YOUKWI

YOUKWI : LE BOL GÉNÉRAL OU DE L’UNI-SCHÉMA QUINQUEDIMENSIONNEL

YOUKWI : LE BOL GÉNÉRAL OU DE L’UNI-SCHÉMA QUINQUEDIMENSIONNEL

Une truie et ses six enfants jugés pour l’homicide d’un jeune garçon, JEHAN MARTIN, à Savigny sur Étang, Bourgone, FRANCE (1457)

Liens utiles de l’affaire de la truie tueuse de Savigny (1457) https://savigny.net/blog/files/tag-savigny.html

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Essai sur la Subjectivité de la Loi selon L’Espace, Le Temps, Le Fait et L’Identité,
Suivi de l’Introduction de l’Essai sur la Relativité de la Loi Selon les Cinq Dimensions de l’Existence Générale, à savoir l’Espace, le Temps, le Fait, l’Identité et la Représentation.

Présentation du PLAN GÉNÉRAL DE RELATIVITÉ ASTREINTE

La Loi avant tout est une affaire de respect.

Respect de la loi. Respect de ce que représente et exprime la loi.

C’est-à dire le respect de ce qui contient, de ce en quoi nous sommes contenus.

La loi est donc une intimation au respect de la vie, la vie étant la chose première et fondamentale, ultime, dans laquelle nous sommes compris.

Or seuls nous ne sommes, dans le vide nous ne sommes et néant nous n’avons jamais été, et ne serons jamais pour qui connaît les lois les plus élémentaires de la science.

Rien ne se perd, rien ne crée, tout se transforme, savons-nous.

La loi est donc absolue. Elle a valeur de loi pour la vie passée, la vie présente et la vie future.

Un crime n’en est pas moins crime et n’en sera moins crime selon le positionnement dans le fait-temps qu’il occupe par rapport au fonctionnement présent de notre esprit.

Un crime est-il néanmoins toujours crime ?

N’est-il pas de crime qui n’ait été autrefois épargné du qualificatif de crime ?

N’est-il pas de crime dans un entendement antérieur qui nous apparaisse aujourd’hui, ou alors innocent, légal ?

N’est-il pas de crime dans un entendement antérieur qui nous apparaisse aujourd’hui tout simplement comme non-méritant sanction (entendu ici judiciaire), malgré, précisons, que l’acte puisse heurter notre personnelle sensibilité et morale conception ?

Serait-elle donc la loi, absolue, relativisée par l’époque de son élaboration et application ?

Nous observons également qu’il existe plusieurs lois locales, de telle sorte qu’il ne puisse être dit que la loi est universelle, de telle sorte qu’il n’en puisse exister une qui traduise le général caractère de la loi.

La loi est donc toujours particulière, temporellement et spatialement.

Argument A : L’Espagnol de 1586 et l’Espagnol de 2019 ne vivent pas sous la même loi.

Argument B : L’Espagnol de 2019 et le Népalais de 2019 ne vivent pas sous la même loi.

L’Argument A introduit donc la notion de subjectivité temporelle de la loi.

L’Argument B introduit la notion de subjectivité spatiale de la loi.

Nous voyons donc bien que la loi n’est pas identique, identiquement élaborée, identiquement appliquée, donc identiquement vécue, selon où l’on est, et quand l’on est.

Pourtant, où nous sommes (notre localisation dans l’espace) et quand nous sommes (notre localisation dans le temps) ce ne sont les moindres des données, en ce qu’elles déterminent notre positionnement dans l’espace-temps.

Tout comme la loi elle-même, son application et son bien-fondé sont de capitale importance.

Aussi pouvons-nous être curieux de voir que la loi change selon la localisation dans l’espace-temps.

L’on pourrait faire imager le présent fait en représentant une feuille blanche qui verrait les points qui y sont inscrits obéir à différentes lois géométriques selon l’endroit de la feuille ou ils seraient dessinés.

Fichtre ! Si tel est le cas, alors il n’est point de logique dans la loi.

La loi, dirons-nous, n’est logique que pour le point particulier pour lequel la dite loi est applicable.

Quelle(s) loi(s) géométrique(s), parmi toutes les lois géométriques auxquelles respectivement obéissent chacun des points de la feuille, peut ou peuvent être dite(s) meilleures, plus justes qu’une autre, ou que les autres ?

Quelle(s) loi(s), parmi toutes les lois géométriques auxquelles respectivement obéissent chacun des points de la feuille, peut devenir la loi géométrique d’application générale, les lois géométriques d’application générale de tous les points compris sur la feuille ?

Nous exposons ici d’autres questions, interrogeons les fondements particuliers des lois toutes dites particulières car subjectives comme nous l’avons-vu dans le temps et l’espace, et partant les qualités propres de toute loi particulière pour éprouver les caractéristiques qui pourrait la rendre générale, et donc « supérieure » à toute autre loi particulière.

En somme, nous essayons de déterminer quelle loi, subjective selon la localisation de ceux qui l’ont établi dans le schéma espace-temps, est en soi appelée à être universelle loi, ayant sur toute particularité empire, que celle-ci soit juridique, légale ou règlementaire.

Comme expliqué ci-avant, la localisation dans le schéma espace-temps de tout point peut être par les suivants questionnements déterminée :

« Où est le point ? Quand est le point ? »

La question « quand est le point ? » pouvant être traduite par la question « Où est le point dans le Temps ? ».

La question « Où est le point ? », peut-t-elle être, elle, traduite par la question « Quand est le Point dans l’Espace ? » ?

Les deux questions ne sont-ils qu’une seule ET MÊME question dont les termes auraient simplement été inversés ?

À dire vrai, oui. Aussi étrange que sembler cela puisse, l’on peut traduire la question « Quand est le Point dans l’Espace ? » par la question « où est le point ? ».

En effet, pour qu’un point soit dans l’espace localisé, il faut qu’il soit dans le temps localisé, nécessairement, y compris si sa localisation est « permanente », éternelle etc.

Même si le point a toujours été là, il au moins été quelque part, là, à un temps T, à savoir au moins maintenant, et l’éternité de sa présence n’est autre que l’expression par l’illimitation de sa présence temporelle à tel endroit, à savoir précisément ici.

Le point pour être dans l’espace doit être dans le temps, et l’on ne peut déterminer la position d’un point dans l’espace, c’est à dire sa localisation à un point de l’espace, sans préciser « quand » il a été présent au dit espace, c’est à dire présent dans l’espace.

« Quand était-il ? » revient à dire « Où et Quand était-il ? » puisque l’on ne peut avoir été en ayant été nulle part.

« Où était-il ? » évidemment entendu comme « ou était-il en un instant ou durant une période ? » revient à dire « Où était-il à tel moment ? » ou « Où était-il à telle époque ? » puisque l’on ne peut être quelque part que si notre présence à tel endroit n’a été à quelque moment; tout comme demander « où est-il ? » ne peut rien signifier d’autre que « où est-il en ce moment, maintenant ? ».

Ainsi, dire « quand ? », c’est dire « quand?/où ? », et dire « où ? », c’est dire où ?/quand ? ».

Illustrons brièvement le présent propos :

Si je vous dis : « la Manifestation des Retraités Mécontents aura lieu le 05 décembre 2019 », aurais-je tout dit ?

La Manifestation des Retraités Mécontents (en voilà une appellation d’origine non protégé qui ne gagnerait à l’être de par le douteux jugement impliqué par son énoncé !), dirigée par Les Retraités Mécontents (LRM) contre la politique du gouvernement LRM aura certes lieu le 05 décembre 2019 (si elle a lieu) et non pas le 4 décembre, ni le 6 décembre ou le 28 janvier (sauf si la signalée démonstration comme disent nos amis anglo-saxons prend de l’avance et où se poursuit dans le temps.)

Mais la date du 05 décembre est-elle la seule localisation de l’annoncée Manifestation des Retraités Mécontents ?

Non. Imaginons pour rire que la manifestation en question ait lieu le 05 décembre, juste le 05 décembre, c’est à dire à un point p-t du temps, mais à aucun point p-e de l’espace.

Alors ?

Alors la manifestation n’aura lieu car elle n’aura lieu nulle part, ce qui rend le moment où il devait avoir lieu vierge de toute action.

Imaginons encore que la manifestation ait lieu, disons, en France.

Imaginons, oui, imaginons qu’il soit établi que la Manifestation aura lieu en France.

Dire que la Manifestation aura lieu en France, précisons dans la ville de France vf1, la ville de France vf2, la ville de France vf3, la ville de France vf4, la ville de France vf5, la ville de France vf6, la ville de France vf7, la ville de France vf8 et la ville de France vf9, ainsi que dans les villes vf1.1, vf1.2, vf1.3 et et cætera est-ce tout dire ?

Si le « moment » c’est-à-dire la localisation temporelle de toutes les manifestations antérieurement évoquées n’est défini, auront-elles les dites manifestations formant ensemble « La Manifestation « générale »/ »Nationale des Retraités en Colère » lieu ?

Si elles n’ont lieu à aucun moment, elles n’ont tout simplement pas lieu et n’auront jamais lieu.

Ainsi doit-on dire qu’un fait a eu lieu (car il s’est déroulé quelque part) mais aussi qu’un fait a eu instant ou eu moment (car il s’est déroulé en quelque instant, en quelque moment).

Cela n’est en réalité qu’une confirmation du principe de l’Indivisibilité Espace-Temps que nous expliquerons en partie par les postulats ci-après :

Ce qui est en un lieu est en un moment.

Ce qui est en un moment est en un lieu.

Nécessairement.

Toutefois, nous, hommes, sur qui la loi s’applique, ne sommes-nous que des points fixes dans l’espace, mêmes agissants et effectuant les mêmes actes, indéterminés en nous-mêmes, et donc logiquement par rapport aux autres ?

Non. Nous sommes tous faits déterminés par quatre LOCALISATIONS PERSONNELLES qu’entend dévoiler les quatre questions de localisations personnelles de tout fait :

  • (Où ?) Où est-ce ?
  • (Quand ?) Quand est-ce ?
  • (Qui/Quoi ?) Qui est-ce ?/Qu’est-ce que c’est ?
  • (Quel fait ?) Que fait-il ?

La question « Où ? » relève de la détermination de la position de toute chose dans le schéma spatial.

La question « Quand ? » relève de la détermination de la position de toute chose dans le schéma temporel.

La question « Qui/Quoi ? » relève de la détermination de la qualité de toute chose dans le schéma identitaire.

La question « Quel fait ? » relève de la position et de la qualité, voire de la quantité de toute chose dans le schéma factuel.

Nous préciserons ce que nous entendons par position, schéma, schémas identitaire et factuelle et la différence entre position, qualité et quantité, ainsi que la spécificité de la définition de tel terme par son association avec tel autre précis terme.

Ainsi nous poserons les bases de la compréhension complète de ce que c’est que LA LOCALISATION PERSONNELLE, définition qui s’applique à tous et détermine tout ce qui est dans la vie en soi.

Désormais que nous avons assuré que nous entrerons plus en détail dans le plan explicatif que nous avons exposé, afin de l’expliciter et démontrer sa générale validité, désormais que nous avons présenté les quatre schémas généraux de l’existence (les schémas spatial, temporel, identitaire et factuel), nous pouvons reprendre notre didactique cheminement juridique en se posant la question suivante :

Puisqu’il est indéniable et constaté que la loi est subjective selon le contexte spatial et temporel de l’individu, peut-il se faire que la loi puisse également être subjective selon la place identitaire et factuelle de l’individu, c’est-à-dire selon ce qu’il est (introduisant un cinquième schéma de localisation personnelle; le schéma social qui s’attache à ce que la réalité r représente), selon qui il est et ce qu’il fait ?

Nous introduirons par le présent examen la notion de position personnelle, qui est la somme de la place de toute chose dans les schéma spatial et temporel, puis la notion de situation personnelle, qui est la somme de la place de toute chose dans les schémas identitaire, factuel et social.

Aussi, en étudiant la potentielle relativité de la loi en ses cinq dimensions inhérente à toute existence aurons-nous un panorama quinquedimensionnel de la légale subjectivité.

La légale subjectivité sera donc décortiqué dans l’Essai sur la Relativité de la Loi Selon les Cinq Dimensions de l’Existence Générale, à savoir l’Espace, le Temps, le Fait, l’Identité et la Représentation.

La contribution susnommée sera le fer de lance de l’œuvre « Quinquedimensionnelle Relativité », qui, nous préférons être honnêtes dès les prémisses de notre recherche, ne porterait peut être pas bien son nom, si et seulement si il apparaissait que l’identité d’une réalité r1 et la représentation de la dite réalité r1 n’était qu’une seule et même réalité, à savoir la réalité r1 même, mais dénuée de toute position personnelle et de toute participation factuelle, c’est à dire de toute présence dans le schéma factuel, ce qui nous ramènerait alors à la quadridimensionnalité de toute réalité présente en l’espace, temps, fait et représentation- telle que présentée dans le présent article, DE LA QUADRIDIMENSIONNELLE LÉGALE SUBJECTIVITÉ.

Mais encore, si nous sommes précis et réduisons la quinquedimensionnalité de toute chose (qui est donc en espace, temps, fait, identité et représentation) à une quadridimensionnalité de la dite chose de par l’acte de fusionner l’identité de l’objet et la représentation de l’objet identifié, ne pourrait-on encore être exact en réduisant la quadridimensionnalité nouvelle conférée à toute chose (qui est donc maintenant en l’espace, le temps, le fait et l’identité-représentation fusionné) à une tridimensionnalité « espace-temps, fait, identité-représentation » due à l’identification entre le temps et l’espace en le présent développement opérée par le biais du principe d’Indivisibilité Espace-Temps ?

Consacrant une étude bienvenue à nos productions consacrées à la nature du fait et à son indissociabilité avec l’Espace-Temps (toute chose est un fait s’exprimant dans l’Espace-Temps qui est lui-même un fait), nous pourrions réduire la Tridimensionnalité de toute chose à une du-dimensionnalité basée sur le fait-temps-espace et l’identité-représentation.

La représentation étant la perception objective (puisque le fait apparaît dans le fait « général ») et subjective (puisque le dit fait est potentiellement perceptible par une réalité particulière) de l’identité et de tout fait, il apparaît que tout fait est identité et représentation du fait même, tout comme tout fait est et espace et temps, ainsi que tout temps et espace est fait, identifié et représenté.

Serait-il possible qu’il n’existe qu’une seule dimension unitaire; le fait-temps-espace-identité-représentation, dans lequel tous les faits évoluent ?

Serait-il véridique qu’il existe une dimension unitaire qui contient tous les faits, et dont tous les faits ne sont la réplique, mais des éléments s’y inscrivant en en reprenant les attributs, à savoir l’uni-dimensionnalité issu de la nécessaire conjonction des cinq dimensions générales que voici; le temps, l’espace, le fait, l’identité et la représentation, ce en leur existence propre même ?

Néanmoins, vous ne pourrez lire le présent cahier en en étant pleinement satisfait, puisque alors qu’il répond à l’épineuse question de la dimensionnalité véritable de ce qui est, il semble ouvrir une boîte de Pandore sans l’air d’y toucher, contredisant tout ce qui pourrait définitivement fermer la querelle des deux classes générales et universelles des identités, et partant, résoudre la Question.

En effet, nous avons pour former l’irréductible Uni-dimensionnalité de Tout fusionné les cinq dimensions générales que constituent dans le désordre l’espace, le fait, la représentation, l’identité et le fait, mais nous avons effectué la dite fusion selon une logique et un souci d’ordre, non par obligation ou nécessité factuelle, mais plutôt pour plus de facilité de compréhension de la part de tout ce qui pourrait tenir le présent ouvrage entre leurs mains ou le lire de quelque manière que ce soit.

En effet, nous aurions bien pu indifféremment fusionner les cinq générales dimensions entre elles selon tout autre ordre, cela n’aurait en rien contrevenu à la réalité de la fusionnabilité des cinq générales dimensions entre elles, qui ultimement toutes ensemble fusionnables et fusionnés, uniquement entre elles, ne pourraient souffrir d’avoir été fusionnés selon les différents ordres des étapes de fusion entre elles que l’on aurait pu leur faire subir intellectuellement à des fins de compréhension et de didactie.

Les successives fusions entre les cinq différentes dimensions générales, que nous avons ici exécutées avec un ordre et une manière particulière pour en clarifier idéalement les mécanismes et l’aboutissement, les successives fusions plus haut opérées pouvons-nous affirmer ne sont que des fusions pratiques effectuées par l’entendement pour l’entendement afin, en les expérimentant en la fondamentale justesse de l’opération même, parvenir, par l’accumulation progressive des fusions des dites cinq générales dimensions entre elles, arriver plus aisément à une atteinte de la véritable dimension de la Dimension Générale, qui une se forme indépendamment de l’ordre d’apport effectué par la réflexion des cinq dimensions qui le composent, puisque en réalité il n’est d’ordre d’apparition, ni aucune prévalence ou antériorité de l’une des cinq dimensions générales sur l’autre; elles sont simultanées et ainsi elles sont et apparaissent, ce n’est que le cheminement de l’esprit qui peut aller de l’un à l’autre selon un cheminement qui puisque inhéremment inscrit dans le fait-espace-temps-identité-représentation souffre les mouvements, projections, moments, expériences et projections que lui intime sa condition.

Les cinq dimensions générales sont eux mêmes tous en même temps, tant et si bien que les fusionner selon diverses ordres qui les séparant d’emblée les réunirait, serait comme fusionné dans un imaginaire fertile et accommodant cinq clones identiques en fusionnant tel clone avec tel autre clone pour parvenir à un clone unique, issu de leurs successives assemblages, et-ce seulement par convenance en ce qui concerne l’ordre des différentes fusions qui auraient été opérées pour former le clone ultime, puisque en réalité n’importe quelle autre ordre de fusions des cinq clones auraient été possibles pour former l’exacte et même clone ultime, dont la formation et nature ne dépend pas de la manière dont il a été fait mais de ce avec quoi il a été fait.

Précisons d’ailleurs que l’Uni-Dimension, dit le BOL GÉNÉRAL – que nous dirons donc général puisqu’il n’est rien en dehors de lui comme nous le verrons et que tout ce qui est et n’est pas est lui et en lui et il est eux tous – est déjà et comme souligné ci-dessus, pleinement et instantanément tout ce qu’il est, entendu la fusion complète, la complète unité des cinq dimensions générales temps, espace, fait, identité, représentation.

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Ce qui n’est pas serait-il identité non représenté ?

Ce qui est serait-il identité représenté ?

Nous verrons également que chaque réalité ou irréalité, a-réalité, non-réalité a un type : type de fait, type d’espace-temps-fait, type d’identité, type de représentation, pour résumé, les schéma factuel, spatial, temporel, identitaire et représentationnel sont divisés en type ou espèce.

Les différents types/ espèces appartiennent à la Dimension/au Schéma.

Nous avons énuméré au moins cinq schémas/dimensions : le Fait, le Temps, l’Espace, l’Identité, la Représentation.

Chaque schéma possède ses types, ses espèces.

Il est-t-il donc des types de temps, des types de fait, des types d’identité, des types de représentation/de représenté (est-ce la même chose la représentation et le représenté) ?

La représentation va d’un objet vers un objet qui est au moins identité, si l’objet représenté n’est pas identité, qu’est-t-il ?

Et chaque type, espèce d’un schéma comprend des réalités appartenant à un type /une espèce elle-même comprise dans un des schémas, donc dans le schéma général/la dimension général (Somme des cinq schémas/ des cinq dimensions .

Les types et espèces intra-schématiques, intra-dimensionnelles existent-ils vraiment ? Ou ne sont-ce que des représentations, précisons des représentations de non-identité, ou des représentations d’identité non représentées ?

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Excellente perspective que celle-ci ! Passionnante planification que voici !

Anticipons dès à présent le questionnement soulevé par le dénouement précédent paragraphe en nous interrogeant :

Notre identité est-elle même que notre place dans le schéma social ?

En des termes plus concis, notre identité est-elle même que notre représentation ?

Pour ce faire, il faudrait déterminé ce que c’est que l’identité, et ce que veut dire « représenter », ou « être représenté ».

Par qui sommes nous représenté ?

Sommes-nous les représentants de notre identité ? Notre identité n’est-elle qu’une représentation ?

Toute chose n’est-elle que perceptible par sa représentation dans le schéma de vie général, à savoir par son apparition dans la dimension spatio-temporello-factuelle ?

En d’autres termes, notre identité-représentation ne serait-t-elle que notre expression-démonstration dans l’Existence générale (l’Existence générale étant constituée de l’internéité et de l’externéité générales, l’internéité générale étant la somme de toutes les internéités particulières ainsi que ce qui les « englobe et contient », comme l’externéité générale est la somme de toutes les externéités particulières) ?

Si tel est le cas, cela voudrait-il dire qu’ultimement, notre identité est extérience à l’Existence générale (entendez qu’elle y est extérieure mais (s’)y expérimente sa propre existence), mais qu’elle y apparaît, s’y introduisant ou y étant introduit, de telle sorte que sa détermination extérieure à elle, et qui lui donne donc son identité dans l’Existence générale est la Contribution qu’elle y apporte et l’importance, ici au sens de la représentation, qui lui (y) est conférée par d’autres faits, d’autres identités, qui eux-mêmes, comme tout fait, sont isolément extérieurs au Fait/ à l’Existence générale, mais y pénètrent et y prennent leur place par les faits, l’existence qu’ils y posent ainsi que donc, puisque le fait ne peut ignorer le fait, par la Relation de Perception, de Connaissance et de Reconnaissance qui fait échanger entre eux tous les faits, en absolu, dans le Plan de Relation Générale, qui comprenant des faits particuliers ayant chacun place et perspective particulière pour ne pas dire singulière -puisque nous verrons que les réalités compris dans la même ou les mêmes classes de réalités particulières obéissent aux mêmes lois particulières, particulières mais de nature générales puisque générales et universelles en leur classe de réalités propre, fait du Plan de relation générale, un Plan Général de Relativité Astreinte, plan de relativité astreinte qui introduit par nos soins ne manquera pas d’en subir un examen rigoureux qui, nous en sommes conscients, repoussera sans doute, les voiles de l’inconnaissance sur les fondements de ce qui est, qui ne peut manqué d’apparaître quelque part, en un instant, d’être quelque chose, pour dire vrai donc lui-même, de contribuer à faire ou au moins à un fait, à savoir son existence, qui habitant une localisation personnelle dans l’espace-temps, comme dans le schéma identitaire et représentationnel (nous dirons schéma social en ce qui concerne les interactions de représentations au sein d’un groupe d’individus) fait déjà quelque chose puisque ainsi il se fait (être) et représenter, par lui-même et par ce à quoi il se présente ?

Nous serons pareillement amener à voir s’il existe une Loi Générale sur le Temps et l’Espace, et le Fait, et l’Identité et la Représentation, ce qui ne pourra se faire sans une étude minutieuse et appliquée des valides, comme invalides ou discutées lois qui en la matière, se peuvent mouvoir ET INTERAGIR dans le Youkwi général, universel réceptacle de toutes les expressions de l’entendement appliqué.

GNADOU ATHYTHEAUD, Hénalogue, Hénalogicien, Youkwiste

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