HENALOGIC ICÔNE
Icône veut dire « Image »
Icon veut dire « appel au don, exhortation au don, sollicitation, voire levée »
Symbol pourrait désigner « l’arbre au singulier »
Analyse de l’hénalogique du mot icône en toutes ses langues :
Or voici donc que le mot français icône veuille en son hénalogique dire littéralement « image ». L’icône est donc d’abord et pour tout une image, ce qui s’imprime sur la rétine.
HENALOGIC ICON
Le mot anglais icon, comme le mot français icône pourrait également signifier « appel, exhortation au don ». L’appel au don visant celui, si l’on se réfère à l’hénalogique du mot français icône, qui observe ou est face, ou au fait de l’existence de l’image, de l’icône. Le don, les dons doivent donc se faire en direction de, pour l’icône.
Voici donc que l’hénalogique des termes phonétiquement proches icône et icon peut nous révéler les sens de la chose icône/icon :
Au sens d’image, rejoignant en cela la visée du mot iconographie (donc en ce que l’icône est, une image)
Au sens d’objet de don, de respect … cela peut même aller plus loin. Puisque l’icône ici doit faire l’objet de don, d’offrandes, voire partant, de sacrifices. Nous voyons ici poindre l’aspect d’icône à rapprocher de l’idole, du culte, de la divinité.
Poursuivons notre examen avec l’hénalogique du terme allemand signifiant icône, à savoir symbol.
HENALOGIC SYMBOL
Symbol avons-nous dévoilé veut dire « un arbre », l’arbre au singulier, donc un arbre, l’arbre en particulier.
Pourquoi un arbre en particulier ? Un arbre parmi les arbres. Qui est censé tous les représenter ? Ou représenter quelque chose de particulier, de telle sorte que l’arbre particulier exposé (en) soit un modèle, un exemple ?
En un mot, un symbole ?
Car le symbole n’est jamais en lui-même la symbolisé chose, ni toute la chose, ni seulement la chose, ni elle seule la chose.
Un arbre, c’est n’importe quel arbre. Un arbre parmi tant d’autres. Mais en même temps, c’est l’arbre que voici en question, et aucun autre arbre.
L’anonymat du désigné, donc la distinction de l’asingulier met en lumière une chose externe au choisi : le choix lui-même.
Le choix de l’arbre que voilà, alors que nous n’indiquons dans son indication ce qu’il est, si ce n’est qu’il est arbre -ce qui est désigné et rien d’autre que tout ce parmi quoi (la catégorie des arbres) il est désigné- montre que c’est sa désignation qui le fait.
Et ce qui dans l’acte de faire le rend véritablement arbre, plus que les autres arbres, en quelque sorte, est que même dans sa désignation, qui n’est qu’en son acte même une formalité langagière, signalière sans autre forme de réalisation de la parole en acte si ce n’est par formation de l’idée de la chose dite en esprit, il n’est plus indiqué comme dans la prononciation ou la pensée de « l’arbre » en tant qu’arbre comme les autres, ou arbre parmi arbres, arbre pour tout arbre, arbre comme tout arbre.
Il n’est plus la chose, car l’idée, arbre. Il est un arbre qui existe. Il est un arbre en particulier que le terme allemand de symbol montre. Un arbre que la désignation, le fait d’enjoindre à sa représentation par l’indication non plus de la vague mais précise idée d’arbre (vague car idée, précise car idée d’objet concret) fait sortir du 0-arbre, qui n’est pas le 0 puisque il est le « 0-arbre », le 0 des nombres-arbres, qui de par l’émergence d’un arbre, ou ici la désignation d’un arbre en particulier, se démontre comme la matrice du tout arbre.
Matrice que le mot arbre qui ne désigne pas un arbre en particulier mais l’idée arbre est, puisqu’elle contient tous les arbres qui ont été, sont et seront, en externéité (c’est à dire en effectivité) comme en internéité (en idée, impression interne à l’esprit).
Le symbol est donc un arbre parmi tous les arbres qui a été désigné. Qui l’a désigné ? Pourquoi l’a t’on désigné ? Encore une question idiote. Quel arbre est l’arbre désigné parmi les arbres ? En effet, en acte, comme en idée, est-ce véritablement un arbre particulier qui est désigné ?
L’arbre n’est-il pas désigné par défaut, comme tout arbre sous la main aurait pu être désigné ? Ce que j’essaie de démêler, c’est la question du choix de l’arbre singulier pour la dite désignation. Quelle est la raison de sa distinction, alors qu’arbre désigné, n’est pas précisé en sa désignation ce qui la rend distincte des autres arbres, si ce n’est qu’elle est l’arbre qui a été désigné ?
Alors est sa seule distinction sa désignation comme exemple. Est cela le symbol.
De par son hénaogique, l’icône est donc un symbole. Et une image. Et un objet (indiqué) de culte.
Le présent article n’est qu’une ébauche de ce que l’idée, la chose icône est, de par son hénalogique. Nous l’avons confronté à ses translations françaises, anglaises et allemandes. Comme nous l’avons fait pour les précédents mots analysés par l’application de traitement de mots HENALOGIC.
Nous savons bien que l’objectif de l’entreprise est d’avoir la donnée la plus précise possible du sens véritable du terme traité, de par le recoupement de l’ensemble de ses sens en toutes les langues ou elle est signifiée.
Or il est admis que l’anglais, l’allemand, le latin et le français ne sont les seules langues existantes de l’univers, elles ne sont que celles que je connais.
Si d’aventure vous désirez participer à l’aventure HENALOGIC, quelque soit langue que vous parliez, envoyez sur l’adresse de l’application HENALOGIC vos commentaires, réflexions, requêtes, propositions et informations, ainsi qu’à tout moment, un mot en toute langue afin que son sens hénalogique, c’est à dire son sens véritable, vous parvienne.
L’examen de tous les mots de l’univers, en tout temps et en tout lieu et leur analyse hénalogique, hénalytique n’est pas une science qui souffre l’à peu-près. La volonté de recouper mes informations m’oblige à me référer à tout élément d’étude de l’hénalogie, à savoir toute chose, et ici plus précisément les mots en leur sens même.
Pour ce faire, l’hénalogie à, laquelle avec nos équipes et correspondants nous nous livrerons devra ne se départir jamais de sa curiosité et de sa palangagisme. L’apprentissage, l’examen, la confrontation de tout ce qui se rapporte aux mots, à leurs racines, à leurs sens, à leurs raisons et vies ne nous seront inconnus.
En somme, nous serons des globes-glotters. Notre credo sera langagement.
GNADOU ATHYTHEAUD
Facebook
Twitter
Pinterest
Google+
RSS