Nous nous référerons notamment aux langues et aux écrits se référant eux-même à une supposée existence et action de ce que nous nommons ici diable, ici devil, teufel, ici diabolus et là-bas avec d’autres termes.
diable = coupe le en deux, coupe ce qui est un, divise, sépare (c’est ce que selon les Écritures, auxquelles nous ne nous référons ici comme référence mais comme un témoignage existant parmi tant d’autres, le serpent a fait en divisant l’union entre Dieu et Adam et Ève, mais surtout en divisant le couple Adam et Ève avec la tromperie, en les divisant en tant que noyau, zygote, cellule œuf diploïde), ce qui révèle bien que dans le strict cadre de la biblique cosmogonie serpent évoqué est ou personnifie le diable, son action et ses effets
-Ici définition donc du diable par ce qu’il fait : diviser, séparer, détruire l’union, isoler-
diable = coupe le, coupe en deux; mais cela peut-être aussi une injonction vis-à-vis de quiconque est confronté au diable (coupe le, divise-le)
Ici définition du diable par comment s’en défaire, le diable agit par la tête, c’est à dire qu’il rentre dans la tête comme il l’a fait avec Ève pour y installer le germe du doute, de la subversion, de la remise ne cause, du déni comme de la transgression, c’est donc, selon le vrai sens des mots obtenus par l’hénalogie, dans nos propres têtes ou il s’installe pour en faire son domaine qu’il faudrait le combattre; c’est dans la tête que se fait le combat contre le diable, Si le diable corromps ou incite, c’est l’individu qui agit, c’est donc l’individu lui même qui doit, si ce n’est se trancher la tête, en chasser le diable de toutes ses forces avant que sa tête ne pourrisse.
Le diable est çà-et-là personnifié en tant que serpent, or le serpent doit être coupé pour être vaincu, on doit le trancher, diviser le serpent continu en au moins deux parties (même inégales) afin de neutraliser son pouvoir lorsqu’il est un.
Néanmoins, le serpent mue, perd sa peau pour devenir autre, se régénère, il se régénère, ses parties endommagées coupées peuvent repousser
Il faut donc le trancher de telle sorte que tout le système du serpent à terme perde la vie. Comment le faire ?
Le serpe mue sait-on. Il se débarrasse de son ancienne peau qui d’un seul tenant, emprisonne le serpent puisqu’elle n’a pas de pores, donc pas de voie pour évacuer la transpiration et les émanation odorantes.
Le serpent se débarrasse lors de sa mue de son ancienne peau, en commençant par la tête. C’est de là qu’il émerge de son ancienne peau et de tout ce que cela signifie et implique pour lui de carcan, de vulnérabilité et de piège puisqu’il est connu de tous, et que le serpent part de l’avant, se propulse, se projette vers de nouvelles aventures, laissant derrière lui les anciennes.
N’est ce pas amusant que le mot serpent veuille dire « laisser (derrière soi »), comme pour indiquer ce qui distingue le serpent, sa mue qui le voit laisser derrière lui non seulement sa peau, mais son apparence, ses manques, son histoire pour « revenir » plus fort, plus dangereux, autre. Il est donc d’apparence insaissable, sinueux en son déplacement, prudent en son agissement (n’est-ce pinçant que dans l’extrait de la Genèse qui évoque le serpent, il soit écrit que « le serpent se révéla être la plus prudente de toutes les bêtes sauvages des champs qu’avait faites Jéhovah Dieu »), et surtout secret en sa motivation immédiate ?
Le serpent est un des seuls, si ce n’est le seul prédateur qui parvienne à faire douter de ses intentions, ce même lorsqu’il a été vu, et que la vision de son corps a de la peur provoqué.
A vérifier : Le terme serpent veut aussi dire « ramper », désignant le mode de locomotion du serpent qui le distingue de tous les animaux de la Terre.
Serpent, le terme français veut dire, excusez la grivoiserie involontaire de mon propos, mais l’analyse hénalogique ne souffre aucune pudibonderie inexpliquée : « pénis qui dort ou plus précisément « pénis qui dort encore « , le encore pouvant présupposé une exaspération à l’égard de l’état de sommeil ou au contraire une satisfaction vis -a-vis de son état « végétatif » qui n’augure pas de danger, mais peut bien aussi signifier encore dans le sens de « il dort pour l’instant« , comme pour dire, méfions nous du loup, ici, du serpent, qui dort » ! Qu’est-ce que cela veut dire ? Que le « pénis qui dort encore, c’est à dire non en érection peut être à un serpent assimilé ? Ou que le serpent est comme un pénis qui dort, mais dont il faudrait néanmoins de l’attaque, du sursaut se méfier ?
Concédons que là n’est pas la partie de notre travail étymologique la moins gauloise, mais ni la moins utile néanmoins, et que bien volontiers nous aurions pu de telles analogies nous passer mais cela serait revenu à se priver du sens des mots, ou des fruits concédés par leur recherche.
Ainsi n’est ce pas amusant que le mot diable indique également « tranche lui le cou », et que c’est bien entendu là qu’il faut en priorité, le plus nettement et le plus franchement frapper le serpent, afin de séparer sa tête, qui est sa priorité même dans sa mue en tant qu’il commence sa mue en priorité par la tête.
Et comme indiqué, que c ‘est par la tête qu’il agit.
N’avons nous en tête l’image de serpent, d’hydre, c’est-à dire, de serpents à plusieurs têtes dont pour se défaire le héros entreprend de trancher le cou ?
Si l’on suit l’analogie entre le serpent et le diable, le serpent change d’apparence lors de sa mue.
En un instant il peut prendre une toute nouvelle apparence, en un moment il est l’un mais intérieurement autre, et il a la potentialité d’être infiniment différent à chaque moment, et entre chaque instant t et chaque instant t’, puisque lorsqu’il mue, il laisse une peau, mais la peau sous-jacente qui en ressort, elle -même est susceptible naturellement d’être délaissé dans une nouvelle mue pour laisser entrevoir une nouvelle peau,n différent, qui elle-même est susceptible d’abriter une toute autre peau, et ainsi de suite…
Le serpent peut donc physiquement e présenter sous différentes formes, comme il peut s’adapter à l’extrême pour se camoufler, faire le mort, s’agripper, ou même avaler une proie.
N’a t-on jamais été subjugué par la capacité d’un serpent de taille moyenne de faire entre en sa tête, en son cou et son appareil digestif un bœuf entier ?
N’est t-on effaré lorsque l’on voit un serpent au loin comme tout proche, simplement par sa présence, immobile ou rampant, même si il est inoffensif ou se présente comme tel, ou avec subtilité, discrétion, parce que l’on n’ose imaginer ce qu’il pourrait nous faire voir et subir dans une de ses transformations de forme, de comportement dont il a le secret ?
Car au fond, qu’il rampe, qu’il dorme ou qu’il jaillisse, le serpent est le même, et n’abuse que ceux qui veulent l’être.
Bien entendu, que l’on voit un loup,ou tout autre prédateur, même endormi, notre réaction de peur sera la même. Ce qui change, c’est que le serpent, qu’il veuille attaquer ou non, qu’il aie franchement entrepris ou non va jusque qu’il ait complètement piégé sa victime peut vouloir laisser croire qu’il ne va pas attaquer avant qu’il attaque. Alors que l’on sait qu’il peut, pourrait, qu’il veut attaquer, qu’il en a envie, que cela (dans) sa nature est.
Et c’est ainsi de voir au contraire du loup ou de tout autre prédateur, voir le serpent ainsi dissimuler ses intentions, et même sa présence avant qu’on ne le voie, et même après, de par sa locomotion -il rampe, donc il n’est pas dans notre champ de vue immédiat, naturelle lorsque l’on commence à prendre une certaine taille.
Ce n’est aussi guère étonnant qu’il fasse instinctivement horreur aux petits, il est dans leur champ de vision immédiat, et quel effroi cela doit être pour un tout jeune enfant de voir le serpent, hurler pour en avertir ses parents mais que ceux-ci prennent les pleurs pour ceux auxquels ils sont accoutumés chez l’enfant, et que leur taille, ainsi que leurs occupations, distractions et discussions, couplés à leur champ de vision et immédiat intérêt visuel ne se portant sur le sol ne leur fasse voir la menace rampante.
Bible : Dieu au serpent après qu’Ève aie mangé du fruit de l’arbre défendu :
«Puisque tu as fait cela, tu seras maudit parmi tout le bétail et tous les animaux sauvages. Tu marcheras sur ton ventre et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. «
Ainsi est-ce instructif de savoir que serpent hénalogiquement veut dire « laper », ce qui renvoie notamment à l’action propre de la langue du serpent qui cherche et eau et nourriture par le contact soutenu avec le sol, d’une manière haletante, inquiétante et misérable. Aussi, le mot serpent renvoie au mode de (sur)vie du serpent même.
Je mettrai l’hostilité entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance: celle-ci t’écrasera la tête et tu lui blesseras le talon.»
Même si tu ne le vois, le serpent t’attaque, lâchement, discrètement, sournoisement mais décisivement, là ou tu ne l’attends pas, là ou tu ne -te et le- surveilles pas).
Donc le serpent change de forme, il a pu mué vingt fois au cours de sa vie mais il est le même demeuré : Il a gardé la même tête; tranche lui la tête et il meurt.
Mais le diable, plus que le serpent encore peut à l’infini muer, être l’un et l’autre, se présenter comme tel et être autre; en somme le diable est comme un multi-serpent, une hydre. avec plusieurs serpents, plusieurs têtes de serpents.
Cela représente toutes les formes infinies, renouvelables, renouvelées, décuplées, démultipliées sous lesquelles le diable peut frapper, et si on frappe une tête une autre repousse, un vice combattu ne s’annule tant qu’il n’est vaincu, un vice vaincu n’annule les autres qui n’ont été vaincus.
Il faut selon l’hénalogie frapper toutes les formes apparences de l’hydre, qui est l’hydre même.
Donc le diable même qui est toutes ses apparences mais lui-même unique, il faut frapper toutes les têtes de l’hydre en même temps pour le terrasser, s’en défaire.
Le terme « devil » qui signifie diable en anglais, lui aussi parle. Il dit entre autres littéralement « coupe un, coupe un morceau ». Mais que doit-on couper ? À quoi appartiennent les morceaux que l’on doit scinder les uns des autres ?
Teufel, le terme allemand pour diable dit à l’impératif : « Tu ne le rateras pas au sens de « Il ne faudra pas le rater », « Que tu ne le rates (surtout) pas.
La racine de la syllabe germanique Teu renvoie à Tey (par remplacement du i grec par le u grec, l’on prononce donc tey « téï » ou tèi ).
Par l’hénalogie des langues germaniques, l’on sait que tey signifie « (tu) ne feras pas. »
En revanche tèi est une injonction à l’impératif futur « ne le »
La syllabe « fel » dérive du terme originel « falla » qui veut dire rater, manquer. Du terme originel falla dérive le terme anglais fail qui veut dire échec.
Récapitulons : Teu/fel = Tey/falla
Téy = tu ne feras pas, (que tu) ne fasse pas
Tèy : cela ne le
Falla = échec
Ainsi la forme ancienne de Teufel, Tey/falla = (Que tu) ne rates pas pour téy-falla et « (Que tu) ne le rates pas pour tèy-falla
Teufel veut donc dire : Tu ne devras pas manquer, rater, échouer
Étonnant que dans l’analyse de la structure du terme originelle dont dérive le mot germanique Teufel signifiant Diable, l’on fasse se découvrir une telle définition : Que tu ne rates pas/Que tu ne le rates pas.
Le « le » de « que tu ne le rates pas » pouvant tout désigner, autant une chose qu’un moment ou une personne.
Néanmoins, le fait que l’on retrouve la présente injonction dans la dissection du mot Teufel indiquerait t-il que le « le » de « ne le rates pas » indique le Teufel, le Diable lui-même, et que le message du terme diable en allemand serait de ne pas le manquer le rater, lui, le diable lui-même ?
Mais que veut dire rater et manquer, c’est à dire originellement « falla » d’où dérive les formes anglo-saxonnes (fel/fail) dans le terme « ne le rates pas/ne le manque pas appliqué à la définition du Teufel, du diable lui-même.
Cela voudrait-il dire, ne le rates pas, ne le manques pas dans le sens de « il faut que tu sois là au moment ou il passera, ou il se présentera pour l’honorer de ta présence ou de ton assiduité, ou simplement ne pas manquer son passage, qui comme le terme de « ne le rate/manque pas; il ne faudra pas le rater/le manquer » l’indique, laisse présager qu’il y’a un moment ou le diable se présente, apparait et qu’il ne faut pas manquer, et que donc ledit moment, le kairos est une opportunité qu’il ne faut lui-même manquer ?
TEUFEL enjoint-il de ne pas le manquer au sens du coup porté à l’hydre qu’il ne faut pas rater sous peine de garder nuisible le diable ?
Néanmoins l’hénalogie est une science de connexion, de la connexion de toutes les langues ou de la recherche de celle-ci, la Science du Babel perdu en quelque sorte.
À cet égard, si différent chemin les hommes ont pris, ils n’en restent pas moins tous des hommes, et c’est de leurs attributs et histoire humaine commune que s’impose la certitude leur humanité commune.
Si humanité commune il y’a eu, langue humaine il y’a du y avoir. Si humanité commune il y’a, nécessairement, langue commune il y’a. Si humaine communauté il doit y avoir, langue humaine commune il doit y avoir.
Or il y’a une multitude de langues, celles-ci présentant des racines éparses si éloignées et différentes parfois les unes de s autres qu’il semble que nous ne puissions jamais à l’humanité concéder une possible compréhension mutuelle, et encore une compréhension commune.
Pourtant ça et là nous voyons dans des langues de même groupe (par exemple les langues germaniques dont sont issues l’anglais et l’allemand) se faire jour des évidentes similitudes sémantiques et syntaxiques; ainsi du fel allemand de Teufel qui équivaut au Fail anglais.
Il faut ensuite remonter à la source commune du dit groupe pour savoir que le teu dérive du tey qui signifie (il ne faudras pas).
Si compréhension étymologique est constatée au sein de langues du même groupe, et que cela soit scientifiquement vérifiable par l’examen par rapport à leur source commune, cela offre une compréhension globale de l’ensemble du groupe, en l’ensemble du groupe de la par la compréhension due à la connexion hénalogique.
Mais comme nous l’avons-dit, il est différents groupes de langues dont les attributs changent en passant de l’un à l’autre, de telle sorte qu’il semble ne pas pouvoir y avoir de compréhension mutuelle.
Comme nous avons, au sein d’un même groupe établi la compréhension par la racine du groupe, il faut entre les différents groupes établir la compréhension par leur racine commune.
Voici le travail de l’hénalogiste, qui en plus d’étudier la langue en elle-même, a pour exigence première de ne point en ignorer les possibles connexions avec les autres, car aucune langue ne vaut plus que l’autre, ni aucune culture.
Malgré que d’apparence différente et donc comparable il puisse être, ils se complètent.
Les langues du monde entier sont comme des parties de puzzles, dont pour les révéler en leur vrai sens il faut à la fois -et cela est plus simple de toujours servir sa propre chapelle- les imbriquer dans le puzzle plus grand constitué par le groupe de langues dans lequel ils sont compris.
Néanmoins cela n’est pas suffisant. C’est un peu comme avoir des morceaux de puzzle réunis qui forment la Mongolie, et considérer, comme ce sont les seuls morceaux de puzzle qui nous ont été donné considéré qu’il s’agit là de tous les puzzles que l’on peut avoir, du puzzle contenant le monde entier. Puis avoir des nouveaux puzzles qui, ingénieusement imbriqués avec les premières pièces de puzzle formant la Mongolie, forment autour de la Mongolie les pays à la Mongolie limitrophes, Russie, Kazakhstan et Chine.
Et soudainement considéré que le puzzle formé par l’ajout autour de la Mongolie de la Chine, du Kazakhstan et de la Russie constitue le puzzle géographique terrestre le plus complet qu’il puisse y avoir, et s’en contenter, et surtout voir le monde à travers le présent prisme biaisé, incomplet.
Et se faire croire, alors que l’on sait qu’il existe d’autres zones géographiques et qu’il faut tous les connecter, ne pas les ignorer, n’en ignorer aucune, car dès lors qu’une pièce du puzzle est manquante, c’est toute la Terre qui a un trou béant inexplicable qui comblé ne sera que par du puzzle manquant la considération et la mise à sa juste place.
Tel est le devoir de l’hénalogiste qui dans son travail ici de la parole, de la langue considère toute partie du langage humain comme une pièce du puzzle du langage humain universel qui ne sera compris comme telle et formé comme telle que par la connexion de tous les puzzles entre eux, car c’est bien tous ensemble qu’ils tiennent; je dois trouver et mettre le puzzle contenant une partie de la Mer du Nord dans mon grand puzzle mondial parce que j’ai trouvé et mis sa place le puzzle contenant le Cap Horn, ou celui contenant le sultanat de Brunei.
L’hénalogiste doit voir chaque langue, chaque groupe de langues comme un puzzle du grand puzzle mondial. C’est-à-dire qu’il n’y en a pas un qui est plus important que tout les autres, eux-tous compte pour chacun et un seul compte pour tous, oubliez en un seul et tout est dépuzzlé.
L’hénalogiste doit avoir à l’esprit et au cœur toutes les pièces du puzzle. Elles ont en désordre, elles sont séparées, elles n’ont aucun lien entre elles.
Il doit les agencer, les chacune respecter, en les connectant de sorte qu’il apparaisse le grand puzzle dont elles sont toutes issues.
Le morcelage est un état de fait. La jarre est cassé. À nous de recoller les morceaux. Ce n’est que là qu’elle sera digne de recontenir son vin.
Et n’oubliez pas, nul ne peut dire qu’il connait le vin alors qu’il n’en a bu que d’un seul cépage.
Notre mission est d’étudier toutes les langues en leur cœur et raison même. L’humanité a plusieurs langues mais il n’y a plusieurs humanités. Toutefois si plusieurs humanités il est, elles sont si défaillantes les unes les autres qu’elles ne savent ce qu’elles disent ni ce que disent les autres.
Savoir ce que l’on dit, c’est cela dire. Alors depuis des siècles toute l’humanité ne dit plus rien. Elle ne ferait que prononcer des choses dont on lui indique ce qu’elles désignent sans jamais en connaître ni le véritable sens, et, cela est troublant pour l’ère d’archéologie et de généalogie qui est la nôtre, ni même les origines.
À tout cela, et à bien plus encore, nous devons remédier. Avec toutes les bonnes volontés, attelons-y sans tarder.
Avec la certitude du bien fondé, l’exigence du bien commun, poursuivons sans discontinuer ni faillir.
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