M.R.L.C : Debout, Nation Ivoirienne !

MANIFESTE du M.R.L.C/Mouvement pour la Résistance et la Libération de la Côte d’Ivoire et de l’Armée de Libération Nationale Ivoirienne (ANLI)

Debout, Nation Ivoirienne !

La Côte d’Ivoire, État-nation souverain, s’est fait volé son État, et sa souveraineté. Les forces d’invasions ouattariennes du criminel de guerre génocidaire et terroriste Alassane Ouattara, ont violemment attaqué, déstabilisé la Côte d’Ivoire, se saisissant par la force du Nord de la Côte d’Ivoire, à partir de 2002. La Nation ivoirienne toute entière est entré en Résistance, l’Heure de la Lutte armée totale pour la Libération a sonné !

Tenant le Nord en otage, de par leurs assauts et massacres terroristes qui ensanglanté le pays depuis 2002, les tueurs ouattariens ont répandu le chaos, la terreur en Côte d’Ivoire, depuis leurs positions dans le Nord, acquises au prix incommensurable du sang versé des Ivoiriens. Les Ivoiriens septentrionaux ont été et continuent d’être leurs premières malheureuses victimes de masse; certains ont été embrigadés de force, beaucoup ont servi de boucliers humains, tenus sous la menace et la contrainte : c’est toujours le cas.

C’est pourquoi la Libération de la Côte d’Ivoire devra oeuvrer à la véritable réconciliation nationale, qui ne peut se faire qu’avec la reconnaissance de circonstances exceptionnelles ou atténuantes à l’égard des communautés captives, depuis le début des années 2000, des mouvances criminelles et terroristes ouattariennes.

Parmi les complices des escadrons de la mort d’Alassane Ouattara, les groupes armés de Guillaume SORO. Ouattara et Soro sont à eux seuls coupables de l’assassinat de plus de cent mille de nos compatriotes, seuls les corps de cinquante mille d’entre eux ont pu être identifiés. Plus de cinquante mille Ivoiriens sont depuis l’invasion terroriste de notre pays, portés disparus. Plus d’un million d’Ivoiriens ont perdus leur maisons, et pour fuir les exactions et l’avancée des troupes ouattaristes, ont été contraints à l’exil intérieur.

Plus de deux millions de nos Frères et Sœurs Ivoiriens sont aujourd’hui, à cause du régime ouattarien, réduits en exil hors de la Côte d’Ivoire; parfois maltraités, bafoués, loin de leur terre ancestrale ! Loin de leurs proches, pour la plupart exterminés par les milices ouattariennes de l’Occupation !

Aujourd’hui, plus de vingt millions d’Ivoiriens sont réduits en esclavage par le régime d’occupation ouattarien, qui s’accapare tous les biens et détruit toute vie ivoirienne. Opprimés, Pourchasés, Torturés, Emprisonnés, Exclus de leur propre pays, Exploités comme leurs propres terres par des forces hostiles d’invasion. Les Ivoiriens produisent la richesse du pays, sans en récolter un kopeck; esclaves, prisonniers, victimes des bourreaux ouattariens, les Ivoiriens souffrent, meurent en masse de tous les maux que leur imposent l’occupant.

Pourquoi ? Comment la Côte d’Ivoire a t-elle pu en arriver là ? Comment la Côte d’Ivoire a t-elle pu sombrer dans les abysses de l’oppression ? Comment a t-elle pu chuter ainsi dans les abîmes de l’abomination ouattarienne ?

Depuis 2002, des entités armées non-étatiques ont osé s’en prendre à la sécurité de la Côte d’Ivoire ! Au service de Ouattara et ses complices d’hier ou d’aujourd’hui, qui sont bien connus et fichés en tant que tel par le M.R.L.C, ses groupes armés ont porté atteinte à la sécurité nationale, à la souveraineté et à l’ordre public de Côte d’Ivoire, voulant attenter à sa cohésion, à son unité.

La division, le désordre, la guerre contre la Côte d’Ivoire a été la stratégie de Alassane Ouattara pour s’emparer du territoire et des richesses de la Côte d’Ivoire. Aujourd’hui, suite à sa rébellion terroriste entamé en 2002, il a pu user du chantage à la mort, à la violence et à l’anarchie pour s’infiltrer, au travers du terrorisme à grande échelle, dans le paysage politique ivoirien.

Le M.R.L.C déclare ennemis de la Côte d’Ivoire, ennemis de l’État ivoirien libre représenté par le M.R.L.C, OUATTARA Alassane, son régime et tous leurs soutiens.

Le M.R.L.C s’insurge contre le fait innaceptable que l’atteinte aux intérêts supérieurs de la Nation ivoirienne aient pu permettre à Alassane Soro, Guillaume Soro, et d’autres éléments criminels identifiés de leur organisation terroriste, de revendiquer une légitimité politique. En conséquence, le M.R.L.C considère le régime ouattarien comme étant illégitime, nul et non avenu.

Les forces terroristes armées ouattariennes, et le régime illégitime qu’ils ont soutenu et qu’ils soutiennent encore, sont criminels et ennemis de la Nation ivoirienne, ce en vertu du fait qu’elles ont été inspiratrices et bénéficiaires des attaques terroristes pro-ouattariennes sur le sol ivoirien, et contre la sécurité, l’intégrité et la souveraineté de la Côte d’Ivoire, depuis au moins 2002.

En considération de tout ce qui précède, tout individu, groupe, entité et institution qui traite avec le régime ouattarien et ses forces est un complice du régime d’occupation ouattarien de la Côte d’Ivoire, et donc un ennemi de la Côte d’Ivoire et du peuple ivoirien.

Tout ennemi de la Côte d’Ivoire et du peuple ivoirien est un ennemi du M.R.L.C, et sera traité comme tel.

La Côte d’Ivoire est en guerre, depuis 2002, contre les forces et l’organisation politique ouattariennes. Le M.R.L.C est le représentant légal et unique de l’État ivoirien libre, la plus haute autorité civile et militaire de la Côte d’Ivoire libre; en ce sens, le M.R.L.C a pour mission de diriger, de représenter et de protéger la Côte d’Ivoire libre et la population ivoirienne dans son ensemble. Le M.R.L.C, tout autant que la Côte d’Ivoire, se déclare en guerre contre le régime d’occupation ouattarien en Côte d’Ivoire, inspiré et dirigé depuis 2002 par Alassane Ouattara.

Dans le cadre de sa mission régalienne d’organisation de la Résistance et de préparation de la Libération de la Côte d’Ivoire, le droit de la guerre s’applique au M.R.L.C. Le M.R.L.C déclare officiellement la guerre au régime d’occupation de la Côte d’Ivoire, opérationnel depuis 2002.

Le M.R.L.C s’engage à respecter le droit international humanitaire. Le M.R.L.C souligne que l’occupation de la Côte d’Ivoire par les forces ouattariennes, qui comprenaient notamment les factions criminelles de Guillaume Soro (réunis au sein du MPCI) a été un processus progressif, illégale, qui a cru pouvoir se légitimer par le chantage terroriste, et la subversion armée du processus électoral ivoirien.

Rien n’est plus illusoire et absurde. La Côte d’Ivoire ne peut être contrainte à se soumettre, à légitimer son agresseur, son bourreau, son oppresseur, l’Occupant, l’Ennemi.

Depuis 2002, date du début de l’occupation ouattarienne de la Côte d’Ivoire, notre pays n’a connu que deux régimes : celui de Laurent Gbagbo, et celui de Alassane Ouattara.

Ce qui précède signifie donc que l’État ivoirien, et la protection de la Nation ivoirienne, a un temps été de la responsabilité de Laurent Gbagbo, Président de la République de Côte d’Ivoire à partir de 2000. Si Le M.R.L.C met en lumière la réalité de l’occupation ouattarienne de la Côte d’Ivoire, totale depuis 2011, il dénonce le régime d’occupation de la Côte d’Ivoire, et le qualifie en tant que ce qu’il est : illégitime, nul et non-avenu.

C’est pourquoi le M.R.L.C désigne Alassane Ouattara comme étant le dirigeant principal du régime d’occupation de la Côte d’Ivoire, le dirigeant de la force ennemie occupant actuellement la Côte d’Ivoire, oppressant, colonisant, esclavagisant les Ivoiriens.

Le M.R.L.C considère Alassane Ouattara comme le dirigeant de la force ennemie en guerre contre la Côte d’Ivoire, à ce titre Alassane Ouattara et son régime sont l’ennemi public numéro un du Mouvement pour la Résistance et la Libération de la Côte d’Ivoire.

Pour tous les crimes répertoriés dont il s’est rendu coupable et complice, à savoir le massacre d’au moins cent mille Ivoiriens, la responsabilité des déplacements forcés de deux millions d’Ivoiriens à travers le pays, la responsabilité de l’exil de deux millions d’Ivoiriens hors du territoire national ivoirien, la planification et l’organisation du Génocide de Côte d’Ivoire, la commission à grande échelle de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre, l’agression et l’invasion de la Côte d’Ivoire, la planification et l’exécution d’actes de terrorisme sur l’ensemble du territoire national, l’atteinte à la sécurité nationale, l’atteinte à la souveraineté nationale, l’atteinte à l’indépendance, l’atteinte à l’intégrité territoriale, le trouble à l’ordre public, association de malfaiteurs en vue de commettre des attentats et des crimes contre la Sûreté de l’État, l’apologie de la haine, l’apologie du génocide, l’appel au génocide, l’apologie de crimes contre l’humanité, l’apologie de crimes de guerre, la commission de crimes économiques et environnementaux à l’échelle nationale, la commission d’actes de barbarie et de torture, l’enlèvement, l’asservissement, la mise en esclavage et la séquestration de millions d’Ivoiriens; le M.R.L.C le condamne à la peine capitale.

Pour tous les crimes similaires et connexes dont il s’est rendu coupable et complice, le M.R.L.C condamne Guillaume Soro à la peine capitale.

Pour avoir failli à sauvegarder l’ordre, la sécurité, la souveraineté et l’intégrité de la Côte d’Ivoire, le M.R.L.C condamne GBAGBO Laurent à la peine capitale .

Considérant que Laurent Gbagbo a cédé au diktat des groupuscules d’invasion terroriste de Alassane Ouattara et de Guillaume Soro, en intégrant notamment Guillaume Soro au sein du gouvernement ivoirien en qualité de Premier ministre; considérant que Laurent Gbagbo a ainsi minimiser la menace contre l’intérêt supérieur de la Nation ivoirienne que constituait les mouvances pro-ouattariennes et leurs membres, et donc favoriser l’extension de la dite menace, le M.R.L.C déclare que Laurent Gbagbo ne pourra bénéficier d’aucune réduction de peine relative à sa condamnation à la peine capitale, eu égard à sa défaillance manifeste et délibérée pour assurer la sécurité, la souveraineté, et l’intégrité de la Nation ivoirienne.

Au regard de la compromission avérée de Henri Konan Bédié avec les forces d’invasion et d’occupation ouattariennes, au moins depuis 2011, et ce jusqu’à son décès en 2023; au vu des actions menées par KONAN BÉDIÉ Henri pour tenter de donner une légitimité, illégale, au régime de l’occupation; considérant que tout ce qui précède constitue une complicité de KONAN BÉDIÉ Henri avec l’ensemble des crimes commis par les forces et le régime d’invasion et d’occupation de la Côte d’Ivoire, le M.R.L.C le condamne à la damnation de la mémoire nationale, pour haute trahison, complicité de génocide, complicité de crimes contre l’humanité, complicité de crimes de guerre.

Au vu de la compromission manifeste de GBAGBO Laurent avec le régime d’occupation et d’asservissement ouattarien, ce depuis son retour en Côte d’Ivoire, GBAGBO Laurent est condamné à la peine de mort, pour haute trahison et collusion avec l’ennemi.

L’ensemble de l’appareil politique, des organes, groupes et individus liés au régime d’occupation et d’asservissement ouattarien est considérée comme complice ou coupable des crimes contre l’humanité, des crimes de guerre et du Génocide des Ivoiriens en cours depuis 2002.

L’ensemble de l’appareil politique, des organes, groupes et individus liés aux mouvements politiques, actuels, passés ou futurs, affiliés à SORO Guillaume, GBAGBO Laurent, et KONAN BÉDIÉ Henri, sont réputés compromis avec le régime d’occupation en Côte d’Ivoire, car ces derniers ont soutenu la volonté de légitimation du régime d’occupation, et ses forces d’invasion et d’occupation. Selon leur degré de complicité, de culpabilité et d’implication, l’ensemble des acteurs de l’Occupation et de la Collaboration avec l’ennemi seront poursuivis et traduits en justice, jugés et condamnés, dont premièrement à l’indignité nationale.

Les condamnations à la peine capitale, par le tribunal militaire du M.R.L.C, d’OUATTARA Alassane, SORO Guillaume et GBAGBO Laurent s’appliquent avec effet immédiat.

Le M.R.L.C émet au nom de la Côte d’Ivoire un mandat d’arrêt à l’encontre des personnes précités ci-avant, en réponse aux crimes et complicité de crimes dont ils se sont rendus coupables contre la Nation Ivoirienne, et contre l’humanité toute entière.

Une somme de 10 millions de dollars USD est promise par le Ministère de la Justice du M.R.L.C, pour la capture et la remise aux autorités du M.R.L.C, mort ou vif, de chacun des individus suivants : OUATTARA Alassane Dramane, GBAGBO Laurent et SORO Guillaume, en vertu de la peine capitale qu’ils encourent sur condamnation du M.R.L.C.

La capture et la remise aux autorités du M.R.L.C, de deux ou plusieurs des criminels recherchés cités ci-dessus donnera lieu à une rétribution cumulative.

Le M.R.L.C se réserve le droit d’user de tous les moyens nécessaires pour appliquer les condamnations prononcées ci-avant, et pour assurer la sécurité du Peuple Ivoirien, restaurer la souveraineté, l’indépendance et l’intégrité territoriale de la Côte d’Ivoire, au travers de sa Libération totale, intégrale et globale.

Belligérant affiché dans le cadre du conflit l’opposant, en tant qu’organe de commandement suprême des forces de la Résistance et de la Libération de la Côte d’Ivoire, aux forces d’occupation de colonisation en Côte d’Ivoire que constituent le régime d’OUATTARA Alassane, le M.R.L.C, en tant qu’État souverain représentant la Côte d’Ivoire luttant pour sa liberté, sa souveraineté et son indépendance, s’engage à respecter le droit international humanitaire, et le droit international des droits de l’homme.

Le M.R.L.C précise que son engagement armé contre le régime d’Occupation ouattarien n’est pas seulement une guerre; puisque le régime d’occupation ouattarien est illégitime, nulle et non avenue, et n’est pas un État; il s’agit tout d’abord d’une opération de police et de retour à l’ordre public, mené par le M.R.L.C contre un groupuscule criminel réputé présent sur son territoire.

À ce titre, l’opération de police du M.R.L.C est régie par le droit interne de l’État ivoirien libre que constitue le M.R.L.C, qui fixe les conditions et les limites de l’usage de la force par les forces de sécurité nationale du M.R.L.C, ainsi que les droits et les devoirs des citoyens de la Côte d’Ivoire libre.

Aux fins de neutralisation de la menace contre la sécurité et l’ordre public de la Côte d’Ivoire que représente un tel groupe, la Côte d’Ivoire, au travers du M.R.L.C fait appel à la légitime défense, qui est le droit reconnu par la Charte des Nations Unies à tout État, donc au M.R.L.C, gouvernement de la Côte d’Ivoire libre, de se défendre contre une agression armée, en utilisant la force nécessaire et proportionnée, jusqu’à ce que le Conseil de Sécurité prenne les mesures nécessaires pour rétablir la paix et la sécurité internationales.

Le Mouvement pour la Résistance et la Libération de la Côte d’Ivoire, représentant et défenseur de la Nation ivoirienne en lutte pour sa Libération, condamne et s’oppose à tout soutien au régime d’occupation en Côte d’Ivoire, et à toute acte visant à renforcer ce régime, ou à s’opposer à la lutte armée pour la Libération de la Côte d’Ivoire menée par le M.R.L.C et ses forces armées constituées par l’A.N.L.I (Armée Nationale de Libération Ivoirienne).

Le M.R.L.C se réserve la possibilité de riposter, par tous les moyens nécessaires, à tout soutien direct ou indirect au régime d’Occupation d’OUATTARA Alassane en Côte d’Ivoire.

M.R.L.C et A.N.L.I : La Théologie de la Résistance

Nation Ivoirienne, Debout ! En Résistance pacifique depuis 2002, contre la guerre d’invasion lancée contre notre pays par les forces du mal ouattariennes, nous avons perdu, nous avons tout perdu, et nous nous sommes égarés : la Guerre ne se gagne que par les Armes, la Liberté ne s’acquiert que par la Victoire !

Pour celles et ceux qui mettraient toute leur confiance en une croyance religieuse, et donc en Dieu et toute force divine ou spirituelle, sans pour autant agir eux-mêmes pour protéger leur Nation et leurs compatriotes, demandez-vous cette question : Au nom de quoi Dieu se battrait-il pour vous ?

Le camp du Bien n’est pas seulement celui des Victimes, mais surtout celui de ceux qui défendent les victimes. Si Dieu, que vous priez, est le Bien, c’est bien normal qu’il défende les victimes que vous êtes, mais ne savez-vous pas qu’il faut s’aider soi-même avant que le Ciel ne vous aide ? Dieu n’aide pas nécessairement les victimes de manière spontanée ou directe, la preuve étant qu’elles existent et souffrent, mais Dieu est disposé à porter secours aux victimes en assistant les anges et les hommes de Bien, c’est à dire les esprits, les hommes et les femmes prêts à défendre et protéger leurs frères d’humanité, leurs pays, afin que ceux-ci ne soient victimes du Mal.

Pour que Dieu aide la Côte d’Ivoire, les Ivoiriens doivent aider la Côte d’Ivoire, d’abord ! Il est inutile de tendre la main pour aider celui qui est suspendu dans le vide, si celui-ci ne fait aucun effort pour s’aider lui-même, en tendant la main vers son Salut. Agrippez votre salut, qui est dans la volonté de votre coeur, la force de vos bras, le canon de votre fusil ! Notre salut n’est pas dans la prière, l’expectation et la contemplation, notre salut est dans la planification, l’action, et la protection.

Notre seul Salut est dans la Résistance Armée organisée ! Notre seule absolution est dans la Lutte armée organisée pour la Libération de la Sainte Mère Patrie ! Ivoiriens, redressez-vous, armez-vous de courage, fortifiez-vous de la Foi en la Victoire par la Lutte ! Il n’y a de victoire que dans la lutte ! Le combat du bien contre le mal, qui se trame en Côte d’Ivoire, dans les cieux, est un combat, ou s’affrontent des combattants pour le Bien, et des combattants pour le Mal. Dieu est Dieu combattant, chef d’État major des Armées des Forces Divines Armées du Bien. Vous savez qui est le chef des Forces du Mal. Dans quel camp êtes-vous ? Refusez de se battre, c’est pire que mourir, c’est se rendre complice de la misère du Peuple, par désertion et non-assistance à personne en danger, c’est soutenir par inaction les bataillons de l’Enfer.

Dieu n’a ici point besoin de sanglots ni de couardes supplications, il vous rappelle votre devoir Sacré de Résistance aux Forces du Mal, il en appelle à votre discernement, la Liberté vous exhorte à prendre les armes pour défendre la Côte d’Ivoire, Dieu vous somme de vous battre au cœur de ses rangs. C’est la Guerre Sacrée, pour faire rayonner son Royaume terrestre et céleste !

N’est-il pas dit dans le Coran que l’amour de la Patrie égale l’amour de la Foi ? Si vous êtes Hommes de Foi, prouvez-le en prenant les armes, prouvez-le en reprenant votre destin et celui de la Mère Patrie entre vos mains. Prouvez que vous Êtes. Rejoignez le M.R.L.C. et ses forces armées, l’Armée Nationale de Libération Ivoirienne (A.N.L.I). Battons-nous Unis, pour vaincre les Forces du Mal coalisés contre notre Sainte Patrie !

M.R.L.C