CÔTE D'IVOIRE : LES PRINCES GBOH DE SANG

CÔTE D’IVOIRE : LES PRINCES GBOH DE SANG

CÔTE D’IVOIRE : LES PRINCES GBOH DE SANG

Notes : Face à l’émergence d’actes allant dans le sens contraire à la liberté humaine, collective et individuelle et contre les droits humains élémentaires dont notre conscience commune ne peut permettre l’atteinte, l’équipe de la rédaction K1FO et ses partenaires ont décidé de participer aux efforts d’action et d’information du Collectif contre les Atteintes aux Droits Humains et aux Libertés (CDL dit Collectif Droits-Libertés) et du Comité de Surveillance pour les Droits Humains et la Liberté Collective (SURLIB). L’agence de presse K1FO soutient leur initiative et s’engage à diffuser leurs messages autant que faire se peut, dans le respect de nos valeurs de solidarité, de considération de la dignité humaine et d’impartialité politique. Nous ne sommes néanmoins pas impartiaux face à l’injustice, et ferons, partout où nécessité fait loi, front contre l’oppression et l’impunité de tout ordre.

Assemblée de la Rédaction DE K1FO

La Côte d’Ivoire est en proie à une crise politique qui ravage le pays depuis 2010-2011, déclenchement de la guerre civile.

Le déclenchement de la guerre civile coïncide avec l’accession à la tête de l’État ivoirien de Monsieur Alassane OUATTARA.

Si la responsabilité de Monsieur Alassane OUATTARA et celle de son « État terroriste dans l’État terrorisé » que nous allons disséquer, dans les violences en Côte d’Ivoire ne font l’objet d’aucun doute, l’implication de son prédécesseur direct à la présidence ivoirienne, Monsieur Laurent GBAGBO, dans l’ascension des factions rebelles au sein de l’exécutif ivoirien est indiscutable.

C’est en effet Laurent GBAGBO, Président ivoirien de 2000 à 2010, élu en surfant indirectement sur la vague de l’ivoirité, concept nationaliste politique mis en place par l’ancien Président Henri Konan Bédié, qui a permis par les accord de Linas-Marcoussis l’entrée au gouvernement de Côte d’Ivoire des troupes rebelles, dites assaillantes, dirigés par Guillaume SORO.

Laurent GBAGBO fera même de Guillaume SORRO, sombre chef de guerre sanguinaire responsable d’au moins plusieurs dizaine de milliers de morts en Côte d’Ivoire, son propre Premier Ministre !

Guillaume SORO commettait ses exactions au nom d’une prétendue rébellion, qui n’était rien d’autre qu’une campagne de massacres et de pillages orchestrée par son maître, celui dont tous les assaillants de la Côte d’Ivoire voulaient l’accession au fauteuil de Président de la Côte d’Ivoire : Monsieur Alassane OUATTARA.

Voici donc le quatuor de choc du bain de sang ivoirien initial (BÉDIÉ-GBAGBO-OUATTARA-SORO alias BGOS), bain de sang qui, malheureusement, la communauté internationale ne le sait que trop bien, n’a jamais cessé de se produire.

Toutes les factions politiques, jusqu’à présent validées par les différents clans assis sur le trône de sang en Côte d’Ivoire, sont issues de l’engeance des Messieurs Gbagbo, Bédié, Ouattara et Houphouët-Boigny, puisque ce dernier, premier Président de la République de Côte d’Ivoire est le « père » de « leur » nation ivoirienne qu’ils prennent pour acquis personnel, et la mère nourricière originelle de leurs carrières respectives.

Houphouët a ainsi fait de Bédié son Ministre des Finances dès les années 1960, fonction qui fera un temps par l’on ne sait quelle miracle de Henri Konan Bédié l’un des milliardaires les plus en vue d’Afrique de l’Ouest. Au dépens de qui ? Du peuple et de la Nation qu’il avait pour mission de servir.

Mais nous ne lui en tiendrons abusivement rigueur; cela faisait sans doute parti des mœurs d’une époque, mauvaises mœurs qui peuvent , si ce n’est être pardonnés, être contextuellement relativisés comme les régimes monarchiques pré-contemporains, l’esclavage ou les emportements guerriers napoléoniens, voire hitlériens.

Mais si l’on peut relativiser les causes selon le contexte, peut-on relativiser leurs conséquences ?

Hiroshima avait dans le contexte de la Guerre du Pacifique que se livraient les Américains combattant les puissances de l’Axe et les Japonais combattant les Alliés, une justification plus que compréhensible : combattre la terreur par une terreur telle qu’aucune terreur adverse ne serait PLUS possible.

Mais qui peut justifier les morts japonais décédés directement ou indirectement des suites des bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki, décès, mutilations et atteintes physiques et mentales qui se comptent par milliers et milliers et milliers ? Le nombre exact va sans doute au delà des deux-cent milliers de victimes.

Pourtant, alors que les peuples européens se sont à plusieurs reprises soulevés contre l’injustice sociale et économique, les discriminations culturelles, ethniques, politiques ou religieuses, qui pourrait justifier les causes de l’oppression des peuples du Vieux continent -qui s’indignant montrait la vivacité de leur pleine conscience -sans renier le bien fondé de l’honneur, du bon sens et de l’équité ?

Qui pourrait justifier les conséquences de l’oppression des peuples du Vieux Continent si leur soulèvement contre les inégalités et l’injustice n’avait porté ses fruits ?

Nous disons donc qu’il faudrait, pour faire abstraction des pillages et abus de pouvoir que d’aucuns voudraient inhérents à la Côte d’Ivoire et ses pays voisins et frères, que le peuple ivoirien ne trouve à redire à son dénudement, sa maltraitance, à sa marginalisation et son abrutissement par les princes de sang de Côte d’Ivoire, et il faudrait qu’une telle situation soit jugée convenable et légitime par la conscience humaine même.

Or le grand trouble dans lequel met les Ivoiriens le rapt et le massacre de leur démocratie, en sus du rapt et du massacre de leurs concitoyens, femmes, hommes, enfants, vieillards, à des fins d’épouvante, de coercition ou de barbarie, et la colère qu’ils expriment par le soulèvement populaire civile de la Côte d’Ivoire n’indiquent rien d’autre que la mise en accusation du modèle kleptocratique et tyrannique de Ouattara et consorts.

Or le suivi attentif par les organismes spécialisés, les associations internationales et observateurs planétaires que nous sommes, des événements cruels qui ont lieu en Côte d’Ivoire, contre la société civile ivoirienne et les femmes et hommes politiques d’opposition par l’État de terreur de Ouattara ne peut que conduire à l’exposition complète à la fois des fins et des moyens utilisés par le régime RHDP de Monsieur Alassane Ouattara pour parvenir à son plan génocidaire d’hégémonie par le sang versé.

Par princes de sang de Côte d’Ivoire précisons que nous nommons Gbagbo, Bédié, Ouattara, tous trois se revendiquant du patronage, que le Sage m’en pardonne, de Félix Houphouët-Boigny.

Félix Houphouët Boigny qui pouvons nous affirmer n’avait certes pas formé l’élite la plus démocratique qui soit, mais n’aurait sans doute jamais accepté une démocratie tant et si bien élitiste qu’elle n’en a plus rien de démocratique.

Il est pourtant nécessaire que nous assumions la filiation politique et psychologique directe des trois princes de sang sur la Côte d’Ivoire, Gbagbo, Bédié, Ouattara (et son suppléant Guillaume Sorro) envers Félix Houphouët Boigny.

Houphouët-Boigny était un grand serviteur de l’État, tant français pour peu que la Côte d’Ivoire eût fait partie de la géographie française (à travers l’empire, l’Union ou la Communauté françaises), que ivoirien, pour peu que la Côte d’Ivoire pût pleinement s’affirmer autonome.

La Côte d’Ivoire a donc fait partie de l’empire colonial français, après avoir été rançonnée par les pirates, colons et autres « explorateurs » étrangers, elle ne fut pas seul dans ce cas, aussi la juste Histoire de cette histoire ne peut être que commune, partagée et impartiale.

L’on ne peut blâmer seulement la force de l’un par les abus que lui permirent les faiblesses de l’autre, si aucun contre-poids face à de tels abus n’a été fermement opposé.

Les luttes contre l’occupation ici en France, ici en Afrique du Sud, ici en Chine, et ici aux États-Unis contre l’armée royale britannique ne sont que des exemples de la validité historique de la présente affirmation.

Lorsque la force de l’un se traduit en abus sur autrui de par l’absence de l’opposition d’un contre-poids ferme face à de tels abus, alors nous sommes face à un cas d’absence de justice, d’absence de règles, d’absence de loi et de civilisation.

Toute civilisation, toute humanité véritable se traduit par le contrepoids qui peut être opposé à toute supériorité qui pourrait profiter de sa position pour faire régner la terreur par la contrainte, la contrainte par la terreur.

Nul ne peut être contraint par la violence sans que la violence et la contrainte ne fasse l’objet d’une force de jugement et de contre-balancement permettant autant que faire se peut d’empêcher la violence et la contrainte, si ce n’est premièrement pour empêcher la commission d’acte faisant violence ou contraignant autrui, et deuxièmement si la commission d’acte faisant violence ou contraignant autrui vise à se prémunir de tels actes; c’est ce que nous nommons dans le dernier cas légitime-défense.

En Côte d’Ivoire, les élections présidentielles étaient prévues pour le 31 octobre 2020. Après deux mandats successifs à la présidence de la République de Côte d’Ivoire, Monsieur Alassane OUATTARA ne peut plus se représenter en vertu de l’article 55 de la Constitution de la République de Côte d’Ivoire qui stipule que le mandat présidentiel en Côte d’Ivoire est de cinq ans, renouvelable une seule fois.

En d’autres termes, le mandat présidentiel ivoirien ne peut pas être renouvelé au delà d’une fois. Or Monsieur Alassane OUATTARA, s’asseyant sur la Constitution de la République de Côte d’Ivoire, a présenté sa candidature et se livre actuellement à une campagne présidentielle, au frais du contribuable, hors du cadre légal de la nation ivoirienne; tout cela est inconstitutionnel et donc dangereux.

Qui plus est de la part d’un Président de la République !

Un Président de la République, CHEF D’État, garant des Institutions et de l’unité nationale, ne saurait attenter à ce qu’il a prêté serment de défendre en vertu de la Constitution.

Au lieu d’assurer la continuité de l’État ivoirien, OUATTARA la noue autour de sa taille comme une Miss Monde se ceindrait de sa ceinture pour ne jamais s’en séparer, même après l’élection d’une nouvelle reine de beauté.

Le Président sortant désacralise, dé-constitue, déconstruit et destitue de sa fonction d’ordre de la vie publique nationale, la Constitution de la République dont il est encore Président. Par cet acte, OUATTARA s’est destitué de la fonction de Président de la République que le Comité de Surveillance pour les Droits Humains et la Liberté Collective (SURLIB) ne lui reconnaît plus, au nom des personnes de toutes nationalités qui lui ont transmis le dossier accablant dont Monsieur Alassane OUATTARA est l’accusé principal.

Mesdames et Messieurs, en se présentant à un troisième mandat consécutif que lui interdit la Constitution, en effectuant sa campagne sur la base d’un acte délictuel en contradiction avec la Constitution ivoirienne (art. 55), Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire se rend coupable de Haute-Trahison, Atteinte à l’Intégrité de l’État, Tentative de Coup d’État.

Le Conseil Constitutionnel ivoirien censé garantir la sécurité de la Nation en faisant respecter ses lois et ses règlements, dont la première d’entre elle, base de la vie publique nationale, la Constitution, se rend coupable de complicité de Haute Trahison, complicité d’Atteinte à l’Intégrité de l’État et Tentative de Coup d’État.

Le Comité de Surveillance pour les Droits Humains et la Liberté Collective ne reconnaît donc plus le Conseil Constitutionnel ivoirien, en vertu du caractère délictuel, criminel et pire, anticonstitutionnel des décisions du Conseil Constitutionnelle ivoirien à l’égard des actes criminels perpétrés par Monsieur Alassane OUATTARA à l’égard de la République de Côte d’Ivoire et de la population civile ivoirienne.

Le 31 octobre 2020 est la date ou le sort sera décidé du monde. Ou il empêchera la dictature, l’illégalité et les crimes divers et variés du Régime OUATTARA, ou il l’acceptera, le permettra, le légitimera et l’entérinera, et alors il sombrera avec lui dans la spirale de la dictature, de l’illégalité et des crimes divers et variés, à moins qu’il n’intercepte le convoi fou du régime kamikaze OUATTARA.

Nous en appelons au monde entier, au nom de la démocratie, du droit et de la liberté des peuples, pour empêcher la réussite du Coup d’État perpétré par Monsieur Alassane OUATTARA contre la République de Côte d’Ivoire, avec la complicité du Conseil constitutionnel ivoirien.

Ces crimes divers et variés, que nous promet un futur proche sous la bannière des princes de sang du monde, que le droit international se doit de combattre par tous les moyens que lui offrent ses prérogatives, ceux-là seront commis impunément, partout, la nuit, le jour, à la sortie des écoles, dans les salles de spectacles, dans les allées piétonnes, dans les lieux de fête ou de culture, dans les lieux de culte et dans les bureaux de rédaction même des journaux.

Oui, enseigner, cultiver, divertir aussi, comme informer, sont devenus des métiers difficiles, non seulement parce qu’ils exigent de la passion, mais de surcroît désormais, avec des extrémistes radicaux comme Alassane OUATTARA ou ses pendants djihadistes, du sang, de la sueur et des larmes.

Si nous reprenons Churchill, c’est pour rappeler aussi que ce n’est personne d’autre que lui, alors qu’il était connu comme une sorte de « Clémenceau » anglais, guerrier insatiable des campagnes britanniques précédant la Seconde Guerre mondiale, qui avait posé haut et fort dans le carnage du conflit de 39-45, que même en temps de guerre, et surtout en temps de guerre, il ne fallait point baisser le budget de la culture, car justement, « c’est pour cela que (nous) nous nous battions ».

Mesdames et Messieurs, représentants nationaux, régionaux et internationaux, membres de la société civile, femmes et hommes de bonne volonté, le monde nous regarde, et n’aura de cesse de nous demander des comptes pour chaque décision que nous prendrons pour l’avenir de la planète, partout et tout le temps.

Pour que les victimes de l’anarchie, de la barbarie, du terrorisme, du fascisme et des dictatures ne soient pas mortes en vain, et que le terrorisme d’État ne triomphe pas, ne laissons pas tuer la Culture et la pratique de la Démocratie, ni en Côte d’Ivoire, ni ailleurs.

*

CÔTE D’IVOIRE : LES PRINCES GBOH DE SANG est une somme compilant les faits et méfaits des élites en Côte d’Ivoire, tels que notamment répertoriés par le Collectif contre les Atteintes Droits et aux Libertés (CADL), le Comité de Surveillance pour les Droits Humains et les Libertés Collectives (SURLIB) et les organisations non gouvernementales renseignant sur la situation de crise ivoirienne.

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