
Par ATHY BRYANDT

L’AUTO-CONJURATION DU PARJURE

MacroNNéron,
Paris|Rome,
Jupiter|César,
Président|Empeur
Œdipe-Roi,
Duplice astre
Portant la Peste
Au bout de son arc,
Puéril Auguste
Claudicant de sa puissance
Accordée par la Ruse
Usurpée par la Force
Jocaste|Agrippine
Oblique Dionysiaque
Arimaspe ou seigneur Sith
Fiévreux de l’Oracle de Mort

Toi Morpheus !
Ô Dark Nero
De la Guerre des Soleils !
Du Covid Interstellaire !
Macronova imposteuse
D’affabulation véritable
À l’occulte trésor
Par nos griffons gardé
La Tragédie est actée.
Le despote s’est dévoilé.
Le Royaume s’est soulevé.
La Guerre est déclarée :
Jureurs contre Réfractaires,
La Liberté embrase qui mal étreint !
L’Anti-République tremble,
Et ne marche déjà plus,
Fallait-il la diriger
Contre ses principes et le Peuple
Pour la détruire en l’holocauste
Comme jadis l’Empire ?

Une dynastie s’achève,
La Résistance est debout, la belle Révolution
Gronde, grouille et grandit
L’Heure a t-elle sonné ?
Pour qui tonne le glas ?
L’annonce macabre et solennelle
De la fin du quinquennium macronis
Du suicide de l’ange carnéien, au loin retentit.
Les Flammes même se taisent,
Pour sentir du Parjure la Complainte,
Inavouable aveu
De son crime contre la Nation.
Alexandre Nécropolitain | Macronpoléon sur le départ
Devant l’ordre des Citoyennes
Hordes du Printemps; pour que la France vive,
Quel Français doit mourir ?
Par le Scalp de la Justice
Et la Vendetta pacifique
À tout évènement, à force ouverte
Le Sort en est jeté.
MacroNeron
« Sans État d’Âme »
Ou
Sans Âme d’État ?
À livrer le Corps de la France,
Qui, en Sacrifice,
S’est offert
Au Cœur de ses Amis ?

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