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USA : LIBERTÉ, SÉCURITÉ, PROPRIÉTÉ _ À l’Arme Citoyen ?

USA : LIBERTÉ, SÉCURITÉ, PROPRIÉTÉ _ À l’Arme Citoyen ?

POUR L’ÉTABLISSEMENT PAR LES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE D’UN DOSSIER ANTICIPATIONNEL DE POTENTIALITÉ CRIMINELLE (D.A.P.C); formé pour chaque individu américain ou individu présent sur le sol américain, à la détention d’au moins une arme à feu candidat, ou déjà d’au moins une arme à feu détenteur.

Les garanties de sécurité de l’arme à feu légalement détenue Le Dossier Anticipationnel de Potentialité Criminelle doit également prendre en compte; donc s’enquérir sur l’environnement et l’entourage immédiats de l’arme et de son possesseur.

Ce afin d’empêcher qu’un proche ou que quiconque ayant pu se saisir de l’arme à feu du possesseur légal de la dite arme puisse également faire illégalement usage de l’arme à feu, sans que le Dossier Anticipationel de Potentialité Criminelle (D.A.P.C) du détenteur légal de l’arme n’ait pris en compte les possibilités d’usage de l’arme à feu par une personne tiers, hors du cadre légal de sécurité fixé par la Réglementation du Dossier de Potentialité Criminelle.

Il est du ressort des Autorités locales et nationales de déterminer à quels niveaux seraient constitués les Dossiers de Potentialité Criminelle d’un individu selon son lieu de résidence, sa situation personnelle spécifique ou sa profession.

Néanmoins, il est vital et nécessaire pour la stabilité pérenne des ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE qu’un tel Dossier Anticipationnel pour chaque détenteur (aspirant) soit constitué.

Il faut unifier la connaissance psychologique de l’individu et ses antécédents ou habitudes comportementales répréhensibles, dangereux (dont pour lui-même) et criminelles, pour que tout cela forme son Dossier de Potentialité Criminelle.

Le Dossier Anticipationnel de Potentialité Criminelle de chaque individu ne sera pas instruit comme celui d’un individu potentiellement normal dont il faudrait découvrir les failles.

Mais comme celui d’un individu potentiellement instable dont il faudrait s’assurer que les différents facteurs psychologiques et comportementales puisse néanmoins, malgré qu’il présente des spécificités qui sont celles inhérents à tout individu, permettre à l’Administration en charge du contrôle des armes de lui octroyer le droit de disposer d’une arme à feu.

Le contrôle s’effectue sur les personnes physiques en mesure de disposer d’une arme, de manière anticipationnelle, préventive, présente et permanente.

En effet, la question qui se pose est : si tout les Américains, ou du moins tous les Américains vivant dans un État autorisant la vente et le port d’arme, ont le droit d’avoir une arme à la main sous certaines conditions, quels sont les Américains dont il faut raisonnablement se dire que malgré pour eux, l’arme soit, et à raison, plus rassurante dans leur main que dans celle d’autrui, sa détention et son port ne doivent cependant leur être permis, sauf sous surveillance et sous certaines conditions de sécurité nécessaire, car l’arme à feu en leur main n’est pas rassurante ?

C’est à la question posée çi-avant que doit répondre la constitution et le suivi constant du Dossier de Potentialité Criminelle.

Le Dossier de Potentialité Criminelle, qui réunit sur tout candidat à la détention d’une arme à feu aux États-Unis, l’établissement d’un profil sanitaire (la santé influant sur tout le reste, plus que la médecine actuelle ne peut le discerner en ses recherches et présentes connaissances) psychologique, comportemental et criminel (ou plutôt dans la plupart des cas « criminel potentiel », puisque tous les Américains ne sont des criminels « manifestes ou manifestés, ce qui est d’ailleurs le cas des criminels d’El Paso et Dayton qui n’avaient pas selon la formule consacré « d’antécédents criminels »).

Il s’agit donc de déterminer quelles peuvent être, excusez encore le mauvais du terme u choix suivant, les chances qu’un citoyen américain, comme un individu résidant ou de passage sur le sol américain, pour qui la détention de l’arme à feu est en processus de validation ou a été octroyé, puisse s’en servir en dehors du cadre légal, et précisément pour attenter à la quiétude, la sécurité et l’intégrité d’autrui, ou de la Nation.

La rédaction de K1FO se joint à la souffrance des familles endeuillées par les fusillades qui ont eu lieu aux États-Unis, et condamne fermement toute idéologie, déviance ou prétexte servant à assouvir les désirs de destruction, de puissance et de considération, à justifier les illégitimes frustrations de personnages de triste valeur.

Plus que tout, c’est l’union, la raison et l’humanité qui doit primer. La Maison AMERICA doit être bâti avec tous les matériaux que les forces de destruction intérieures n’auront jamais, et à cet égard entendent effondrer.

Néanmoins, n’oublions pas que la destruction n’est que l’écho du cri muet de la subversion.

Quelle est donc la subversion qui peut pousser un citoyen américain à en tuer d’autres ?

La normalisation de ce qui ne l’est pas. Et l’acceptation de l’ensemble anormé. Il faut savoir détruire en son esprit ce qui est anormal, or il apparaît que l’irréel, le monstrueux, l’abandon devient désormais la norme.

En ce qui concerne le lâche d’El Paso qu’il n’est point raison de nommer, il semble qu’il ne soit nécessaire d’appréhender les mécanismes cadrant son acte facile, gratuit, révoltant :

Il s’agit du complexe mental qui voudrait que la Nation Américaine ne soit, unie, une et indivisible.

Il est le pire des complexes, auxquels même les défenseurs de leur cercle de concernation le plus proche, à savoir la famille, ne pourrait souscrire, puisque la famille est le premier des États, et qu’induire la division en l’État ou de ses citoyens, de ses territoires, c’est induire une division conditionnelle indiscutable du noyau familial même.

Il serait intéressant pour les enquêteurs de s’intéresser au noyau familial des individus coupables de la tuerie, pour savoir qu’il se sont en quelque sorte dissociés de leur noyau familial, ou qu’une affiliation en les faits de l’élément à la lignée n’est des plus affirmée, de telle sorte qu’il serait même possible pour l’un des tueurs, dont la postérité ne doit rien retenir, qu’il a poussé la déliquescence de la concernation jusqu’à tuer sa propre sœur cadette.

En quelques mots, de la résistance de l’union la plus proche -qui est celle avec ses proches et envers soi-même, ce dont ne dispose respectivement les afamiliaux et les schizophrènes- dépend l’union la plus large, celle de la Patrie.

Les politiques attaquant la solidité, la réalité de l’union première sont-elles donc logiquement opposé à la solidité, la réalité de l’union nationale, et à l’idée même d’union ?

Cela est un autre débat.

Cependant, on ne peut donc en Amérique se déclarer patriotes sans à la fois être sur de l’unicité de sa destinée, de la prédominance du cercle familial, et partant, de l’indivisibilité de la construction américaine, elle aussi unique dans l’Histoire, et en son Histoire.

Et pourtant voyons-nous qu’il est un sujet de discorde ravivé par les fusillades -pouvons-nous pour l’un des actes au moins utilisé le terme d’attentat ou alors ce dernier est-il réservé à des massacres d’envergure politique plus forte ?- récemment perpétrées sur le sol américain :

Celui de la surveillance du commerce et de la disponibilité des armes, ou d’un certain type d’armes, à savoir ici les armes de guerre.

L’arme utilisé à El Paso par l’individu en cause était un WASR10, fusil d’assault bien connue, dérivé de sa compatriote russe, la fameuse kalachnikov.

Cela aurait pu aussi bien être un pistolet ou un couteau de cuisine, ou même une bombe certie de lames de rasoirs comme dans le cas l’attentat de Boston.

Ce qui marque, c’est la facilité avec laquelle le coupable a pu commettre ses exactions. Mais ce qui reste, ce sont les morts, innocents et probablement jamais véritablement vengés si l’insinuation de la division qui a favorisé la formation de pensées -si ainsi pouvant nous les désigner- et ultimement la commission de tels actes continue de polluer l’atmosphère civile, politique et intellectuelle actuelle.

En effet, il n’a sans doute échappé à personne qu’il s’en est fallu de peu pour que la responsabilité du couard assault d’El Paso soit personnellement imputé au Président des États-Unis Donald Trump.

Cela ne peut être décrié en le contexte actuelle de campagne pour la présidentielle de 2020. De Bonne guerre cela est.

Imputé par qui ?

C’est là que la division des esprits s’avère pernicieuse. Forcément donc, sans même chercher à chercher justement, il ne sera malaisé pour vous lecteurs, d’imaginer que de tels attaques émanent d’intérêts politiques, politisant ainsi un débat qui n’en est pas un.

C’est de la vie de plus de trois cent êtres humains dont nous parlons.

La solution doit être transpartisane, ou dirais-je selon le mot du Président Américain lui-même « bipartisane » eu égard à la structure politique américaine trustée par les « familles » Républicaines » et Démocrates.

Et sincère, efficace elle doit être; c’est à dire directement traiter les lacunes du système d’organisation légale de la vente d’armes aux États-Unis.

L’Amérique est une Terre ou l’Utopie est devenue réalité. Ce qui induit que l’utopie est réelle, qu’il ne peut donc y avoir -et c’est cela que celui qui n’a pas souffert dans le Tennessee ne peut accepter ou comprendre- si celle-ci n’est attaché à la réalité.

En l’occurrence, et le bon sens en convient, à la réalité américaine, que nous expliquerons en son fondement et ses horizons au long de notre examen de la question du contrôle, non des armes, mais plutôt, réalité américaine oblige, des détenteurs d’armes.

Outre que l’opinion puisse être choquée d’une telle récupération alors même que les familles sont dans le deuil le plus douloureux, le plus indicible, inimaginable qui soit, il est utile de rappeler que l’ennemi doit être déterminé pour être combattu.

Quel est donc l’ennemi ici ?

Le Président TRUMP a, en conférence de presse confirmé sa pensée, qui au cours de la semaine, a manqué de lui être retiré de son crédit : l’ennemi, qui s’est manifesté sous la forme d’une quelconque personne à El Paso, est le racisme, le suprématisme, la haine, la bigoterie (le suprématisme pouvant dérivé de questions religieuses, mystiques ou spirituelles) tout simplement.

Et ce, sous toutes ses formes. Il n’y a bien entendu pas de raison qu’un suprématisme soit plus blâmé, ou plutôt que d’autres suprématismes ne soit pas aussi contenu, surveillé et réprimé en leurs délictueux actes, sous prétexte qu’il ne se serait manifesté dans un terme temporel resserré par rapport au moment actuel.

Tout est latent. Tout est là. Il est de la responsabilité des autorités de prévenir les infractions, de les constater et d’en punir les auteurs. Cela relève de la criminologie et du law enforcement.

Toutefois, il faut établir un distingo entre le criminel et l’instable. Idéalement, il serait sain de ne point séparer le profil psychologique du dossier criminel dans le traitement des affaires. Mais puisque il en est en nos systèmes actuels ainsi -ne sépare t’on le criminel du fou, ne sépare t’on auteurs des attaques tels que celles traitées en le présent article entre terroristes, forcenés, et criminels de droit commun ayant agi pour des raisons, veuillez excusez l’indélicatesse du terme, d’ordre « commune » (vengeance, règlement de compte, crimes passionnels) ?- que faire ?

Il faut unifier la connaissance psychologique de l’individu et ses antécédents ou habitudes comportementales répréhensibles, dangereux (dont pour lui-même) et criminelles, pour que tout cela forme son Dossier de Potentialité Criminelle.

Nous n’ignorons pas qu’une telle mesure puisse choquer.

En effet, le Dossier de Potentialité Criminelle de chaque individu ne sera pas instruit comme celui d’un individu potentiellement normal dont il faudrait découvrir les failles.

Mais comme celui d’un individu potentiellement instable dont il faudrait s’assurer que les différents facteurs psychologiques et comportementales puisse néanmoins, malgré qu’il présente des spécificités qui sont celles inhérents à tout individu, permettre à l’Administration en charge du contrôle des armes de lui octroyer le droit de disposer d’une arme à feu.

Les mauvaises habitudes créent de mauvaises situations, dit-on. Il est donc tout à fait normal, que si restriction des armes il n’y a, ce qui est la voie la plus envisageable eu égard à l’Histoire et l’âme des États-Unis d’Amérique, ou plus que dans toute Nation, le Pays a été construit par les femmes et les hommes du peuple, les familles et les entreprises; plus que par une construction gouvernementale qui n’a pour mission que d’encadrer et protéger la citoyen américain, mais jamais contre sa propre liberté et dans une possibilité de menace pour ce qui est sa propriété, le contrôle s’effectue sur les personnes physiques en mesure de disposer d’une arme, de manière anticipationnelle, préventive, présente et permanente.

Ainsi, en l’absolu, l’Américain, qui a fait Amérique de ses propres mains ne peut, et ne devrait faire confiance qu’à ses propres mains, ne pourra certainement pas, malgré qu’une fusillade endeuille le pays tout les premiers lundi du mois, se (faire) convaincre que l’arme dans la main de l’autre est plus rassurante que celle dans la sienne -ce qui au regard de l’Histoire de la construction des États-Unis est un argument qu’un esprit honnête peut entendre.

Malgré que l’autre soit officier de police, agent fédéral ou militaire.

Alors, la question qui se pose est : si tout les Américains, ou du moins tous les Américains vivant dans un État autorisant la vente et le port d’arme, ont le droit d’avoir une arme à la main sous certaines conditions, quels sont les Américains dont il faut raisonnablement se dire que malgré pour eux, l’arme soit, et à raison, plus rassurante dans leur main que dans celle d’autrui, sa détention et son port ne doivent cependant leur être permis, sauf sous surveillance et sous certaines conditions de sécurité nécessaire, car l’arme à feu en leur main n’est pas rassurante ?

C’est à la question posée çi-avant que doit répondre la constitution et le suivi constant du Dossier de Potentialité Criminelle.

Le Dossier de Potentialité Criminelle, qui réunit sur tout candidat à la détention d’une arme à feu aux États-Unis, l’établissement d’un profil sanitaire (la santé influant sur tout le reste, plus que la médecine actuelle ne peut le discerner en ses recherches et présentes connaissances) psychologique, comportemental et criminel (ou plutôt dans la plupart des cas « criminel potentiel », puisque tous les Américains ne sont des criminels « manifestes ou manifestés, ce qui est d’ailleurs le cas des criminels d’El Paso et Dayton qui n’avaient pas selon la formule consacré « d’antécédents criminels »).

Il s’agit donc de déterminer quelles peuvent être, excusez encore le mauvais du terme u choix suivant, les chances qu’un citoyen américain, comme un individu résidant ou de passage sur le sol américain, pour qui la détention de l’arme à feu est en processus de validation ou a été octroyé, puisse s’en servir en dehors du cadre légal, et précisément pour attenter à la quiétude, la sécurité et l’intégrité d’autrui, ou de la Nation.

Il est d’ailleurs pinçant de remarquer que l’idée d’un tel dossier réunissant santé mentale, équilibre comportemental et profil criminogène sera sans doute conspué par une partie auto-désignée de l’opinion et/ ou de la classe politique, ce qui au même revient.

Comment ça, vous voulez nous fliquer maintenant ? Mais ne faites pas ça voyons, ce ne sont pas les hommes qui sont potentiellement dangereux, ce sont les armes ? Une arme, peut importe qui la tient dans les mains n’est-elle pas dangereuse ? N’est-ce pas d’ailleurs là son utilité, sa fonction première ? : Inspirer la crainte et l’effroi, le respect par le danger qu’il représente, de par la simple grâce de sa présence à portée de main de tout individu ?

Et ce danger, n’est-ce pas ultimement le danger de mort ?

Comment pouvez-vous prétendre défendre la vie et préserver vos concitoyens de la subversion, alors même que vous porter la mort à votre ceinture, et le poison de la division en votre politique, puisque alors l’Amérique, par votre faute, sera divisée en deux camps :

-le camp de ceux qui ont une arme -en permanence ou à un instant T, et qui peuvent donc s’en servir pour de malfaisants desseins-

-et le camp de ceux qui n’ont en pas -de manière permanente ou occasionnelle- ou qui ne peuvent en avoir de par leur santé, leur âge, ou d’autres motifs, et qui peuvent donc à un instant t devenir les victimes des malfaisants desseins des personnes de la première catégorie décrite, celles une arme détenant ?

La réelle question est-là : pouvons-nous accepter, qu’au nom du principe de liberté et de droit à l’autodétermination de sa sûreté, sans nuire à la sûreté d’autrui, les États-Unis d’Amérique puisse effectivement être constitué de deux sortes d’individus, des tireurs mal-intentionnés et leurs cibles ?

Voyez-vous, l’Amérique est une Nation ou comme je l’ai explicitée précédemment, la sécurité du tout ne peut justifier l’insécurité d’un seul de ses éléments, qui en quelque sorte, Américain, est un peu, et je le dis sérieusement ici, l’Amérique en sa globalité, libre, et jalouse de son indépendance, qui là-bas n’est pas un vain mot, puisqu’il ne signifie pas qu’indépendance vis-à-vis du monde extérieur, mais indépendance du monde intérieur.

Les États-Unis, est-il besoin de le préciser, est un monde intérieur, qui, en son élévation de la liberté, garantit par la liberté de sécurité du citoyen américain vis-a-vis du Gouvernement Fédéral américain même, signifié par le Deuxième Amendement de la Constitution américaine, la libre détermination de la sécurité de l’Américain.

L’Amérique doit se protéger des menaces extérieurs, ainsi que des menaces extérieurs s’étant par diverses infiltrations, muées en menaces intérieures.

Elle n’a pas le loisir de minorer la dangerosité des menaces intérieures qui s’y développent. La haine, l’instabilité, la faiblesse d’esprit, la vilenie et d’autres tares en font partie.

Plus qu’un problème politique, c’est un problème humain, comportemental qu’il faut régler.

La personnelle expérience des agents de police et militaires peut vous confirmer que ce n’est pas en soi l’arme qui est dangereuse, c’est celui qui la porte.

Ce n’est pas l’arme qui est dangereuse, c’est sa possession. Ainsi n’est-il pas remarquable que dans tout autre pays ou seuls les militaires et agents de la force publique sont autorisés à détenir et porter une arme, les passants ne s’en offusquent alors même que peut importe qui la porte, c’est l’arme qui est dangereuse ?

Toutefois, il est tout aussi remarquable qu’il est de nombreuses personnes, femmes, enfants, hommes jeunes, ou plus âgés, qui puissent s’émouvoir de croise rdans la rue un policier ou une équipe de militaires armés, en pensant qu’il n’est tout de même pas sain et sécurisant d’évoluer dans un environnement ou des individus portant la mort à leur bras puissent nous cotoyer aussi facilement.

Et si ? Et si ? Après tout ? Qui sait ?

Que faudrait-il donc ? Nous voyons que la protection de la population vis-a-vis du danger, en représentant soi-même un danger pour le danger pouvant menacer la population, peut être ressenti et même être réellement un danger pour la population même ?

Je prendrai pour exemple la tuerie en Norvège ou un fanatique suprématiste s’était déguisé e policier et avait, du fait de la confiance propagé par l’uniforme, convaincu ses futurs victimes de toutes s’attrouper en un lieu, ce pour les abattre froidement.

L’uniforme était un leurre, mais si telle n’avait pas été le cas. Si le terroriste avait véritablement été un agent des forces de l’ordre, qu’aurait-on dit ?

Il y’aurait des voix, innombrables et en leur colère, légitimes, qui se seraient élevés pour forcer un contrôle des armes et de leurs possessions, y compris dans les rangs militaires, policiers, et partant, dans les effectifs des forces de sécurité privé, sait-on jamais si un bodyguard ne se mettrait demain à commettre un carnage à la kalachnikov dans une discothèque ?

Le questionnement s’arrête non pas à la personne détenant une arme, mais à la confiance que nous pouvant accordé à la personne portant l’arme et pouvant potentiellement en faire usage ?

La confiance est-elle saine, et nécessaire, et justifiée, à l’égard d’une tierce personne portant une arme en notre environnement immédiat ?

Les deux tueurs de Dayton et El Paso inspirent-ils confiance ?

Qui inspire confiance ?

Pourquoi la confiance ?

Qu’induit-elle pour celui qui confie et celui a qui elle est confiée ?

Parmi les victimes d’une tuerie ou d’un assassinat par arme à feu de toute sorte, il s’en pourrait bien qui possédassent une arme à feu au moment précis ou ils furent victimes des tirs de leur assaillant.

C’est celui qui leur a tiré dessus qui est coupable, non en ce moment précis les personnes qui, ayant à portée de main une arme à feu, peut être de plus gros calibre et de meilleure précision et débit

Comment corriger, contenir, protéger mais aussi se protéger des hommes, si nous ne les connaissons pas ?

L’organisation du contrôle des armes doit sans doute être assez bien organisé pour n’être mis en défaut que lorsque qu’une tuerie armée a lieu aux États-Unis.

Précisons, lorsqu’une tuerie armée a lieu aux États-Unis, mais, et c’est là les deux critères qui les rendent si « sensationnelles » pour le media entertainment et « terrifiantes » pour l’opinion; lorsque la dite tuerie est :

  1. D’une part, perpétrée par des individus n’ayant pas un profil qui aurait inspiré une crainte telle que la mort quasi-simultanée de plusieurs individus aurait été envisagé en les voyant si il n’avait pu un jour se présenter avec une arme à feu.
  2. D’autre part, lorsque les victimes de la tuerie sont souvent, et nous l’affirmons en pesant nos mots, des personnes dites innocentes qui n’ont souvent aucun lien avec l’assaillant armé.
  3. Si lien quelconque avec le tireur ils avaient, ils n’avaient selon toute vraisemblance pas, de par leur train de vie et leurs conditions -et nous pesons encore nos mots en disant cela en tant que personne n’a vocation à mourir ainsi- vocation à mourir, en période de paix, sur le sol américain, dans un contexte rappelons plus une scène de guerre qu’une simple altercation de voisinage, si l’individu coupable de la tuerie « n’ayant pas un profil qui aurait inspiré une crainte telle que la mort quasi-simultanée de plusieurs individus aurait été envisagé en le voyant, si il n’avait pu un jour se présenter avec une arme » … n’avait pas justement (pu) présenter une arme le jour ou il a commis son horrible forfait.
  4. Comme un tout autre jour, puisque une fois qu’il détient une arme, l’individu en question, comme tout individu possédant une arme, peut commettre une tuerie en n’importe quel (autre) jour.

a) Le profil d’impuissance frustrée du coupable.

b) Le profil d’innocence frappée des victimes.

Voici les raisons appelant la colère lorsque de telle tueries se produisent, en sus de l’horreur provoquée par la tuerie même.

Comment une telle personne a t’elle pu tuer autant de personnes ? Elle n’aurait jamais pu le faire sans arme à feu. Comment tant de personnes on pu mourir ainsi ? Elles ne seraient mortes si leur meurtrier n’avait pas eu d’arme à feu.

Mais le meurtrier en question n’est pas le seul individu, ni le seul individu de son genre, celui des individus « n’ayant pas un profil qui aurait inspiré une crainte telle que la mort quasi-simultanée de plusieurs individus aurait été envisagé en le voyant, si il n’avait pu un jour se présenter avec une arme » à posséder une arme, donc a pouvoir tuer des personnes comme celles tués par le meurtrier en question, ou d’autres personnes.

Le transfert du grief va donc du profil de l’individu à la potentialité criminelle concrétisabiliser par la possession d’une arme à feu, à l’individu criminel, comme à tout autre individu pouvant jouir également du droit de posséder une arme à feu (tout autre individu pouvant lui aussi potentiellement être criminel puisque tout individu est potentiellement criminel en l’absolu, que ce soit par inclinaison ou nécessité).

L’arme à feu, qui concrétisabilise, c’est-à-dire rend concrétisable l’assault par arme à feu de n’importe quel individu par n’importe quel individu sur le sol américain est le point de discorde.

Posons-donc La Question : Le permis de détenir une arme doit-il être légalement possible pour un Américain n’officiant pas dans un corps de métier dans laquelle la possession d’une arme est légale et instituée par nécessité de fonction ?

Pourquoi les Américains officiant pas dans un corps de métier dans laquelle la possession d’une arme est légale et instituée par nécessité de fonction ont-ils le droit de posséder une arme ?

Quelle est donc la nécessité de fonction du fonctionnaire, du militaire ?

La nécessité de fonction est ce qui protège le fonctionnaire travaillant dans un milieu potentiellement hostile, et le militaire, des circonstances aléatoires pouvant attenter à leur sécurité, et celle de leurs concitoyens, ainsi que du Gouvernement et ses dépendances.

La nécessité de fonction accordé aux fonctionnaires et militaires par le port et la possibilité d’usage de l’arme à feu à vocation à leur permettre d’assurer leur fonction, de les encourager à le faire, puisque le motif de la dangerosité d’une telle mission est amoindrie par la sécurité offerte par la possession d’une arme qu’ils peuvent utiliser.

La nécessité de fonction accordé aux fonctionnaires et militaires par le port et la possibilité d’usage de l’arme à feu sert, également et surtout, à tenir en respect à la fois les individus rencontrés par lesdits fonctionnaires et militaires au cours de leur service et fonctions, que ceux-ci soient dangereux ou à cadrer.

En somme, la nécessité de fonction accordé aux fonctionnaires et militaires par le port et la possibilité d’usage de l’arme à feu sert, avant toute chose, à servir le Gouvernement, la Nation, son fonctionnement, sa sûreté et ses intérêts.

Or voici le point crucial : le Gouvernement, la Nation ne peut et ne doit prendre des décisions et n’appliquer des décisions qu’en son intérêt.

Tout gouvernement fait à ses fonctionnaires assermentés, et militaires en service, bénéficier du port d’arme car il en va comme explicité dans le présent exposé de son propre intérêt.

La Nation doit assurer la protection de tous ses citoyens, et faire respecter l’assurance de la protection de ses habitants.

Voici donc les Questions qui déterminent le traitement du dossier que nous instruisons :

Est-il dans l’intérêt du Gouvernement fédéral américain de faire bénéficier à tout citoyen américain du droit de porter et de faire usage d’une arme à feu ?

La libre détention d’une arme à feu est-il incompatible avec la préservation de la Nation américaine ?

Contrairement à un gouvernement dont les intérêts, comme les détenteurs du pouvoir comme de l’autorité, peuvent changer, une Nation ne ressemble qu’à elle-même. Et sa préservation en tant que Nation, souvent équivaut à une préservation de ce qu’est ladite nation ?

À cet égard, au moins avons-nous décrit ce que la Nation américaine est intrinsèquement.

La Nation américaine en elle-même n’est pas l’addition de la construction étatiquo-territoriale et des populations l’ayant faite et y vivant.

La Nation Américaine est l’addition des individualismes, des rêves, des libertés, des potentialités et des intérêts, qui tenus les unes aux autres par la justice et la raison (notamment économique), ainsi qu’une indéfectible croyance en la Destinée, place celle-ci au dessus-tout, de telle sorte que celle-ci en chaque État, en chaque comté, en chaque ville, en chaque habitation fait Amérique.

La Nation, son droit et son indépendance est synthétisée, d’un point de vue objectif, en le deuxième Amendement de la Constitution Américaine.

De telle sorte que renier l’Amendement qui stipule qu’une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d’un État libre, le droit qu’a le peuple de détenir et de porter des armes ne sera pas transgressé ce serait pour un constitutionnaliste traditionaliste en premier lieu renier une protection de la Nation américaine naissante vis-à-vis de toute menace, intérieure comme extérieure.

La question qui se pose est : l’État évoqué en l’Amendement est-il la Nation ou le Gouvernement ?

Quelle est la menace pour la Nation,et pour le Gouvernement que favoriserait le reniement du second Amendement ?

Quel pourrait en être le bienfait pour la Nation, pour le Gouvernement ?

Les réponses profondes, et véritables à ses questions peuvent amener la résolution du présent problème. Comme la rendre ardue, voire factuellement impossible.

La question qui se pose étant : cela est-ce oui ou non, dans l’intérêt de l’Amérique.

Pour cela, il serait judicieux de se demander quel est et a toujours été l’intérêt principal de l’Amérique ? Et qu’est donc véritablement l’Amérique ?

Ou pouvons situer l’Amérique, savoir ce qu’elle est pour savoir quelle direction qu’elle doit prendre pour aller là ou sa Destinée et la préservation de son Essence l’appelle ?

Le présent article ne reflète pas les pensées politiques et sociales de l’agence de presse US K1FO NEWS, ni celles de son auteur, votre dévoué serviteur, mais sont une mise en perspective de l’ensemble des zones d’ombre d’une question, qui, présentée en relief, peut apparaître comme un tableau ou incomplet, ou compréhensible seulement par une préalable sensibilisation au cubisme.

Conscient de la dangerosité de l’arme à feu lorsqu’elle est à n’importe qui confiée, et de la spécificité de la Nation américaine qui ne se fait confiance qu’en elle-même, donc en ses citoyens qui avons-nous dit sont légalement tous la Nation en eux-même, cela induisant une confiance en soi-même institué comme droit à son auto-protection,notamment pour ne pas dire principalement armé -droit couplé au devoir de protection de l’État par les propres moyens du peuple comme posé par le Deuxième Amendement de la Constitution des États-Unis d’Amérique- l’auteur ne peut que proposer ce qui est possible, sans ignorer ce qui serait en l’absolu souhaitable.

Mais qu’est-ce donc ?

L’Amérique y répondra.

Car Elle le sait.

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