pouvoirs détenant sa souveraineté pourrait souffrir la publicité de l’asouveraineté de ce qui est en son pouvoir et sous son autorité.)

Le Franc CFA de l’Afrique Centrale francophone anciennement apparenté à la France (ACFR) est devise des États compris dans la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), c’est-à-dire le Tchad, le Cameroun, le Gabon, la Centrafrique, sans oublier … la Guinée Équatoriale qui use le franc CFA CEMAC (Communauté économique et Financière d’Afrique Centrale), alors que non dans le passé à la France affiliée elle a été, ou plutôt devrait-on toujours dire, à l’État français attachée mais à l’Espagne, Guinée Équatoriale dont la langue nationale unique gouvernementalement établie fut l’espagnol, langue nationale unique à laquelle se grefferons le français en 1997 puis le portugais en 2011, cela étant à n’en pas douter fruit d’un héritage intérétatiques, interpopulationnelles entre la Guinée Équatoriale et deux États qui ne l’ont en leur sein accepté, à savoir la France et le Portugal, qui pourtant se voient gratifier d’une place linguistique, donc culturelle, économique et politique de premier plan au sein de l’institutionnelle construction Équatoguinéenne.

À cet égard manquer ne pourrons nous le lien entre la langue parfois plurielle comme nous venons de nous en apercevoir d’un pays et son histoire aussi rarement que possible singulière étudier, et ce qu’elle tend comme ponts entre Nations, et surtout ce dont les dits ponts peuvent le transport permettre, comme ce que charge elles peuvent avoir d’enjamber, comme de respecter , mettre en valeur et conserver, développer, sous peine de voir l’ensemble-infrastructure multi-étatique péricliter, pourrir, mourir et sur lui même s’effondrer.

Ainsi donc, contrairement à ce que nous avons exposé par l’argument selon lequel un État n’ayant ni la langue française ni l’ascendance française, si ainsi nous pouvons nous exprimer, ne puisse bénéficier de la pleine possession du Franc CFA, La Guinée équatoriale, qui, nous le voyons, n’est ni disons le, ancienne colonie de l’État français ni de langue française use de la devise CFA, comme bon nombre d’États objecterez-vous, mais comme très peu d’États non à la France réceptifs, pour ne pas dire ammarrés puisque cela n’est pas, n’est plus le cas en raison d’une géopolitique déstabilisation de la zone, d’une géostratégique instabilité et d’une iniquité structurelle majeure, et pour dire d’un relatif désengagement moral de la France d’une vie géohistorique qui n’est pas de tout intérêt de sa part dénuée.

Cependant, clair il nous faut être. L’Histoire n’existe pas, il n’est que des histoires qui s’écrivent par la volonté des survivants, et l’entrain des bourreaux. Mais qui est bourreau ? Celui que l’on nomme comme tel ? Celui qui se dit et se positionne comme tel ?

Il est d’utilité publique de mettre en valeur le fait que toute partie de la Terre a été espoir ou barrière, que l’on se jaugea et muta par les âges.

Il n’est de peuple dont la simple existence constitue une forteresse. Il n’est pour ainsi aucune forteresse dans la nature empêchant la poursuite du cours des temps, si ce n’est ce que nous nommerons des limites géographiques indubitables, pour ne pas dire insurmontables. Limites géographiques indubitables, ainsi classifierons nous les océans, les reliefs peu perméables à toute progression et installation pérenne humaine.

Or entendons nous bien, nous évoquons présentement le franc, plus particulièrement le franc CFA, c’est à dire une monnaie qui témoigne d’une certaine histoire commune, ou plutôt mutuellement connue entre une construction étatique située dans ce que nous nommons subjectivement Europe et d’étatiques constructions dans ce qu’il se peut que nous désignions du nom d’Afrique.

Europe, Afrique; appellations de paysages mentaux, où de réalités géographiques, il apparaît incontestablement que l’on ne peut les exclure d’un ensemble géographique homogène : le continent Afrique-Asie-Europe.

Nous avons affirmé qu’il n’est de frontières qui puissent réellement arrêter le parcours des hommes dans les Histoires, si ce n’est celle de la Nature, celles que nous avons appelé Limites Géographiques Indubitables (LGI).

En ce qui concerne le déplacement et l’interaction des populations dans l’ensemble de croûte continentale Asie-Europe-Afrique, quelles sont donc, puisque rien hormis elles ne peuvent permettre les dits déplacements-interactions d’individus et populations, les Limites Géographiques indubitables pouvant les empêcher ?

S’il est au moins une Limite Géographique Indubitable (à savoir un dhoumorphe dont la traversée est inaccessible à l’homme) dans l’ensemble continental Europe-Afrique-Asie, est-il donc prouver qu’il n’a également comme il sied à toute Limite Géographique Indubitable (autre nom de dhoumorphe inaccessible ou infranchissable) permis l’interaction des populations situées de part et d’autre par rapport à lui-même, ou le passage de populations au travers de lui-même, ou encore leur établissement en son sein ?

Voyons donc. Quelle LGI (Limite Géographique Indubitable) connaissez-vous en Asie-Afrique-Europe/Europe-Asie-Afrique/Afrique-Asie-Europe (appellons l’ensemble comme ceci par commodité : AEA) ?

Nous dirons que la chaîne de montagnes de l’Himalaya est un LGI, et nous en verrons bien d’autres dans l’ensemble AEA.

La chaîne de montagnes de l’Himalaya retiendra cependant notre attention pour deux raisons; sa célébrité manifeste, elle-même étant due à ces impressionnantes mensurations si j’ose dire comparées à ses collègues chaînes de montagnes; tout comme le fait que les populations situées de part et d’autre de l’HImalaya ont vécu en état de paix permanente, et qu’il ne s’est concrétisé que de très rare déplacements et installations dans la géostructure hymalayenne.

Nous avons dit que la qualité LGI d’un dhoumorphe dépend de sa morphie (difficulté morphique d’accès et de franchissement) et des effets de sa dite morphie.

La LGI est comme par son nom indiqué une limite géographique. À ce titre, ses effets, effets d’une limite, ne peuvent être que d’arrêter (une trajectoire) ou d’interdire ce qui ailleurs est permis, à savoir ici le positionnement.

Or il n’est que justice et raison de dire qu’il y’a eu à la fois flux et localisation humains en la région himalayenne, ce qui à nier la condition de Limite Géographique Indubitable des Himalayas cela reviendrait.

Pourtant nous ne pouvons à l’Himalaya nier le fait qu’il est, aussi sûrement que le sommet du mont K2 ne se fait tous les jours d’une visite honorer, une Limite Géographique qui indubitablement n’a autorisé qu’une fréquence et importance d’établissements et mouvements humains réduites par rapport à la moyenne de ce qui peut en la matière se faire en d’autres zones géographiques, de nature semblable ou dissimilaire.*

Les Himalayas sont donc un LGI. Or le LGI se caractérise par le fait qu’il interdit tout déplacement et installation par l’Homme. Pourtant nous avons des preuves de déplacements et d’installations effectués par l’Homme en l’Himalaya. En cela, l’Himalaya n’est-il donc plus la Limite Géographique Indubitable qu’elle est ?

Soyons clairs; indubitable ne veut pas dire infranchissable. En tant qu’une limite sépare, elle se peut faire enjamber, en tant qu’elle est habite une surface, elle peut être habitée.

La limite, intrinsèquement, permet et interdit et le trait et le point.

Il ne peut donc être dit que la Limite Géographique ne l’est indubitablement parce qu’elle aurait vu passer et se poser des femmes et des hommes, puisque il est nécessaire entendons nous bien qu’une limite géographique puisse être franchissable et habitable en l’absolu, auquel cas elle ne serait plus une limite alors même qu’elle est puisqu’elle interdit tout passage et installation.

Mais nous avons exposé que la limite doit à la fois interdire mais aussi permettre. La limite doit à la fois interdire et permettre pour être limite, et ne peut être limite si elle n’est pas les deux. Une limite ne peut donc ou seulement permettre, ou seulement interdire. La limite doit permettre son propre franchissement ou habitation, et l’interdire.

En effet, si le dhoumorphe ne fait que permettre la localisation ou la traversée en son sein, alors il n’est pas une limite géographique, ce qui va de soi. Si une porte permet son passage, il n’est un obstacle mais une étape.

De la même manière, si un dhoumorphe ne fait qu’interdire son franchissement ou l’installation en son sein, alors il n’est pas une limite.

Qu’est-ce alors un dhoumorphe qui à la fois ne permet et interdit, mais ne fait qu’interdire ? Il n’est pas une limite, entendu une limite géographique, car nous l’avons explicité, une limite géographique doit à la fois permettre et interdire.

Si le dhoumorphe ne fait qu’interdire sa traversée ou son habitation spatiale, alors il n’est pas une limite géographique puisque alors il n’est plus un dhou (territoire géographique), ni même un objet de géographique. On ne peut alors en parler que comme non-réalité géographique-absence d’objet géographique putatives.

Il est communément admis qu’il peut paraître hasardeux d’exprimer l’idée qu’une limite ne l’est qu’en tant qu’elle peut être franchie. Une limite n’est-elle pas ce qui délimite ?

Une limite n’est-elle pas ce qui délimite le possible de l’impossible ? La limite n’est-elle pas la position de l’infranchissable, la porte de l’impermis ?

Non si l’on se réfère à la réalité, oui si l’on s’adosse à la théorie.

Ainsi les limites géographiques indubitables que constituent les mers, les océans, les chaînes de montagnes et déserts, les forêts et geysers, toutes les limites géographiques indubitables que nous connaissons sur la géomorphie terrestre n’ont, nous le constatons par l’histoire des peuples et le transport des individus, pas freiné la circulation, par delà les dites limites mêmes, des populations.

Aussi savons-nous donc qu’aucune partie de la croûte continentale par des hommes habités ou possiblement habitables par les hommes pour diverses raisons n’a fait l’objet de visites et conquêtes de groupes humains d’ailleurs venus, ou proches étant.

Tout comme il appartient à toute nation de se dire souveraine ou non, qu’elle le soit ou non, et tout comme ainsi il appartient ou non à l’entité pouvant la souveraineté d’une entité tierce ici appelé nation détenir, il est de la discrétion de toute nation, de tout peuple, de toute entité de faire apparaître à ses yeux ou à ceux d’autrui les moments où elle a pu d’autres nations, peuples et entités de hégémoniques vues faire l’objet.

Tout comme il appartient à toute nation, tout peuple, toute entité de porter à la générale connaissance les susceptiblement positives ou supposément néfastes effets de l’hégémonie par tierce partie dont elle est la modelable matière, il appartient à toute nation, à tout peuple, à toute entité crédité d’une telle hégémonie de se positionner en son intérêt propre à l’égard de la suivante affirmation, et si valide elle est, il appartient dirons-nous à la dite hégémonique nation d’assumer ou non la suprématie qu’elle endosse, ainsi que ses fruits et toutes les éventuelles réalités qui en peuvent dériver.

La France, en ce qui concerne sa supposée Zone Hégémonique Africaine (ZHA) n’a jamais fais excès d’une sémantique avarice à son égard, et donc à la réalité des relations, intérêts et considérations les deux parties liant.

Nous disons bien supposée Zone Hégémonique Africaine, c’est à dire en réalité SZHA, car si réelle sous certaines conditions elle a pu être (considéré) en Afrique, en France comme de par le monde, cela ne peut l’avoir été que lorsque la suprématie de l’entité État de France et ses ramifications plus ou moins françaises, plus ou moins étatiques n’a pu lui être dénier sur sa revendiquée zone géographique d’influence (ZGI) africaine, et cela ne peut l’être désormais que pour se faire une place au soleil si nous osions dire, il faut que la France se fasse une place dans le monde, sans pour y parvenir revendiquer sa supposée Zone Hégémonique Africaine en cela que pour d’autres nations, plus vastes superficiellement, plus fortes démographiquement et plus prospères économiquement et tout ceux en l’absence de tout adossement à une zone géographique d’influence externe à leur propre géographique zone, se faire une place dans le monde, il faudra bien évidemment se faire une place au soleil.

Néanmoins, l’Histoire considéré comme une et indivisible, n’oublie p)as, et là ou un partage des droits fut, aujourd’hui se fait jour un départage des obligations sur tous les plans géostratégiques, de telles sorte que d’éventuelles hégémonies autres que françaises ou européennes, ne pourrait souffrir une collaboration gagnante-gagnante avec des partenaires qui n’en seront plus car n’ayant ni l’assise, ni les antécédents prompt à permettre accord et considération pérennes.

Une place au soleil peut-elle se faire par auto-revendication, comme cela fut en d’autres l’apanage des nations dites civiles, permise par une place dans le monde qui, elle, ne souffrirait aucune concurrence ?

Telles sont les projections lointaines mais indéniables, puisque ce sont vers elles que nos petits enfants marchent, de la question de l’ECO, qui faut-il le rappeler remplace le CFA Communauté Financière d’Afrique qui est une réécriture, sarcastique il faut le reconnaître de son homonyme siamois Colonies Françaises d’Afrique.

Comme antérieurement exposé, il n’est de limites géographique indubitables terrestres (LGIT) qui soient infranchissables, ou qui l’aient été, aussi les conquêtes et autres annexes amabilités territoriales n’ont jamais été plus monnaie courant que là ou elles n’ont été plus que de raisons en les communes mémoires affichées.

Ce pour une raison; les Histoires s’écrivent mais l’Histoire avance. Comment se projeter lorsque l’on ne jette l’opprobre que sur les uns, comment avancer lorsque l’on ne soigne ni ne referme les plaies du passé, comment connaître lorsque l’on ne devine les mystères de l’Histoire qui se joue sous nos yeux incrédules, comment, oui, comment avancer lorsque l’on marche à reculons ?

Comment voir lorsque l’on demeure aveuglés par sa singulière visibilité, surtout à travers les yeux effacés et effaçants de ce qui ne nous sied ni dans un sens ni dans l’autre ?

Le journal K1FO est fier des contributions récemment des ékhonomiques contributions de responsables et intellectuels chevronnés, connaisseurs du fonctionnement des mécanismes, opportunités et fonctionnements des acteurs de la Géostratégie, ainsi que du monde industrieux, et à cet égard, de l’ensemble de la situation globale qui nous intéresse, qui vous intéresse chers lecteurs.

À ce propos tiens-je à saluer MONSIEUR KASSI BILÉ GEORGES, Économiste émérite, Délégué du Gouvernement au Contrat d’Objectifs à la Direction Générale Pilotage du Système Éducatif Bruxelles et MONSIEUR KACOU PATRICE BAMBINO, Économiste, Spécialiste ès sciences monétiques et financières, pour leurs formidables contributions à l’analyse ékhonomiques de la question du passage du Franc CFA UEMOA (qui veut dire franc de la communauté financière d’Afrique de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine) à l’ECO qui veut dire, qui veut dire, nous sommes et nous entendons de par nos affaires dans le monde résonner, pour ne pas dire rayonner.

Mais la question se pose : entendus seront-ils, France, comme États compris en la CFA qui plus jamais ne sera dit colonie, nie française à défaut d’être communautaire ?

Pourquoi s’est donc exprimé une telle soudaine envie d’être entendu, principalement par le Président de la République Française Monsieur EMMANUEL MACRON et Monsieur ALLASSANE OUATTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire ?

Je ne reviendrai pas sur les brillantes et hautement perspicaces analyses de mon honorable confrère Monsieur KACOU PATRICE BAMBINO qui à juste titre établit un lien majeur entre la promptitude de la déclaration en Côte d’Ivoire, le 21 décembre 2019 et l’engagement pris par le nouveau gouvernement britannique mené par le Prime Minister du Royaume-Uni Mr BORIS JOHNSON de rendre effective la sortie de son pays de l’Union Européenne par la voie du BREXIT, et ce à compter du 31 janvier 2020.

Hasard du calendrier ? Le hasard n’existe pas pour ceux qui savent que c’est que le hasard, à savoir la détermination d’une conséquence (c’est-à dire de toute réalité puisque toute chose est cause et conséquence, causé et causant) comme fruit du hasard ou expression du hasard par défaut de la détermination de la cause de la dite conséquence à un supposé hasard affilié.

Hasardeux calendrier ? N’est hasardeux que ceux qui posent des actes, donc des causes de futures conséquences, notoirement entre autres conséquences de la décision de leurs auteurs, sans connaître l’exacte nature et déploiement des conséquences de leurs actes, une telle méconnaissance passant parfois par une infondée identification de l’intention à la conclusion, une confusion entre l’intuition et la confirmation.

Est avant tout est hasardeux ce qui ne peut que se retenir à une aléatoire application du projet qu’il porte, ce qui serait, oui, comme confier son destin au hasard.

Le hasard étant le dialectique fruit de la méconnaissance des causes de l’objet, être hasardeux serait comme posé des actes qui auraient des conséquences si éloignées de l’initial objectif que l’objectif atteint ne pourra que se voir renier de sa réelle causale ascendance, et donc être dit du à rien, si ce n’est au hasard ?

Cela, oui, à n’en pas douter serait ce qui pourrait le mieux à de l’hasarderie s’apparenter.

Afin de déterminer quelles chances de réelle application à la visée des présidents français et ivoiriens, il faudrait premièrement intimement connaître les finaux objectifs d’une telle initiative qui vous l’aurez compris ne concerne que l’Afrique de l’Ouest de la France ami et non la Communauté ÉCONOMIQUE ET MONÉTAIRE DE L’AFRIQUE CENTRALE (CEMAC) qui elle garde son Franc CFA qui, dans le silence générale lui sied si bien tandis qu’il n’est un jour; depuis que le Franc CFA UEMOA -précisons encore et une dernière fois- pour UNION ÉCONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAIN a pu voir à la sous-préfecture son changement de patronyme établi pour devenir ECO; qu’il ne se fasse entendre la voix d’un proclamé amoureux et de la liberté et de la souveraineté économiques pour se dire satisfait d’un tel acte monétaire qui à coup sûr signe la fin de la Françafrique, de l’hégémonie monétaire de la France sur les pays de l’Afrique de l’Ouest tout en restant , nous ne pouvons que l’entendre, silencieux, sur la signification de l’existence du Franc CFA CEMAC, et du lourd sens de sa continuité alors que l’on opère un changement de dénomination en ce qui concerne le Franc CFA UEMOA pour moult raisons qui affichés, ne peuvent être que bonnes.

Afin de déterminer quelles chances de réelle application à la visée des présidents français et ivoiriens, il faudrait voir avec le temps d’un point de vue expérimental si de tels visées ont été atteints, sans oublier qu’une étude à proprement parler théorique des forces et mouvements en présences pourrait, au vu de la situation et de ses évolutions, permettre une juste et précise prospective de toute l’histoire, qui elle, si elles s’écrit à plusieurs mains, à un translucide cheminement logique qui par une seule plume peut être capturée.

La Plume, est-ce la mienne ? Non, la plume d’explication est d’abord votre intellect, vous, lectrice, lecteur que je félicite chaudement d’être venu à bout de l’article, et que je tiens par dessus-tout à remercier pour le soutien sans faille que cela ne peut manquer de traduire à l’égard de votre agence de presse préférée.

Aussi, permettez moi donc de vous remercier, et d’envoyer mes plus vives salutations à tous nos lecteurs de par le monde, ainsi, que justice et mérite leur soient rendus, à tous les contributeurs présents et futurs du journal K1FO.

DU FOND DU CŒUR, MESDAMES, MESSIEURS, MERCI.

GNADOU ATHYTHEAUD, Directeur de la Rédaction, K1FO

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