CHAQUE MOT EST UN ENSEIGNEMENT, UNE MISSION, LA SCIENCE DE L’ENSEIGNEMENT MOTIQUE EST L’HÉNALOGIE
Tout les mots ont un sens. Toutes les choses ont un mot. Toutefois, d’une culture à l’autre, la langue chose, et les mots avec. Chaque langue a donc son sens, et son histoire d’un seul mot, d’une seule chose.
Mais la chose est unique. Elle a plusieurs traductions dans plusieurs langues, mais elle demeure inchangé, unique.
Les mots parlent mais ne voudraient donc plus rien dire ? Nous appelons en français l’arbre « arbre », mais que veut dire ARBRE ? D’où donc le mot arbre provient-il ?
De savants linguistes nous diront qu’il vient d’un mot ancien, du français médiéval, du latin, du grec, de l’araméen … Mais que veut dire ARBRE. Pourquoi la chose arbre, qui existe en tant que lui-même sans que son appellation autrement que par le mot arbre ne lui retire sa nature.
En effet, en anglais, c’est tree que l’on l’appelle. En allemand, c’est baum. Et en latin, c’est lignum.
Donc l’arbre que vous verrez en marchant dans la rue, ne l’apellez plus arbre, c’est un tree, un baum, un lignum et que sais-je encore.
Quel sens caché donnons nous à la chose que l’on désigne en France comme arbre, en Irlande comme tree, en Allemagne comme baum, et dans les écrits du Saint-Siège comme lignum ?
Pourquoi a t-il été appelé arbre ici, tree là-bas, baum par ici, et lignum par là bas ?
Qu’est-ce qu’on donc voulu indiqué les Français, les Allemand, les Anglo-Saxons, les Latins, les Chinois, les Hébreux, les Natifs d’Américains en désignant sous un nom spécifique ce qui a pour désignation arbre, mais aussi tre, baum, lignum … ?
Le mythe de la Tour de Babel indique que les hommes ont été en leur langages divisés, afin de les empêcher d’atteindre un niveau de concorde prompt à leur faire atteindre une universelle puissance et infinie perfection, et pionnier audace, tout cela par l’orgueil de l’union complète favorisé.
Mon propos n’est pas de discuter de la véracité de la présente histoire, ni d’entreprendre de rendre à l’Homme sa supposée unité perdue, et clefs pour sa puissance universelle, sa perfection infinie et son audace pionnier.
Rendre à l’humanité sa véritable Tour de Babel ne serait possible que si l’on retrouvait la langue originale qui était de tous, en tout lieu et en tout temps parlé, de telle sorte que l’on se comprenait, s’estimait et instantanément progressait par la rencontre et le dialogue.
De plus, à s’en référé à l’exégèse, la perdition de la dite langue originale était la plus grande des tragédie pour l’Homme dans toute son Histoire après le supposé péché originel. Mais également une bonne chose, ce pour les raisons évoquées. Que l’homme ne se hisse à un niveau supérieur à son simple statut d’homme dont la petitesse face aux grandes vérités ne peut lui autoriser la connaissance de ce qui Est véritablement, désigne et connait toutes choses, et ne change pas.
NÉCESSAIRE DISGRESSION (vous pouvez néanmoins directement passer au sujet HENALOGIC – Le Vrai Sens des Mots (1) : ARBRE
Ainsi selon l’Ancien Testament, le fruit de l’arbre de la connaissance a été interdit à Ève et à Adam pour la raison précise qu’alors ils auraient la connaissance du Bien du Mal, si bien que lorsqu’il en mangèrent nous dit la Bible, « alors leurs yeux à tout deux s’ouvrirent et ils commencèrent à se rendre compte qu’ils étaient nus ».
Par l’action de leur pudeur nouvelle obtenue par la consommation des fruits de l’Arbre de la connaissance qui leur fit notamment connaître le bien comme le mal impliqué par la nudité, surtout celle entre un homme et une femme vivant en promiscuité, « ils cousirent donc des feuilles de figuier et s’en firent des pagnes. »
De la connaissance la gêne dérivant Adam et Ève auraient donc été épargné par l’interdiction d’accéder à la dite connaissance dont dériverait entre autres la gêne de connaître, ce par la consommation des fruits de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais.
Or donc maintenant, depuis le jour ou l’événement décrit ce serait passé, la femme et l’homme aurait la connaissance du bien et du mal, ce qui serait dans le monde la cause de tant de bonnes comme de mauvaises actions, les unes les autres surpassant tantôt par leur magnanimité, tantôt par leur cruauté.
Je ne m’étendrais par sur les évidentes et naturelles chicanes quant à la vérité même au fond de toute l’affaire, néanmoins si l’on soumet, d’un stricte point de vue logique, à examen l’histoire même, si Adam et Ève n’avait pas connaissance du bien et du mal, la désobéissance imputée à Ève, puis sa tentation, ou corruption d’Adam est bien une preuve, étant donné que tout deux après avoir consommé des fruits interdits « entendirent la voix de Jéhovah Dieu se promenant dans le jardin, aux environs de la brise du jour, et l’homme et sa femme allèrent se cacher de devant la face de Jéhovah Dieu parmi les arbres du jardin » :
-Que bien évidemment, le fait de céder à la tentation de la part d’Ève était assurément non étranger au bien impliqué par le conseil divin de ne point toucher des fruits de l’arbre de la connaissance, ou au moins au mal qu’implique un e désobéissance au conseil divin. Donc qu’il y’avait si ce n’est la connaissance du bien qu’impliquait l’obéissance au précepte divin autrement que l’obéissance même au précepte, au moins la connaissance du mal impliqué par la désobéissance au précepte, ou l’affranchissement du précepte.
Selon le récit de l’originel péché, le mal existait déjà avant le péché originel -comment donc décrire la tentation qui viendra sur le chemin d’Ève en la personne du serpent ?
Serpent tentateur personnifiant l’esprit de défi de l’homme à l’égard de sa propre conscience, mais encore à l’égard des règles, ici les règles divines qui lui ont été directement signifiées comme suit : « De tout arbre du jardin tu pourras manger à satiété. Mais pour ce qui est de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais, tu ne devras pas en manger, car le jour où tu en mangeras, tu mourras à coup sûr. »
Comment donc définir la désobéissance décrite manifeste d’Ève audit précepte ? La tentation exercé sur elle par le serpent lui enlève t-elle une certaine responsabilité dans l’acceptation du rejet de la règle de ne point des fruits de l’arbre de connaissance du bon et du mauvais, par l’acceptation du fait d’entreprendre, puis le fait d’entreprendre de, puis le fait de manger des fruits de l’arbre défendu.
Sans doute que l’acte d’incitation à manger des fruits de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais du serpent sur Ève ne peut ne pas être imputé à une volonté pernicieuse, puisqu’elle pousse sciemment Ève à commettre ce qui lui a été interdit, qui ne serait crédité sur le compte d’une certaine connaissance du bien et du mal.
Mais là ou le serpent s’avère reconnaissons-le, d’un certain « talent » serpentard, c’est qu’il arrive à faire percevoir à Ève que le bien n’est que ce qu’Ève croyait être le bien, mais qu’il n’est pas le bien car il n’est pas bien pour elle mais pour celui qui le pose t-elle, Dieu, dans le sens ou le bien qu’il affirme le prémunirait de quelque mal que provoquerait la direction par Ève prise vers le mal, qui, lui assure le serpent, n’est que ce qu’elle croit être le mal, mais n’est en réalité que le mal pour Dieu en ce que cela lui causerait du tort (…), tandis que cela procurera un bien à Ève, bien si désirable puisqu’il permettrait enfin à Ève de s’affranchir de l’éducation divine qui leur dit que faire, et sans doute pour de fallacieuses raisons.
En effet, Jéhovah affirme à l’homme « de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais, tu ne devras pas en manger, car le jour où tu en mangeras, tu mourras à coup sûr », or lorsque Adam, comme Ève mangent du fruit de l’arbre défendu, ni Ève ni Adam ne sont meurt. Dieu aurait-il donc menti ?
Pourquoi ? Parce que la connaissance du bien et du mal par Ève et Adam lui causerait du tort ? En effet, dès lors qu’Ève et Adam mangèrent des fruits de ml’arbre interdit, au lieu de mourir « leurs yeux à tout deux s’ouvrirent et ils commencèrent à se rendre compte qu’ils étaient nus. »
Sans doute qu’une telle soudaine conscience à-propos de leur situation immédiate implique une plus large connaissance potentielle à l’égard e leur existence dans une plus large échelle temporelle, spatiale et factuelle. Soit.
Assurément qu’une telle soudaine connaissance impliquait un ignorance dont le bien fondé est à la discrétion de chacun.
Somme toute d’une certaine manière, et sans que cela puisse être péjorativement impliqué, inconscients et aveugles étaient Adam et Ève, puisque lit-on, avant de tout deux les fruits de l’arbre de la connaissance consommer, « tout deux étaient nus, l’homme et sa femme, mais ils n’en prenaient point honte. »
Or après en avoir consommé, « leurs yeux à tous deux s’ouvrirent et ils commencèrent à se rendre compte qu’ils étaient nus. »
D’inconscients de leur nudité originelle respective, et donc puisque couple ils forment, mutuelle, ils passent à conscients de leur nudité nouvelle propre, qui puisque personnes différentes ils sont, n’est plus mutuelle mais distincte, gênante, impromptu, presque conflictuelle : l’on se doit de se séparer, de sépare nos deux corps, nos corps de la vision qu’on a ou qu’a pu ou que pourrait en avoir l’autre.
La cabosse du cacaoyer est rompu, et désormais les deux moitiés de la cabosse ne sont plus dans l’Un couplés sans discernement, en une seule cabosse, ne pouvant même imaginer leur séparation et ce qui les unis, le fait d’être de, ou la même cabosse.
La cabosse du cacaoyer est rompu et désormais les deux moitiés de la cabosse ne sont plus dans l’Un couplés sans discernement, en une seule cabosse : leur séparation est effective, ce qui les unissait, la chair de la cabosse est désormais distincte, et leur faire chacun, en leur faisant chacun voire la chair nue de l’autre moitié de cabosse qu’ils ne sont plus « à moitié » de la même cabosse, puisqu’ils sont de la même cabosse qui n’existe plus.
Cela est la situation du couple Ève-Adam qui malgré qu’il soit couple se voit désormais après avoir du fruit de l’arbre défendu mangé, en face à face, comme les deux chairs nus face à face des deux moitiés séparées de la cabosse.
Ils ont toujours couple, ils sont toujours de la même cabosse, mais leur connaissance de la promiscuité de leurs deux chairs distinctes, autrefois indistinctement fusionnées de telle sorte qu’en leurs esprits, leur proximité ne leur faisaient point honte, est telle une fois avoir accédé à la connaissance du bien et du mal que la proximité de leur chair, la vision de la chair de l’autre, et la peur de ce que cela peut entraîner puisque instantanément ils ont alors connaissance de ce qu’implique une promiscuité de leurs chairs nues telle qu’ils l’ont autrefois connues sans en prendre honte, et bien désormais cela leur fait horreur !
Ils sont couples, cabosse, mais la cabosse en peux parties, parfaitement égales précisons, est coupé, le couple rompu, ils ont désormais chacun leurs existences, leurs visions de l’autre, et la connaissance de leur chair, puisque celle ci n’est plus indistincte dans le corps un de la cabosse une – comment la cabosse unie pourrait voir la chair de sa moitié. Pour cela il faudrait qu’il soit moitié, ce qu’il n’est pas, il est un.
La connaissance du bien et du mal, au lieu de les augmenter les a désunis; ils ne sont plus que deux moitiés séparés d’une même cellule œuf diploïde, du même zygote. Séparés, ils ne se réuniront que par la refusion de leur chair en la fusion de leurs gamètes, ce qu’Adam et Ève malgré, mais aussi en raison de leur séparation de leur zygote originelle, qui lorsqu’ils s’aimeront se connaîtront, formeront de par leurs cellules haploïdes respectives eux-mêmes de la division de leur cellule diploïde originelle issues, un nouveau zygote, une nouvelle cellule diploïde contenant la gamète mâle d’ADAM et la gamète femelle d’ÈVE, dont de la fusion il sera issue.
De la réunion d’Adam et Ève naquirent selon les Écritures Caïn, puis Abel.
La raison de la digression présente sur le mythe de l’originel péché et de la chute du Jardin d’Éden n’est pas une désertion, ni errance.
Encore moins une distraction pour de notre sujet principal qui est l’hénalogie du sens véritable du mot arbre, en son fondement comme en ses traductions, par une évocation de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, ou l’arbre de vie dont il est écrit en les Écritures que Dieu tint les exacts propos que voici « Voici que l’homme est devenu comme l’un de nous en connaissant le bon et le mauvais, et maintenant, afin qu’il n’avance pas sa main et ne prenne aussi de l’arbre de vie, et ne mange, et ne vive pour des temps indéfinis (…) » avant de l’homme chasser du Jardin d’Éden; faire une étude.
Le petit passage par l’épisode de la Genèse, ou l’on voit l’homme être tenu à l’écart par Dieu de la connaissance du bon et du mauvais, comme à l’écart d’une supposée éternité qui serait l’apanage de Dieu ou des divinités (si l’on se réfère exclusivement à ce ou est écrit ce que nous lisant, Dieu dit à propos de l’homme qui a accédé à la connaissance du bien et du mal qu’il est partant devenu « comme l’un de nous », comme l’un de ceux dont Jéhovah ferait partie ? Mais là est encore une autre histoire, un semblant d’exégèse qui n’est pas le propos ici) est à rapprocher d’une volonté qui serait de réunir toutes les langues en une seule dont tous seraient tributaires et issues.
Car la dite volonté de relier tous les os-langues dans le sens qui révèlerait le squelette-langue qui les révèlerait tous en le sens, la fonction et la réalité de l’importance de la partie et la cohérence de l’ensemble, oui la dite volonté ne peut manquer de faire penser à quiconque à une culture générale légère sur les questions théologiques et philosophiques (les deux sont-ce différents ou sont-il les deux moitiés séparées de la même cabosse) au mythe de la Tour de Babel.
C’est au moins une des traces évoquant l’existence avérée ou non d’une langue originelle de tous parlée, connue, une langue unique, commune à tous les humains, la langue de l’humanité.
L’on ne sait si une telle histoire est authentique. L’on devrait chercher à savoir si il y’a oui ou non d’autres témoignages, d’autres évidences ou pistes allant dans le sens d’une langue internationale ancienne. Ou infirmant la théorie de l’existence d’une telle langue.
Il n’en reste pas moins que cela soit vrai ou non, il existe aujourd’hui des milliers et des milliers de langues. Nous ne comprenons pas. Cela est-ce en l’état actuel, moderne des choses, et des choses à venir, plus sain, plus désirable ?
Si l’on se réfère à la Bible, l’humanité à désormais la connaissance du bon et du mauvais. En est-ce pour se parler qu’il n’accomplit de mauvaises choses, comme de bonnes ? En est-ce pour cela qu’il n’est en son ensemble, ou même considérant ses parties les plus viles ou les plus méritantes, les plus faibles ou les alertes, dignes d’exister ?
Que le mythe de la corruption du mythe d’Eve soit en sa véracité discutée n’est que palabre nécessaire.
Il n’en empêche que nous homme avons au fur et à mesure une capacité à faire, qui peut être ici et là perçut comme bonne ou mauvaise.
IQue le mythe de la Tour de Babel soit en sa véracité discutée n’est là encore, que palabre nécésaire
Il n’ne empêche que nous hommes ne parlant pas tous la même langue compréhensible en lui-même par tous, à un telle point qu’il serait saugranu d’imaginer qu’une telle situation se réalise.
Si jamais même langue nous devions aujourd’hui parler, ce serait l’anglais ou le chinois par exemple, des langues qui imposées elles-mêmes ne se connaissent même pas.
Parmi toutes les langues sur Terre, ceux qui les parlent ont appris le sens de désignation de la plupart des mots composant la langue qu’il parle. Ainsi la majorité des Français, lorsqu’il désigne du doigt un arbre l’appelle du nom d’arbre, et lorsqu’il lit le mot arbre désigne en son esprit la chose arbre.
Mais si le mot arbre désigne la chose arbre, que veut dire le mot arbre ? Nul ne le sait.
Si la chose arbre ne s’appelait plus arbre -c’est une chose qui pourrait ariver, par exemple à un Français prenant l’Eurostar et débarquant à Londres, tout à coup la chose arbre ne pourrait plus être appelé arbre sans que l’on lui dise que ce qu’il dit est incompréhensible et n’a aucun sens- que serait-il ?
Un tree en anglais, un baum en allemand, un árbol en espagnol, un дерево en russe, un mti en kiswahili, un 树 en chinois, un עץ en hébreu, un पेड़ en hindi, un شجرة en arabe, un fa en hongrois …etc
La chose arbre demeure, mais est appellé différemment ici par rapport à là. Qu’appelle t’on lorsque l’on appelle la chose arbre ? La chose arbre bien sûr mais surtout ce que l’on appelle à travers la chose arbre.
Ce que l’on appele à travers la chose arbre change selon que l’on soit anglais, allema,d, espagnol ou russe, puisque notre appelation de la chose arbre change selon les langues.
Mais ce que l’on appelle à travers la chose arbre, ou se trouve t-elle si ce n’est dans le mot avec lequel nous l’appellons en appellons l’arbre le mot lui-même d’arbre en France, de tree en Angleterre, de baum en Allemagne,
d’árbol en espagnol, de дерево en russe, de mti en kiswahili, de 树 en chinois, de עץ en hébreu, de पेड़ en hindi, de شجرة en arabe, de fa en hongrois …etc
Nous en sommes venus à ignorer le sens de smots. Que veut dire le mot arbre ? Que veut dire le mot ordinateur ? Que veut dire le mot chanoine ? Nul ne le sait. Nous ne savons que ce que cela désigne; le mot arbre désigne la chose que nous appellons arbre en France et Tree aux États-Unis d’Amérique, l’ordinateur désigne ce que nous appellons ordinateur, le mot chanoine désigne ce que nous appellons chanoine.
Mais bien entendu, nous n’aurons jamais l’inconséquence et l’audance de discuter la raison pour laquelle les choses que l’on désigne sous les mots, en France, d’arbre, d’ordinateur et de chanoine, et au Japon de ツリー, de コンピュータ et de カノン ont été au fil du temps, par les termes exposées désignés.
Le linguiste nous dira que le mot arbre vient du latin arbor, qu’ordinateur vient du latin ordinator, que chanoine vient du latin canonicus dérivé du grec kanôn (« règle »).
L’on ne cherchera à défaut d’avoir le sens des choses, que leurs origines ou ce que les choses désignent. Ce qui est une bonne chose.
Néanmoins, le terme kanôn, d’ou vient -il ? Et si l’on trouve l’origine du mot kanôn, l’originemême du mot kanôn, d’ou provient-il ?
Voilà une archéologie de tous les mots de l’humanité qui serait fort intéressante.
Et puisqu’à défaut de connaître le sens, nous mettons toute notre industrie à connaître les origiens, cela serait pour l’humanité toute entière, celle qui nous a précédé et toute celle qui nous précèdera lla plus grande récompense et l’ultime accomplissement, la résolution finale de toute notre qu^^ete de connaître les origines de toutes choses.
Voilà une enterprise louable et de fort grande envergure, qui donnerait à l’home les clefs de toute son histoire, la mémoire de toute son évolution.
Et puisqu’à défaut d’avoir le sens des choses l’on veut savoir ce que lesdites choses désignent (alors que savoir que le mot étoile désigne la chose étoile ne donne aucune indication sur ce que signifie le mot étoile, mais seulement ce qui est signifié par le mot étoile, à savoir la chose étoile.
Mais nous nous entendions bien sur le fait que le mot étoile n’est pas la chose étoile, et que si il désigne la chose, il ne le signifie pour nous autres qui ne connaissons pas le sens didactique des lettres assemblées é-t-o-i-l-e que parce que cela nous a été signifie sans jamais que l’on ne sache pourquoi, ni que ce qui nous ont transmis le mot et ce qu’il désigne ne le sache, mais n’ignore sa fonction désignatoire.
En somme, les mots de toutes langues sont des doigts qui désignent en pointant. Est-ce pour cela que l’index qui montre la Lune est la Lune elle-même ?
Non, mais il désigne l’astre pour dire « ceci est la Lune » ou « regardez en sa direction ».
Être l’on ne peut comprendre la désignation de l’objet ou de l’idée qui s’opère que par la compréhension du geste de désignation.
Ainsi la même main qui désigne le même objet pourra le faire de manière différente : la main qui remue d’avant en arrière, l’index levé pour vivement attiré l’attention sur une chaise vide; la main ouverte qui effectue un léger déplacement vers l’extérieur pour dire « prenez place sur la chaise je vous prie »; la main qui fait claquer le pouce et le majeur puis fait abattre l’index tendu vers l’objet dans le sens de « je veux cette chaise, elle est à combien ? » etc.
Il peut avoir différents mots pour une même chose, la manière de la plus simple d’illustrer mon propos étant de la multitude de mots allouée à une même chose éclairer, les termes changeant selon la langue parlée.
La chose peut être évoqué différemment, comme la main peut différemment évoquée la chaise.
Il faut, alors que la chose est même, mais différemment appellé par les peuples de connaître, pour connaître le sens de la chose, à la fois les différentes appellations de la chose (comme les gestes de la main qui désignent l’arbe), mais surtout le sens de l’appellation de la chose (comme convenu, il existe plusieurs gestes pour désigner l’arbre, ne pas en connaître le sens ne vera que l’objet sans savoir ce qui est exigé de par la désignation de la chose.)
L’hénalogie entend comprendre le geste langagier qui montre pour connaître le sens véritable de qui est montré.
Ainsi lançons dans la présente mision en étudiant le mot arbre.
Le mot français veut dire « Nous sommes un », « Vous êtes un » », signifiant ainsi l’union que symbolise l’arbre.
Analysant la sémantique ancienne des syllabes, arbre pourrait également vouloir dire « Nous sommes/Vous êtes le cou », ce qui est intéressant.
Cela signifierait que l’arbre est comme ce qui lie la Terre (le tronc du corps terrestre) et le Ciel (la Tête du corps terrestre) ?
Ou que l’arbre renvoie dans sa forme et sa fonction à une structure stable, solide, posé sur le thorax (la racine) pour faire tenir sa propre tête (les branches) ?
En anglais, arbre se dit tree. Tree signifiant « laisser ». L’arbre est ce qui est laissé dans le sens véritable anglais.
Ce qui est laissé, c’est la trace, l’héritage, la postérité, la mémoire, les accomplissements, la progéniture, en somme les graines que l’on a semée et qui germent et poussent, forment un arbre, même en notre absence.
N’est-ce pas là ce qui fait comprendre l’expression d’arbre généalogique qui répertorie la lignée familiale ?
N’est-ce instructif de savoir que le tree anglais renvoie directement au lignus, terme pour désigner l’arbre en latin?
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